Regarde moi~ [Natsu x Grey]

Chapitre 11

Coucou ! Vous vous rappelez de moi. Franchement, je ne vous en veux pas si ce n'est pas le cas. J'ai disparue pendant un moment. Cependant j'avais perdue mon compte, alors je ne pouvais plus continuer l'histoire. Bon je reviens comme une fleur avec engagement de terminer cette histoire convenablement !

Bonne lecture !

Grey balaya des yeux la pièce où la bonne humeur courante régnait. Cependant il semblait que ce ne soit pas pareil de son côté, il avait songé au évènement récent une bonne partie de sa nuit. A chaque fois que les grandes portes s'ouvrait, il espérait que ce soit celui de Natsu. Malheureusement ce n'était pas le cas. Ses traits étaient légèrement tirés d'agacement, il semblait que le mage de feu s'était dérobé et n'était pas venu - un peu surprenant de son égo -. Alors, naturellement, il alla directement à son domicile. Poussa la porte sans prendre la peine de toquer. Il n'eut pas besoin de le chercher car il était avachi dans le canapé entrain de faire sa meilleur sieste. En réalité, Natsu fut pris au dépourvu de sentiment récurent, de pensées obsédées sur il semble une seule personne et de sensation atypique. Il s'était finalement endormie mais trop tard pour prétendre à aller à la guilde.

Mais peu importe, bon Dieu que Grey le trouvait mignon surtout très attirant.  Allongé, le corp ne portant qu'un seul vêtement - c'était largement suffisant -, il n'y avait qu'un seul drap qui le couvrait mais il descendait à ces hanches, laissant une vue sur ses muscles bien dessinés. Grey n'avais généralement pas besoin d'attendre la piscine ou la plage pour voir Natsu sans son haut car tous le faisaient à la guilde. Alors, il n'était pas rare de voir le regard du brun sur le torse du mage de feu. Mais, il l'avait déjà surpris entrain de le mater , comme ça pas de jaloux !

Il balada ses doigts fin sur le torse du rosé, remonta sa main vers la clavicule, le coup exposé - il songea au fait qu'il serait sûrement plus jolis si il pouvait le parsemer de baisers papillons -. Mais après bientôt dix minutes à le regarder dormir. Il le réveilla doucement. Natsu papillonna des yeux et sourit en le voyant. Le brun le croyant encore dans les vapes, le secoua gentiment. Sauf que Natsu était bien réveillé, il était simplement et agréablement surpris de le voir. Contre tout attente, Natsu se redressa et mima au brun de s'assoir à côté de lui, celui-ci,  surpris, mais s'exécuta.  Le rosé se glissa entre ses jambes et se cala sur son torse, logeant sa tête au creux de son cou. Quand sa peau rentra en contact du brun une fumée telle de l'eau froide sur une casserole brulante. Et Natsu rabattit sur eux la couverture. Grey - qui a complètement laissés les évènement car son cerveau semblaient avoir cessé tout fonctionnement logique - commença réellement perdu du comportement :

"- Qu'est-ce que tu fout ?! J'croyait que tu m'en voulais pour hier.

-Je t'en veux toujours ( pour ne pas m'avoir embrassé songea t-il très bas )." dit-il d'un ton indiffèrent à ce qu'il se passe et toujours avec la tête cachée dans son cou. Grey fut complètement pris au dépourvu de son comportement... mature ? Il entamait une discussion concrète de la maladie au cœur qui les ont liée peut-être à vie.

"- Alors pourquoi tu me fait un câlin ?

- Parce que je veux un câlin.

- Pourquoi t'es pas aller voir Lucie, alors ? Plutôt que ton rival." Le concerné a sortit sa tête et le regarda les yeux dans les yeux.

"- De un, tu n'es pas mon rival car je suis meilleurs que toi ( Grey sourit à ces propos ). De deux, ... bas... y'a pas de deux . ( Il rigole. )

- D'accord. Moi je vais être un peu plus courageux que toi et te dire en quelques mots que je suis amoureux." Natsu se redressa d'un seul coup et le regarda ahuris. Choqué par ses paroles qu'il venait sans la moindre pression sortir, alors que le rosé l'aimait déjà. Il sortit en trombes du lit lorsque la colère mêlé à de la tristesse formaient le plus douloureux des cocktails. Il le défia du regard, alors qu'il sentait déjà des larmes perlées aux coins de ses yeux. A présent, il voulue simplement lui hurlé sa souffrance au visage. Ce qui le mettait le plus en rogne était le sourire espiègle du brun scotché à son visage. Il ne comprenait pas pourquoi il souriait, il n'y en avait aucune raison. Sadisme cruel ou éternel égoïsme ? Il n'en savait rien.

Soudain, Grey se leva dans la plus grande des détentes et s'approcha du jeune homme. Natsu le repoussa immédiatement, mais le brun lui attrapa le poignet et l'immobilisa gentiment. Et le rosé fatigué de cette situation arrêta de se débattre et le regarda dans le blanc des yeux. Le brun lui sourit doucement. Il lâcha un de ses poigna qui retomba le long du corps du mage de feu et glissa sa main libre le long du cou de son cou. Il fut attendri par son contact mais pas totalement prêt à se laisser faire. La main du mage de glace remonta jusqu'à sa mâchoire la caressant de son pouce et finit sur sa joue où il passait son pouce sur ses lèvres rose. Là où Natsu se pensait que son ensorcelante torture n'en finirait jamais, le brun approcha son visage et frôla les lèvres de Natsu. Il ne voulait pas le faire, ce n'était pas à lui de le faire, cela devrait être au tour du rosé de faire le premier pas. Celui-ci résista l'espace de quelques dizaines de secondes, mais dû laisser son égo de côté et scella leur lèvres dans un baiser charnel. Il sentit d'ailleurs les lèvres de Grey s'étirer sûrement en un sourire victorieux, mais à l'instant-t il s'en foutait royalement. Le baiser d'abords doux bascula vers la luxure et l'envie quand le brun demanda l'accès à sa langue en lui mordant la lèvre supérieure. Les bras de Natsu enroula le cou du brun et les siens descendit vers sa taille. Ils auraient pu s'embrasser jusqu'à se que mort s'en suive, mais mage de glace laissa les lèvres appétissantes du rosé vers sa mâchoire la parsemant de baisers papillon. Natsu laissa retomber sa tête exposant son cou que son amant vient parsemer de petits baisers. Grey traçait de ses mains le contour des muscles du jeune homme. Puis ce soir, Natsu et Grey se laissèrent aller aux besoins de leur corps dans un plaisir charnel. Ils se poseraient les question pour la suite demain, ils ne sont pas pressés.

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1125 mots [parenthèse du début non prise en compte]