Chapitre 52

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Précédemment :

Nicolas

Me voilà prêt à aller chercher ma future femme chez son père pour aller à la mairie.

Me voilà prêt à aller chercher ma future femme chez son père pour aller à la mairie

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Hamza : T'es prêt ?
Moi : Oui, allons-y.

On sors de chez Hamza avec Imran et on entre dans la limousine prévue pour nous.

Une fois qu'on est arrivés chez mon beau-père, le chauffeur se gare. On sors tous les trois de la voiture et entre dans la maison après y avoir été invités par mon beau-frère et meilleur ami. Imran ne perd pas de temps et pars voir sa mère a l'étage tandis que je vais m'asseoir avec mon beau-père et mes deux amis au salon en attendant la venue de ma reine.

Isnaëlle

Je finis de me faire maquiller par une esthéticienne que je vois mon fils arriver.

Imran : Maman.
Moi : Bonjour mon chéri. Tu as bien dormi avec papa hier ?
Imran : Oui mais t'étais pas là pour lire l'histoire avec lui.
Moi : Je sais. On descend ?
Imran : Oui.

Je descends avec les filles et mon fils dans ma superbe robe.

Sans oublier mon ventre de 3 mois

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Sans oublier mon ventre de 3 mois.

En arrivant, je vois les hommes de ma vie dans leurs costards

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En arrivant, je vois les hommes de ma vie dans leurs costards.

Nicolas : T'es magnifique.
Moi : Merci, toi aussi.
Isnel : Allez on doit y aller. Faut pas être en retard à la mairie.

Nicolas vient me tendre le bras et m'emmène dehors pour rejoindre la limousine prévue pour nous.

Moi : T'as vraiment pas fait les choses à moitié.
Nicolas : Tu veux dire nous ?
Moi : Si tu veux. On y va ?
Nicolas : Allons.

Je commence à entrer jusqu'à ce que je remarque que j'ai un petit souci avec ma robe.

Moi : Isnel. Viens nous aider avec ma robe s'il te plaît.
Isnel : J'arrive.

Il vient nous aider et on arrive au bout de 5 minutes à faire entrer ma robe sans la froisser.

Moi : Merci.
Nicolas : On aurait dû prendre une décapotable.
Moi : Non. Il va faire froid.
Nicolas : J'allais oublier que t'étais une frileuse.
Moi : Arrête. C'est pas de ma faute.
Nicolas : C'est pas de la mienne non plus.

Une fois qu'on est arrivés à la mairie, on est accueillis par la cité et les paparazzis.

Journaliste 1 : Bonjour. Quels sont vos émotions pour votre mariage aujourd'hui ?
Journaliste 2 : Il paraît que vous allez arrêter vos carrières. Est-ce vrai ?
Journaliste 3 : Vous étiez en voyage il y a une semaine. Y'a t'il une raison particulière à cela ?
Yanis : Excusez-moi. Mesdames et messieurs, je vous prie de vous éloigner des jeunes fiancés pour qu'ils puissent se marier.

Nicolas entre en premier aux bras de sa mère et je fais de même avec mon père. On pars ensuite s'asseoir en face du maire.

Maire : Je suis heureux de vous accueillir, mesdames et messieurs, ce 16 septembre dans notre bel Hôtel de ville de Paris afin de célébrer l'union d'Alami Isnaëlle avec Batum Nicolas. En tant qu'officier de l'état civil, c'est toujours avec honneur et plaisir que je reçois, sous le toit de la République, les futurs époux qui ont choisi la voie de l'engagement mutuel. En effet, choisir le jardin du mariage, en dépit de l'évolution actuelle des modes de vie et de la cellule familiale, pour y planter votre amour et le voir s'épanouir, grâce à l'attention quotidienne que vous lui apporterez, relève bien de l'engagement. Un engagement civique et moral qui suppose pour les époux un respect réciproque, une assistance de chaque jour et une relation de fidélité. Je pense pouvoir parler au nom de vos familles, de vos amis et de tous ceux qui vous sont chers et qui ont choisi d'assister à la célébration de votre union aujourd'hui en vous souhaitant de nombreux jours ensoleillés. Mais chacun sait qu'il y aura aussi des jours de pluie et c'est dans ces moments-là que la force, l'amour, la constance et l'implication de chacun dans la relation qu'il choisit aujourd'hui d'officialiser, prendront toute leur valeur. Il m'incombe, par ma fonction, de rappeler ces valeurs qui sont celles du mariage et que vous vous engagez à honorer. Pour conclure, car je sais combien cette journée exceptionnelle est aussi une journée euphorique mais fatigante, je tiens à vous féliciter chaleureusement et à vous souhaiter une longue et heureuse route commune. Je remercie également tous les assistants pour leur présence significative ce 16 septembre. Nous allons à présent procéder au volet administratif du mariage de mademoiselle Alami Isnaëlle avec monsieur Batum Nicolas.

Après nous avoir lu ce volet administratif, il commence à parler de nos vœux.

Maire : Mademoiselle Alami, souhaitez-vous prendre pour époux Monsieur Batum Nicolas ici présent ?
Moi : Oui, je le veux.
Maire : Monsieur Batum, souhaitez-vous prendre pour épouse Mademoiselle Alami Isnaëlle ici présente ?
Nicolas : Oui, je le veux.
Maire : Je vous laisse procéder à vos vœux.

Imran arrive avec les bagues et viens près de nous.

Nicolas : Moi, Nicolas, je te prends toi,Isnaëlle pour épouse, à partir de ce jour, pour rire avec toi dans la joie, pour partager avec toi les moments de tristesse, pour grandir avec toi dans l'amour et pour t'être fidèle, tous les jours de notre vie.

Nicolas prends la bague et me l'enfile.

Moi : Aujourd'hui, Isnaëlle, je te prends pour être mon mari. Je promets de t'aimer pour le meilleur, pour le pire, en état de maladie ou en bonne santé, jusqu'à ce que la mort nous sépare.

Je prends sa bague et la lui mets au doigt.

Maire : Par les pouvoirs qui me sont conférés, je vous déclare mari et femme. Vous pouvez embrasser la mariée.

Je me tourne vers mon mari et il m'embrasse le front.

Avant de sortir de la mairie, on commence à signer tous les papiers et on récupère notre livret de famille.

Aziz : Faudrait aller faire la fête là non ?
Walid : On a une surprise avant pour les jeunes mariés. Je vais demander à tous les invités de sortir et de se mettre derrière les gens que vous verrez dehors. Ensuite les mariés vous pourrez sortir.

Je me baisse vers Imran qui était resté avec nous et lui fait un gros bisou.

Moi : Imran, va avec mamie Chaïma, on arrive. D'accord ?
Imran : D'accord.

Il cours vers sa grand-mère et tout le monde sort.
Nous, les mariés, sortons deux minutes après eux.

Abandonnée. Pourquoi ?Where stories live. Discover now