Chronique d'Isleym: C'est toi...

By syrinee_75

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Pour les faibles la vie est une pute, mais pour nous la vie est une lutte. More

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Partie 8
Partie 9
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Partie 11
Partie 12
Partie 13
Partie 14
Partie 15
Partie 16
Partie 17
Partie 18
Partie 19
Partie 20
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Partie 28
Partie 29
Partie 30
Partie 31
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Partie 33
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Partie 35
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Partie 43
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Partie 47
Partie 48
Partie 49
Partie 50
Partie 51
Partie 52
Partie 53
Partie 54
Partie 55
Partie 56
Partie 57
Partie 58
Partie 59
Partie 60
Partie 61
Partie 62
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Nouvelle chronique

Partie 39

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By syrinee_75

PARTIE 39:

Aymen déposa un bisou sur mes cheveux, et nous nous endormions comme sa, dans les bras l'un de l'autre.

**

Je fus réveillé le lendemain matin par la sonnerie de la maison. Je regarde mon reveil, il est midi.Mais qui peut bien venir maintenant ?

Aymen: PUTA*N C'EST QUI QUI SONNE COMME SA LA ??

Moi: Humm, je ne sais pas (voix d'endormi).

Je commence à me lever pour aller ouvrir quand Aymen m'attrape le bras.

Aymen: Tu fais quoi la ?

Moi: Je vais ouvrir !

Aymen: Tu ne bouges pas de là Ouais !

Je vois Aymen se levait enfiler un bas de survêt, et rester torse nu !
Il descend en bas pour aller ouvrir.
Pensant que c'est pour lui, je me rallonge sur mon lit pour essayer de trouver le sommeil quand j'entends:

?: ISLEYYMM !!!

O mon Dieu, sa sent les problèmes, j'ai reconnu la voix de Maman.

Je descends au salon, et je vois ma mère regardait de travers Aymen, quant à Aymen il me regarde arrivé au salon.

Quand ma mère m'a vu arriver, elle c'est avancée vers moi et m'a giflé.
Ma tête a tourné sur le coté, à cet instant je me suis senti humilié, non maman n'avait pas le droit de me tapé, pas après tout les efforts que j'ai fait pour elle dans le passé.
Aymen surpris (tout autant que moi), c'est avancé vers ma mère:

Aymen: OH ELLE EST ENCEINTE LA !!

Il a levé le ton sur ma mère, je savais déjà que tout était foutu.
Ma mère a un caractère très fort, et elle prend souvent des décisions très rapidement mais si un jour elle regrette ces décisions, elle ne reviendra jamais vers la personne et n'avouera jamais son erreur. Trop de fierté !

Maman: CRIE PAS SUR MOI TU ENTENDS ! TU ME DOIS LE RESPECT C'EST CLAIR.

Aymen c'est avancé vers moi, et m'a tenu le visage:

Aymen: Isleym, sa va ?

J'ai seulement hochait la tête, car je savais que si je parlais les larmes allaient coulés.

Aymen: (en se retournant vers ma mère): Il est ou votre problème à vous ?

Maman: Mon problème ? Il est bien simple mon problème ! Ma fille s'enfuit de chez moi, je n'ai pas dormi de la nuit pour elle, et j'apprends que tu l'as récupéré et tu ne l'emmènes pas chez elle, mais chez toi ! Il est la mon problème !

Aymen: Ici c'est chez elle !

Maman: Non ce n'est plus chez elle à partir du moment où tu es parti avec ta mère.

Aymen: sa ne vous regarde pas ! Qu'on se mette d'accord les problèmes entre Isleym et moi reste entre elle et moi.

Moi je ne parlais pas, j'assistais juste à cette scène qui me tué de l'intérieur.

Maman: isleym, tu prends toute tes Affaires maintenant.

Aymen: Pourquoi faire ?

Maman: Je ne parle pas à toi mais à ma fille.

Aymen: C'est ma femme, elle va nulle part sans mon autorisation.

Maman: (à moi): Alors c'est sa que tu veux Isleym ? Etre la chienne de ton mari ?

Aymen: Vous cherchez quoi là ?

J'essayais d'intervenir mais je n'y arrivais pas, c'étais trop dur, comme si ma bouche était cousu.

Maman: Je me répète pas Isleym, tu me prends toutes tes affaires et on bouge d'ici.

Aymen: Mais je ....

Aymen allait répondre une connerie, je le savais. Il fallait que j'arrive à parler, Il le fallait ! Allah s'il te plait aide moi, s'il te plait.

Moi: (en le coupant): Maman pourquoi faire prendre mes affaires ?

Maman: Tu rentres à la maison !

Moi: Mais maman c'est toi qui m'a renvoyé de la maison (partie 35)

Aymen: QUOI COMMENT SA ?? (à ma mère): VOUS AVEZ RENVOYER MA FEMME ET MON BEBE DE CHEZ VOUS ?

Maman: SA TE REGARDE PAS CE QUE J'AI FAIS D'ACCORD ! TOI T'AS RIEN A DIRE !

Aymen: PUTA*N J'Y CROIS PAS!

Moi: Non maman, je ne rentre pas.

Maman: T'es Sur Isleym ? Regarde moi bien si ce soir tu rentres pas avec moi ta mère , tu n'es plus ma fille !

Aymen: Vous n'avez pas honte de dire sa à votre fille ?

Maman: (en ignorant Aymen): Celui qui te sert de mari n'a pas hésité à choisir sa famille face à toi Isleym, si c'était à refaire il le referais.

J'étais en plein doute, maman ne me demande pas tout sa.
Maman ne me demande pas de faire un choix entre toi, ou le père de mon enfant, celui avec qui tu m'as marié, maman fait pas sa s'il te plait !

Aymen: VOUS ALLEZ NOUS FAIRE RAPPELEZ SA ENCORE COMBIEN DE TEMPS HEIN ?

Maman: AUSSI LONGTEMPS POUR QUE VOUS COMPRENIEZ L'ERREUR QUE TU AS FAIT !

Aymen: JE SAIS QUE J'AI EU TORD ! ET LA SEULE AVEC QUI JE DOIS EN PARLER C'EST MA FEMME PAS VOUS !

Maman: Je ne parle pas plus, Isleym c'est moi ou ton mari.

Je ne répondais pas, sans ma réponse ma mère ne pourra pas partir.
Et si je me taisais a vie, pour les garder les deux à mes cotés.
Je comprends Aymen à présent, quelle choix difficile de choisir entre sa mère, ou son mari !

Maman: ISLEYM ! REPOND TOUT DE SUITE !

Moi: Maman, Maman, je suis enceinte !

C'est tout ce que j'ai réussi à répondre, comme si elle ne le savait pas ! Mais je voulais qu'à travers cette phrase elle se dise que j'étais enceinte et qu'elle n'avait pas le droit de me demander de choisir entre elle et le père de mon bébé.

Maman: Arrete Isleym, Arrête de tourner autour du pot, Ta grandi maintenant. Assume ce que tu veux !

Assumer, c'est vrai il serait temps que j'assume à trois je dis ce que je veux !

un:

Maman: Dépêche toi Isleym !

Aymen: VOUS N'AVEZ PAS HONTE !

Deux:

Maman: SA TE REGARDE PAS TU ENTENDS ! C'EST ENTRE MA FILLE ET MOI !

Trois:

Moi: Maman je veux ....

Aymen: ELLE RESTERA ICI POOINT !

Maman: NON JE VEUX L'ENTENDRE DIRE DE LA BOUCHE DE MA FILLE.

Moi: (doucement): Je reste ici maman

Ma mère m'a regardait puis m'a sourit tristement:

Maman: Sa ma fille, tu t'en mordras les doigts plus tard ! Croit moi !

Puis maman c'est retourné à ouvert la porte d'entrée puis est parti.

J'ai chuchoté doucement:

Moi: Maman.

Aymen c'est avancé vers moi, m'a pris dans ses bras, et m'a serrait super fort dans ses bras.

Aymen: Je te l'avais dit Isleym t'es trop têtue. Si tu serais parti hier tu en serais pas là.

J'aurai du réagir au quart de tour, sauf que je comprenais qu'il faisait tout sa pour moi.
Il savait que sa me tué cette situation avec ma mère, et je sais qu'il veut que je le déteste pour que je sois en bon terme avec ma mère. Sauf que c'est elle qui a choisi cette situation.
Pas moi, ni Aymen, Ni mon bébé.

Moi: Arrête Aymen à cette heure si je n'ai pas besoin de ton jeu de gamin, mais j'ai besoin de ton soutien.

Aymen ne m'a pas répondu, il m'a simplement encore plus serré dans ses bras.

***

Nous voilà la soirée, après cette soirée mouvementé, je suis très fatigué, et Aymen est allé à l'hôpital voir son père.
Moi je n'en avais pas la force. Quand d'un coup la porte à sonné.
Aymen n'à cesser de me dire de ne jamais ouvrir la porte quand il n'est pas là, mais ce soir je l'ai pas ecouter, j'aurais peut être pas du qui sait ?

Je me dirige lentement vers la porte d'entrée, je l'ouvre et en face de moi y est mon frère Youssef :

Moi : Qu'est ce que tu fais la ?

Youssef : Salle p*te !

Il me cracha au visage.

Moi : MAIS T'ES MALADE !!

Youssef : Regarde-moi bien ! Regarde-moi très bien ! J'espère que Dieu te punira pour ce que tu as fait à maman. Que Dieu te maudisse, j'espère que tu crèveras, toi ton bébé, et ton P* de mari.

Moi : (en larmes) : Qu'est ce qui te prend Youssef ?

Youssef : Prononce plus mon nom. T'es plus ma sœur, la seule sœur que j'ai c'est Sarah. Toi crève en enfer, je veux plus entendre parler de toi. A partir de ce moment là, tu n'es plus ma sœur.

Il est reparti, j'étais toujours debout, face à la porte, mais mon cœur !

Comment vous décrire ce qu'il se passait dedans pour que vous compreniez ?

Il ce compresser, il devenait trop lourd.
Ma respiration s'arrêtait, je me sentais de plus en plus mal.
Mon visage était mouillé, de quoi ? Je ne sais pas !
C'est seulement en mettant mes mains à mon visage, que j'y ai vu de l'eau.
De l'eau, mes larmes sont donc sorties alors !
Je ne suis pas assez forte pour les gardé ?

Non, un jour on m'a dit que pleurer n'étais pas une faiblesse !

J'avais besoin d'une seule personne, j'avais besoin de cette personne là, comme mon corps avait besoin d'oxygène.

Je tombe à terre, et prends mon téléphone je compose son numéro

S'il te plait, viens j'ai besoin de toi, j'ai besoin de te savoir là prés de moi, j'ai besoin de savoir que tu seras toujours là !

Toujours ? Qui sait peu être que le Mektoub (destin), Nous réserve autres choses.

Des avis ?

Notre Prophète sallAllahu alayhi wa salam a dit :

« La pudeur est un signe de la foi. Or, la foi mène au Paradis ....
Tandis que l'obscénité est un tort, et que le tort causé à autrui mène à l'Enfer »

Rapporté par Ibn Hebban.



Aller tous lire Chronique d'Inaya : Parce que la mort met tout le monde d'accord cst de la frappe je vous le conseille vraiment

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