PDV : McGonagall Vendredi 09 Novembre
Je me réveil en sursaut à cause du bruit que fait un hibou à ma fenêtre. Je me lève de mon lit et regarde l'heure qu'il est. Je vois qu'il est à peine 06h00 du matin, je me demande bien qui peut m'écrire à cette heure ci. J'ouvre au hibou et lui prend la lettre, je l'ouvre et la lit.
Professeur,
Je suis actuellement en compagnie de Hermione Granger. Nous sommes en danger.
Je me permets de vous écrire afin de savoir si vous pouviez nous autoriser l'accès à votre cheminée afin que nous arrivions dès aujourd'hui au château.
Je vous promets de tout vous expliquer.
Hermione me dit de vous dire :
« il dit la vérité professeur, et pour vous le prouver je vais vous dire une chose que seule vous et moi savons. Lors de ma troisième année vous m'avez permis de pouvoir assister à tous mes cours alors que je n'en avais pas le TEMPS »
Aidez-nous professeur
D.M et H.G
Je suis choquée à la lecture de cette lettre, mais je ne sais pas pourquoi mais j'ai confiance en eux. Je me dirige donc dans mon bureau, une fois arrivée je passe ma tête dans la cheminée afin de pouvoir discuter avec monsieur Malefoy dans sa demeure.
McGo : Monsieur Malefoy ?
Drago : Ah professeur, vous avez reçut notre hibou ?
McGo : Que se passe t'il ? Miss Granger, que faite vous ici ?
Hermione : Sans vous manquez de respect madame, mais pouvons nous remettre les questions à plus tard dans votre bureau ? Vous est-il possible de nous ouvrir l'accès à votre cheminée ?
McGo : Très bien, d'ici 5 minutes la cheminée sera ouverte pendant 5 minutes. Dépêchez vous !
PDV : Drago Vendredi 09 Novembre
Non mais elle est sérieuse là. Elle croit réellement qu'on va prendre notre temps alors qu'on attend sa réponse depuis plus d'une heure. Vu ce qu'il s'est passé cette nuit, je n'ai qu'une envie c'est de mettre en sécurité mon ange. On rapetisse nos valises et on se dirige l'un après l'autre dans la cheminée pour arrivée quelques secondes plus tard dans le bureau de McGo.
McGo : Très bien, maintenant que vous êtes ici. Pouvez-vous vous expliquer ?
Au moins elle n'y va pas par Quatre Chemins . Hermione commence à lui raconter toute l'histoire. Moi je me pose sur un des fauteuils et commence à réfléchir : mais comment il a fait pour rentrer chez moi, c'est impossible normalement.
Flashback
PDV : Drago Jeudi 08 Novembre
On a passé une journée mémorable avec Hermione aujourd'hui. Ce matin, juste avant son réveil, j'ai été lui préparer un petit déjeuner que je lui ai apporté dans la chambre. Je l'ai réveillé à l'aide de petites caresses sur son visage et de petits bisous.
Hermione : elle sourit les yeux toujours fermés. Hum... J'adore les réveils comme ça.
Drago : Allez ma petite marmotte le petit déjeuner de ma princesse est servi.
Elle ouvrit les yeux et s'installa correctement sur le lit afin de prendre son petit déjeuner. Une fois celui-ci fait, nous allâmes tous les deux dans nos salles de bains respective afin de se préparer. C'est au bout d'une heure que nous sortions de la maison afin de se promener. Nous arrivâmes sur le chemin de traverse, tout se passait bien jusqu'au moment ou des journalistes nous ont vu. Comme on ne voulait pas faire la une de la presse sorcière à scandale, nous avons décidé de transplanner dans le Londres moldu. On a passé la journée à faire du lèche vitrine et à s'amuser tous les deux comme des enfants. Le soir venu, j'emmena ma princesse dans un petit restaurant, elle avait l'air d'être au ange. Et pour moi ce fut la meilleure soirée de ma vie. Après le restaurant, nous avions décidé d'aller boire un verre dans un bar branché moldu. Mis à part des gros lourd qui n'ont pas arrêtés de la draguer, la soirée était parfaite. Nous sommes rentré au manoir vers 02h00 du matin.
Une fois à l'intérieur du manoir, là ce n'était déjà plus la même ambiance. Je ne sais pas pourquoi mais je ne me sentais pas en sécurité. Je me mis à appeler Pooky et ses frères mais pas de réponse. J'ai pu voir qu'Hermione était dans le même état de moi. On s'est avancé dans le salon, et là se fut la douche froide. Mon salon que j'avais si bien décoré était redevenu celui du temps du Lord dans ma maison. Dans un réflexe de protection je pris Hermione dans mes bras et nous avancions à l'intérieur du salon. Dans celui-ci trois petits corps gisaient. Je me précipite sur eux, Hermione à mes talons. Il s'agissait de mes elfes, à l'aide du sort de soin Episkey nous les avons soignés.
Drago : Pooky, que c'est il passé ? Je pris mon elfe dans mes bras.
Pooky : Maître... C'était Avery... Je ne sais pas comment il a fait pour rentrer, mais il était en colère. Il nous a attaqué car nous refusions de dire ou vous vous trouviez. Je suis désolée mon maître, je n'ai pas su protéger le manoir.
Drago : Ne t'inquiète pas pour ça Pooky. Le plus important c'est que vous alliez bien tous les trois.
Nous déposions mes trois elfes dans leur chambre, et avec Hermione nous avons replacer de nouvelles barrière dans la maison. Au bout d'une heure nous avons décidé de monter nous coucher dans ma chambre. Une fois dans celle-ci, je remarque que tout a été déplacé. Je vais dans la salle de bain et je peux lire un message sur le miroir :
Honte à toi !
A
Hermione complètement en panique se dirige instinctivement vers sa chambre, et là se fut pire. Pratiquement toutes ses affaires était déchiré ou abimé. Comme moi elle parti dans la salle de bain, moi derrière elle, et on pu lire sur le miroir :
Aujourd'hui c'est tes affaires... demain se sera ta vie...
A
A la fin de ma lecture, la panique me gagne. Je hurle sur Hermione de faire sa valise et part en direction de ma chambre afin d'écrire une lettre.
Fin flashback
Hermione a enfin fini de tout raconter, McGo a l'air sous le choc. Elle nous dit qu'elle va prévenir les aurores afin qu'il mène l'enquête, et ensuite elle nous demande de rejoindre nos appartements. C'est ce que nous fîmes avec mon ange.
Une fois installé dans sa chambre impossible de trouver le sommeil, soudain une idée me vient à l'esprit, peut-être que ça va lui permettre de penser à autre chose. Je me dirige alors vers ma valise, je l'ouvre et trouve un petit coffret, le dernier.
Drago : Mon ange ? Je me tourne vers elle.
Hermione : Oui mon amour, je frissonne à ce surnom et elle en sourit.
Drago : Je sais que la soirée a été dure, mais je pense que ça peut peut-être te changer les idées. Je lui tends le coffret. Il s'agit du dernier coffret afin que tu saches tout de moi.
PDV : Hermione Vendredi 09 Novembre
Drago me tends le dernier petit coffret. Je vois dans son regard qu'il n'a pas l'air d'aller bien, avant d'ouvrir le coffret je le fais assoir sur le lit et je m'installe sur lui. Je l'embrasse avec une fougue que je ne connaissais pas en moi, il répond à mon baiser de la même intensité. Je romps le baiser par manque d'air et rougis un peu de mon comportement. Il me relève la tête et me murmure à quelques millimètre de mes lèvres « Je t'aime ». Je lui réponds que moi aussi sans lui dire réellement les mots je t'aime, et je redirige mon attention sur le coffret.
Je l'ouvre et peux y voir une petite breloque en forme de la lettre P incrustée de diamant. Je me tourne vers Drago et hausse un sourcil. Je n'arrive pas à savoir en quoi consiste la signification de la lettre P, à son regard je vois qu'il comprend mon doute et il me dit :
Drago : Le P signifie le mot PARDON. Car je suis profondément désolé de tout ce que tu as vécu par le passé par ma faute. Et ce mot prend aussi du sens aujourd'hui, car je te demande pardon de t'attirer des ennuies encore aujourd'hui. Il fond en larme.
Hermione : je lui relève la tête afin de plonger mon regard dans le sien. Le passé c'est le passé, par contre je refuse que tu te reproches quoique se soit concernant les événements ressent. Tu n'es pas fautif. Je ne comprends pas ce qu'il se passe en ce moment, je ne sais pas qui a pu entrer dans mon appartement. Car je ne pense pas que ce soit Avery qui est pu tout faire seul. Je ne comprends pas d'ailleurs comment il peut entrer en contact avec ton père, alors qu'il est enfermé. Mais sache que s'il y a bien une chose que je comprends c'est mon amour pour toi. Donc cesse de t'excuser et prend moi dans tes bras.
À la fin de ma petite tirade, il n'a rien dit mais m'a juste encerclé de ses bras. Il s'agissait d'une étreinte douce mais protectrice à la fois. Je me sentais tellement en sécurité dans ses bras que je me suis laissé porter par Morphée.