Seconde chance - The 100, Bellarke fanfiction

Chapitre 12 : Piégés

Clarke

Deux gardes m'escortaient. Je m'attendais à être emmener dans la zone de quarantaine mais ce ne fus pas le cas. Quand je posais la question au garde il me répondit :
- A cause de votre trou dans la portes, de nombreuses personnes y ont été isolés.
- Des gens sont morts ? demandais-je
- Non.
J'étais soulagée. Je ne sais pas si j'aurais supporté d'avoir d'autres morts sur la conscience.
L'air se rafraîchit. Nous entrions dans une genre de prison, sûrement pas loins des tunnels des faucheurs vu l'aspect des murs. Je jetais un coup d'oeil dans les cellules et vis qu'elles étaient toutes occuper par des terriens en transition.
- Oh mon dieu ... murmurais-je

Les soldats se sont arrêtés devant une cellules occuper par un homme roulé en boule et couvert de sang. Il me poussèrent à l'intérieur et refermait immédiatement les barreaux derrière moi.
Mes yeux brûlaient mais je ne laissait pas les larmes couler. Inspire, expire et recommence jusqu'à ce que tu sois calme Clarke. me dis-je

Je me tournais et prêtais une plus grande attention à mon compagnon de cellule. Il était d'une taille normale, et malgré le sang on voyait que ses cheveux étaient sombre. Je me rapprochais pour voir son visage, toujours caché.
Bellamy.

- Bellamy, réveille toi ! criais-je
Cette fois ci je ne contrôlais plus mes larmes. J'essayais de prendre son poult mais avec tout ce sang j'avais peur d'appuyer sur une blessure. Je posais donc ma tête doucement contre son torse et attendais les battements de son coeur.

J'eu un soupir de soulagement en les entendant. Même s'ils étaient faibles, au moins il était en vie.
Je déchirais un bout de mon haut et commençais à le nettoyer doucement. Il avait beaucoup de bleu et quelques coupures mais heureusement c'était moins grave que ce que j'avais imaginer.

Je levais délicatement sa tête et la posa sur mes cuisses. Je me mis à chantonner essayant de ne pas penser à ce qui allait se passer après.

Bellamy

Mon corps entier me faisait mal. Je n'arrivais même pas à ouvrir les yeux. Une mélodie parvint à mes oreilles. On avait dû me mettre un sacré coup sur la tête parce que j'aurais jurer que c'était la voix de Clarke.

Après un énorme effort, je réussi à ouvrir les yeux. Ma vision, d'abord flou, ce précisa et laissa place à une silhouette féminine.
- Clarke, c'est vraiment toi ? demandais-je
- Bell ! Oui, ne t'inquiète pas tout va bien je suis là, dit-elle d'une voix douce
Je regardais autour de moi. Nous étions enfermer. J'essayais de me lever mais presque chaque mouvement était suivis d'un cris de douleur que j'étouffais tant que je pouvais. Je réussi finalement à me mettre dos au mur.

Clarke me rejoint. Elle approcha sa main de mon visage et effleura une de mes blessures du bout de ses doigts. Son contacte me fis frissonner. Je levais la tête vers elle et l'entendis murmurer :
- Mais qu'est ce qu'il t'ont fait ... ?
- J'ai réussi a prévenir tout le monde de se barrer d'ici quand il m'ont choppé. À mon avis ça faisais quelques jours qu'il soupçonnais que j'étais là. Enfin bref, ils se sont défoulés quand ils ont enfin réussi à m'attrapper.

Je relevais la tête vers elle. Il ne m'aurais suffit que me pencher légèrement si j'avais voulu l'embrasser. Et même si au fond de moi j'en rêvais, je ne le fis pas. En grande partie parce que j'aurais eu l'impression qu'elle ne m'embrasse que par pitié en retour.

- Tu m'as manqué Princesse, dis-je finalement
En entendant ses mots, son visage s'est illuminé et elle m'offrit un sourire spendide
- Toi aussi tu m'as manqué, me répondit-elle

Après quelques minutes de silence elle se mit à jouer nerveusement avec ses doigts. Elle se sentait impuissante, je le voyais bien. A vrai dire, moi aussi mais il n'y avait rien que nous puissions faire à part attendre.
Sans me soucier de mon bras toujours douloureux, je pris la main de Clarke. Elle se calma presque instantanément.
Je suis peut être pas le seul à ressentir quelque chose après tout.

- On trouvera une solution, Clarke, ne t'en fais pas.
- Je sais ...
Elle posa tout en douceur sa tête sur mon épaule. Je regardais nos mains toujours enlacés. Elles semblaient parfaitement bien s'emboîter. Et même si nous étions enfermer dans une minuscule cellules entouré de futurs faucheurs et que tout mes muscles me faisais mal, je dois dire que ce moment était parfais.

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