Chapitre 8: Chassé et Libre

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Le vieillard s'écarta laissant appercevoir mon dragon.
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- Nous allons l'emmener à l'abattoir ! Cria Peter. Il ne doit rester plus aucune de ces espèces assoiffés de sang, vous pouvez...

- NON '!!! Hurlais-je. Ce dragon m'appartient, vous n'avez sous aucun prétexte le droit de toucher ne serait-ce une écaille !

Je me rendit compte que je n'aurai pas dû leurs dire que ce dragon m'appartenait car la foule fit entendre ses picassement insupportable.

- Il ne vous ferai aucun mal ! Réprimendais-je. Je vous demande de l'accepter tel qu'il l'ait, ne le juger....

- Il ne nous ferait aucun mal ? Ha ha ha ha... se mit à rire une femme pourvu d'une tunique mi-long.

Elle s'arrêta de rire, au bout de quelques instants et pris à regard perdu.

- Ces bêtes on détruit mon enfance ! Ils ont exterminées ma maison, tué mes parents sous mes yeux. Et après cela vous croyez que je devrais leurs pardonner ! Vous vous mettez le doigt dans l'oeil, le jour où je les accepterais parmis nous, je serais dans un monde situé dans l'Au delà ! S'exclama avec beaucoup d'émotion la paysanne.

Elle continua son discour dont je n'écoutais plus la fin, car je n'avais qu'une seule chose en tête, sauver ma petite boule d'écailles. Je ne vais tout de même pas la laisser se faire tuer. Elle ne se doute pas de se qui l'attend.

La foule recommença son papotage lorsqu'une voix qui me parus familière sortie de nul part, s'éleva.

- Attrapez la reine, nous n'allons pas la laisser nous tuer avec cette espèce, maudites depuis des décennies !

Mon coeur battait à milles à l'heure, la foule se rapprochais de moi. Mon seul objectif fut devant moi. Je couru le plus vite possible, arracha la corde des mains du fils du boulanger, pris le dragon dans mes bras et essayait de trouver une issue de secours. Je me frayais un passage dans la foule et une fois la tête dehors, je pris mes jambes à mon cou et rentra dans le château.

Les servante et tous ce qui suit me regardèrent étrangement, car normalement, sauf dans ce cas de vie ou de mort, il y ait interdit de courrir.

Je tourna ma tête dans tous les sens, dans l'espoir de trouver une sortie.

Je descendit vers le sous-sol où se trouvait l'écurie. Dans mes bras le poids se faisait lourd mais je n'allait pas abandonner si proche du but.
Les enclos enfermaient des chevaux destiné au course ou lors des tournois des chevaliers. Je choisis un cheval dont la robe fut noir et  la crinière de même.

Sans aucune hésitation, je grimpa sur lui en m'accrochant à sa crinière plutôt longue. Je tenais encore fermement le dragon et le déposa délicatement sur mes genoux. Je tira un grand coup sur les renne. Le cheval galopa à vive allure en direction de la sortie du château lorsque derrière nous j'entendis :

- Elle est là !!!

Des villageois coururent derrière mois en espérant pouvoir me rattraper, mais mon cheval réserver aux tournois et souvent entraîner, les battaient très facilement.
Prenez-en de la graine, murmurais-je intérieurement. Je me courbais pour prendre de la vitesse et donnais un coup sec et ferme sur les rennes. Le vent faisait voltiger ma chevelure blanche. Je respirait cette air frais et pour la première fois savoura la liberté.

Nous nous étions déjà beaucoup éloigné du château, je voyais à peine sa silhouette se dessiner au loin. Je ne savais pas où je me dirigeais mais je ne m'en préoccupait guère, car cette liberté me faisait un bien fou.
J'observa d'un air maternel mon petit dragon qui roupillait tranquillement sur moi. Je m'amusais à compter ses écailles piquantes et j'eu enfin la réponse à ma question; c'était une femelle. Je le sus car il en avait moins de vingt, précisément dix-huit, ce qui signifie que c'est une femelle.

- Je vais t'appeller Saphira. C'était le prénom de ma grand-mère et je maintenant je te l'offre.

Ma dragonne écarquilla ses petits yeux encore fragile et me fixa droit dans mon regard. J'en déduisais qu'elle l'aimait bien.

Je me reconçentrais sur ma traversé et m'appercu que nous entrions dans la forêt. Des branches brouillaient mon champs de vision. J'essayais de les esquiver mais elles étaient trop nombreuses. Soudain je sentis mon cheval se cabrer. J'essayais d'apercevoir la cause de ce geste et je me rendit compte que le sol nous engloutissait...

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Si vous avez des fictions à me proposer (que ce soit les votre ou autres) n'hésitez pas à me le dire en commentaire ❤

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Je vous adore ♥
Reading_paradise ❤❤❤

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