(En média, Earned It de the Weeknd)
Quand un homme n'a pas peur
de coucher avec une femme,
c'est qu'il ne l'aime pas.
Jacques Brel
Je ne peux pas attendre une seconde de plus. Le peu de patience qui me restait lorsque nous avons quitté la voiture vient de céder, je suis tendu comme un élastique.
Et puis merde! Je m'en fiche. Je suis tellement impatient de me laisser guider par Mia à l'intérieur que j'ai du mal à mettre de l'ordre dans mes pensées. Elle rit doucement quand je la tire à l'intérieur de la maison et ferme la porte en la verrouillant avec un caractère définitif qui me procure une certaine satisfaction. Personne ne viendra nous déranger. Je ne le permettrai pas. Il faut que je voie Mia nue. Il le faut. Je n'ai pas le choix.
Je la presse contre le mur attendant à la porte d'entrée et pose les mains au-dessus de sa tête. On s'embrasse jusqu'à être tous deux submergés par le désir. Nos hanches s'imbriquent et on se frotte l'un contre l'autre. J'attrape l'ourlet de sa robe et le fait remonter le long de ses cuisses.
Mia: Tu essaies de me déshabiller?
J'adore le timbre de sa voix et l'affection avec laquelle elle prononce ces mots. Je hoche la tête, incapable de prononcer un mot de peur de gâcher cet instant.
J'attrape son visage entre mes deux mains, ce putain de visage tellement parfait et tellement doux. Je l'embrasse plus sauvagement, plus violemment, plus désespérément que jamais. Elle répond à mon baiser et ma langue se faufile dans sa bouche douce comme de la soie où j'en découvre chaque centimètres. Sa peau est comme le paradis, les nuages, elle vous supplie de la prendre, de la pénétrer, de la posséder. Cette robe met en valeur chaque courbe de sa peau et à cet instant, je me déteste d'avoir insisté pour l'acheter. Elle est putain de belle bordel.
Elle rompt le contact de nos lèvres et m'emmène à l'étage où elle me fait entrer dans sa chambre. Je la regarde, haletant. Elle laisse échapper un petit gémissement et c'est elle qui retire ma veste de costume. Elle se décolle légèrement de moi et je la regarde, les lèvres rouges et brillantes, défaire chaque boutons de ma chemise. Jusqu'à présent, je n'avais jamais rien vu de plus sexy que Mia qui me déshabille. Mais je sais que je ne suis pas au bout de mes surprises et que cette nuit sera inoubliable.
Je plaque une main sur sa chute de reins et elle semble percevoir la chaleur de ma paume qui se diffuse à travers sa robe car elle se cambre en poussant un léger cri qui témoigne de son plaisir et de son excitation. Elle relève ses yeux et les plante dans les miens en s'immobilisant quand elle se rend compte de son geste.
Mia: Que-
Moi: Ce n'est rien Mia... C'est normal.
Elle baisse la tête cache son visage entre ses mains. Oh non, ne me dites pas qu'elle veut arrêter...
Moi: Tu regrettes? Tu veux qu'on arrête?
Elle vient de sentir sa première grosse vague de plaisir et de désir, je comprends que ça la secoue.
Mia: Non, c'est juste que tout ça, c'est nouveau pour moi.
Moi: On y va pas à pas. Si tu veux qu'on se stoppe, qu'on fasse une pause, ou je ne sais quoi, tu le dis. On est deux dans l'histoire, alors il faut qu'on parle, tu comprends?
Mia: Oui...
Moi: Tu es sûre que tu veux continuer?
Mia: Oui.
Moi: Vraiment certaine?
Je préfère insister pour être sûr de ne pas la forcer à faire quelque chose qu'elle ne veut pas. D'une main, je l'attire contre moi.
Mia: A cent pour cent.
Elle presse sa bouche sur le haut de mon torse, aspire légèrement ma peau et laisse sa langue dériver vers ma pomme d'Adam. De mes deux pouces, je lui soulève le menton et, tandis que j'incline la tête, elle pose les mains sur mes épaules et y prend appui pour se hisser vers mes lèvres. Nous ne sommes qu'à un millimètre. Je soupire, puis écrase ma bouche sur la sienne en toute délicatesse. J'ai trop besoin de la toucher, de la goûter, de la dévorer... Au moment où le bout de ma langue rencontre les lèvres de Mia, celle-ci les ouvre. Elle caresse ma joue et la fièvre s'empare de mon esprit lorsqu'elle se presse encore plus fort contre moi. Est-elle aussi excitée que moi?
Moi: Allez, viens par ici.
Je lui offre un petit côté charmeur et elle se laisse guider d'un pas léger sur le parquet doré. Elle a enlevé ses escarpins et je la domine à présent d'une bonne tête et demie. Quand je m'allonge en l'entraînant avec moi, elle retrousse sa robe afin de plaquer ses jambes de part et d'autre des miennes. Ses gestes sont peu assurés mais j'apprécie qu'elle suive le mouvement et qu'on découvre les sensations ensemble.
A califourchon, elle finit de déboutonner le bas de ma chemise et tire sur les pans pour me la retirer. Lentement, elle caresse du bout de ses doigts mes pectoraux, les côtés, les abdominaux qui se contractent sous ses doigts. Mon souffle est court et je me déhanche tandis que de l'index, elle atteint la boucle de sa ceinture. Ses yeux brillent lorsqu'elle m'embrasse de nouveau et je me laisse faire volontiers, dévorant sa bouche et laissant courir mes mains de haut en bas, le long de ses flancs.
Je reprends alors les rennes et remonte la robe de Mia en la tirant délicatement au-dessus de sa tête. Comme je l'avais vu précédemment, elle ne porte pas de soutien-gorge et ses tétons durs se retrouvent qu'à quelques centimètres de mon visage. J'ai le souffle court et je ne parviens pas à détacher mon regard d'elle. Elle est magnifique et elle a les plus jolis mamelons rose pâle que j'aie jamais vus. Je lui jette un petit coup d'œil puis je les touche, les prenant dans mes paumes pour passer mon pouce sur le devant. Un doux gémissement vient récompenser mes effort et je les suce à tour de rôle, les titillant et tournant ma langue sur son auréole jusqu'à ce qu'elle soupire. Je joue à attiser notre désir et j'ai l'impression que je vais exploser. Elle parvient ensuite à détacher ma ceinture, mais ses doigts tremblent tant qu'elle peine à déboutonner la braguette. Sa nervosité me fait rire et je viens vie à sa rescousse en me débarrassant moi-même rapidement de mon pantalon.
Lorsque je me mets au-dessus et ondule sur elle, elle perçoit la bosse rigide de mon érection sous mon caleçon. Elle a le souffle coupé. Elle ouvre des yeux immenses en découvrant pour la première fois mon énorme érection. C'est exactement la réaction que je souhaitais. En fait, elle est intimidée et ça peut se comprendre. C'est la première fois qu'elle en voit une, et surtout, la mienne.
Je l'entends murmurer mon nom pendant que je l'embrasse dans le cou, juste sous la mâchoire, une zone si sensible qu'elle manque de crier de plaisir. Heureux qu'elle soit si réceptive, je suis des mains la ligne de ses côtes, de ses hanches pour venir atterrir sur sa culotte. Je laisse glisser ma langue sur sa peau, savourant son arôme, la manière dont elle fond sous mes doigts.
Moi: Tu es sûre de tout ça, Mia? Ensuite, il sera trop tard.
Mia: Ethan, vas-y.
Je lui ôte le tanga et le balance quelque part dans la chambre. J'attire son bassin vers mon visage et promène mes lèvres le haut de ses cuisses, embrasse son sexe et le lèche tandis que Mia frémit langoureusement sous mes coups de langue. Elle renverse même la tête en arrière et vient enfoncer ses doigts dans mes cheveux blonds, m'incitant à continuer. Je l'entends gémir et je continue. Je remplace ma langue par mes doigts et les remue dans sa chair. Ses yeux mi-clos m'indiquent qu'elle est à deux doigts de l'orgasme. Nos lèvres se scellent dans un baiser sans fin. Nous respirons au rythme de mes mouvements et elle donne des coups de bassin pour accentuer le contact. J'avais préféré ne pas trop insister pour ne pas lui faire mal et visiblement, ce n'est pas le cas, donc ça me rassure.
Elle me caresse le dos, agrippe mes fesses dont les muscles se contractent sous ses mains. Elle s'accroche à moi, me supplie d'aller plus vite, plus fort. A bout de souffle, elle interrompt notre baiser afin de reprendre sa respiration. Nous nous contemplons longuement, et je remarque que le désir assombrit ses yeux verts, et enflamme son visage tout entier. Elle n'a jamais été aussi belle.
Mes deux mains entourent son visage, je fais glisser mon pouce sur ses lèvres et je l'enfoncer entre ses dents. Elle est pleine de désir, alors même qu'elle ne sait pas ce qui va se passer. J'enlève mon pouce et je presse mon corps contre le sien pour qu'elle sente à quel point je bande. Je suis prêt. Elle écarquille les yeux, mais elle ne semble plus avoir peur. C'est comme si son corps s'était déjà préparé et que son esprit luttait pour rattraper son retard. Elle fait descendre mon caleçon le long de mes cuisses et je l'aide en terminant. Je ne fais pas attention à son regard perçant sur ma verge.
J'attrape la boîte de capote et en sort une petite pochette. J'ai le cœur qui bat en lui écartant les jambes avec mon genou. Je respire profondément l'odeur qui monte déjà d'elle. Elle est douce et musquée, c'est le plus enivrant des parfums. Vite, je m'assieds sur les talons et je déchire le sachet du préservatif. Alors que j'allais l'enfiler, la main de Mia m'arrête.
Mia: Est-ce que... est-ce que je peux le faire?
Moi: Tu veux me mettre la capote?
Elle hoche timidement la tête et je la lui tends. En voyant son corps nu se rapprocher encore plus du mien, je suis à la limite d'exploser. Ses tétons durci frôlent ma poitrine et je ne résiste pas à en prendre un en main pour le caresser.
Mia: Ethan, aide-moi, au lieu de...
Moi: De? Jouer avec tes seins?
Elle sourit et je suis l'homme le plus heureux du monde. Je guide sa main vers ma queue et pose le préservatif sur le bout. Ma main accompagne la sienne lorsqu'elle le fait coulisser jusqu'à sa base et je ferme les yeux un moment pour refouler toutes les émotions qui traversent mon corps à cet instant précis. Je regarde le visage de Mia, ses yeux sont fixés sur moi, et je me dis que ça vaut le peine de me restreindre sur la bière et de faire des heures supplémentaires à la salle de sport. Même si ce n'est pas la première fois qu'elle me voit torse nu, elle semble parcourir chaque parcelle de mon corps et semble incapable d'en détacher ses yeux.
J'essuie la sueur qui perle de mes sourcils. Seigneur, je crève de chaud, ma peau me brûle. Je me baisse vers elle en portant tout mon poids sur une main, pour pouvoir glisser l'autre entre ses jambes ouvertes.
Moi: Je veux juste vérifier que tu es prête.
Ma voix n'est que murmure. Ma bouche et mes dents tombent sur son lobe d'oreille, tellement délicat, et tirent légèrement dessus. Je remontre la main jusqu'à sa chatte et je souris contre sa joue. Elle est complètement trompée, encore plus que tout à l'heure. Putain, j'ai envie de la laper jusqu'à la dernière goutte mais je sais que si je fais ça, je vais éjaculer en un rien de temps dans ce préservatif qui va bientôt exploser si je ne fais pas quelque chose. Il n'existe rien de plus sexy que de lécher chaque goutte de l'intimité d'une femme. La rendre folle vous rend fou.
J'entre à nouveau deux doigts dans son sexe étroit. La façon qu'elle a de les serrer en elle, de s'y agripper, me fait révulser les yeux un instant. Putain, tout ça avec simplement deux doigts. Elle halète et se cambre en arrière. Ses seins blancs se dressent devant moi. Je passe ma langue autour de ses tétons durs comme de la pierre. Ils répondent à chacune de mes caresses, elle se met à gémir fort. J'enfonce mes doigts un peu plus profondément, plus que ce que j'avais fait tout à l'heure. Ses gémissements augmentent encore. Au début, si je ne l'avais pas fait trop profondément, c'est parce que j'avais peur qu'elle ait mal, mais ce n'est visiblement pas encore le cas.
Je ne peux plus attendre. Je prends ma bite dans ma main et la positionne à l'entrée de ses lèvres. Ses yeux papillonnent pendant que je caresse sa fente luisante avec mon gland. C'est dément comme sensation. A ce moment-là, je ne pense plus à rien, juste à elle et moi, nus, sur le point de faire l'amour.
Moi: Je vais aller doucement.
Elle me répond d'un hochement de tête en se détendant. Et même si je n'ai aucune envie d'aller doucement et que tous mes neurones crèvent d'envie de plonger au plus profond d'elle et de la pénétrer jusqu'à ce que sa tête heurte la tête du lit, je fais comme on a dit. Je me fraye doucement un chemin en elle. Non, en fait je dois forcer un peu parce qu'elle est incroyablement étroite, comme un foutu petit étau qui enserre chaque millimètre de ma queue. Mon gland a disparu dans ce petit rêve rose et tendre. Ça glisse si bien, c'est surréaliste.
Mia: Doucement...
Elle se rallonge, j'attends un peu qu'elle se détende pour continuer. Elle est tellement sexy, tellement mouillée, que je me mets à trembler en m'enfonçant en elle. Je fais une pause, pour moi cette fois, et je respire à fond, par saccades. C'est la première fois que ça m'arrive.
Mia: Est-ce que je le fais mal?
Je lui réponds d'une voix de gorge que c'est juste tellement différent de d'habitude que ça demande beaucoup de volonté. J'en profite pour lui glisser un petit surnom "ma douce" qu'elle semble apprécier car elle se met à sourire et à se détendre. Mais ce n'est pas suffisant.
Moi: Ouvre-toi, je ne suis qu'à mi-chemin. Je veux entrer tout en entier.
Mia: Merde, je croyais que j'étais ouverte.
Je secoue la tête en faisant tomber des gouttes de sueur sur ses seins. Elle prend une profonde inspiration, mais je sais comment accélérer le processus. Je pose mon pouce sur son clitoris et je me mets à le masser. Elle mouille. Je continue jusqu'à ce que je la sente s'ouvrir un peu plus. Elle se met à haleter, elle agrippe mes fesses et y enfonce ses doigts pour contrôler ma vitesse. Mais elle me tire toujours vers elle. Je retiens mon souffle, j'oublie d'expirer, saisi par cette plongée vertigineuse. J'ai l'impression d'être un conquistador qui pose le pied sur une terre vierge. Elle s'étale sous moi, si douce, si luxuriante, comme le paradis terrestre. Elle remonte ses genoux plus haut, elle s'ouvre plus largement et finalement, je la pénètre complètement. Mes couilles battent contre elle, je me sens défaillir. Elle halète, mais s'accroche furieusement à moi.
Je me mets à grogner fort, je suis incapable de me taire. Malgré ma réputation d'homme à femmes, je crains de ne pas pouvoir faire très bonne impression cette fois-ci. Mon désir est trop aiguisé, trop fort, trop tout. Je me retire doucement, je regarde mon sexe qui luit et replonge en elle. Tout mon corps frissonne. Mais même si je sais que ça va être dingue, je ne veux pas jouir avant elle. Je me contrôle, je saisis ses cuisses et je la hisse vers moi. Je la retiens d'une main, mes doigts fouillent sa chatte, je glisse l'autre main vers son clitoris.
Elle gémit fort, puis elle réussit à attraper un oreiller pour se le plaquer sur la bouche afin d'assourdir ses cris. Je lui retire immédiatement, trop obnubilé par son expression lorsqu'elle jouit. Je dois dire que c'est super excitant de la voir regarder mon sexe quand je la lutine. Mon bassin fait des mouvements de va et viens, je plonge et replonge en elle, depuis le bout de mon gland jusqu'au dernier centimètre de ma bite. Mon rythme s'accélère encore, je ne vais pas pouvoir me retenir beaucoup plus longtemps. Son sexe est tellement serré, tellement avide, j'ai l'impression d'être défoncé, comme si j'emmenais ma queue dans un voyage sexuel sans retour. Mes doigts se déchaînent. Je la baise de plus en plus fort. Faire l'amour serait pour moi le terme correct mais ce n'est malheureusement pas le cas pour elle. Elle se cambre, ses tétons roses pointent, je comprends qu'elle va bientôt jouir.
Je me mets à lui faire l'amour de toute mes forces en secouant le lit, en secouant ses seins, je ne me rends compte de rien, mais quand je la sens qui se contracte autour de mon sexe, je comprends qu'elle est perdue dans la spirale du plaisir. Je prends une profonde inspiration et je pousse un cri sourd lorsque mes muscles se détendent enfin et que la jouissance parcourt ma colonne vertébrale en excitant la moindre de mes terminaisons nerveuses. Je la baise tellement fort que j'ai l'impression que je vais faire traverser le mur à mon lit, et soudain, je suis chauffé, à blanc, sauvage, défait.
Je jouis si violemment que j'ai peur que mon sperme déchire la capote. Mes spasmes font trembler le lit, bien que j'ai ralenti mes coups de reins. A travers la béatitude électrique qui m'a envahi, j'entends Mia qui continue à gémir et haleter en faisant des bruits insensés. J'ai dû faire les mêmes, c'est difficile de contrôler son corps, quand on ne se rend plus vraiment compte de ce qui se passe. On est à des milliers de kilomètres au-dessus de la Terre, et on n'a pas la moindre idée de quand on va redescendre.
Mes bras commencent à trembler, alors je me baisse lentement, je m'allonge sur elle. Ma poitrine vient écrasée la sienne, trempée de sueur. C'est tellement animal, cette sensation, nous ne sommes plus qu'instinct et désir. Ce serait idiot de dire que nous sommes âme contre âme, mais c'est pourtant presque ça.
Moi: Désolé, je n'ai pas pu me retenir. Tu es une vraie bombe.
Elle me regarde intensément, son visage écarlate et rayonnant, elle a le regard vague, comme si elle était dans un rêve. Elle est plus belle que jamais. Je veux qu'elle reste comme ça tout le temps.
Moi: Ta prochaine fois sera différente.
Je ne sais pas pourquoi, j'ai eu besoin d'évoquer ce moment-là, mais elle n'a pas l'air d'en prendre compte. Je suis heureux qu'elle se sente bien et qu'elle n'ait pas eu mal comme j'en avais eu peur. Je lui écarte ses cheveux humides de son visage. Elle est complètement ébouriffée, ce qui ajoute à son look de déesse frénétique quand elle secoue la tête.
Mia: C'était fabuleux Ethan, merci.
Profitant encore de ce moment, je l'embrasse doucement sur les lèvres. Elle a un goût de sel. J'inspire profondément, et l'odeur de son sexe, celle d'avant et celle d'après, me ferait presque bander à nouveau. Si je ne devais pas enlever ma capote, je crois que je resterais en elle pour toujours. Mais je ne le fais pas. C'est plus correct.
Je me retire en maintenant la capote pour être sûr de ne pas lui renverser de sperme dessus. Je me lève et je vais me nettoyer à la salle de bains. Je la retrouve blottie sous les couverture remontées jusqu'à sa poitrine. Dans la lueur de la lampe de chevet, elle semble repue. Parfait.
Moi: Je peux entrer?
Je ne sais pas pourquoi, il fallait que je lui pose la question. C'est sa chambre, celle dans laquelle je me suis toujours amusé lorsque nous étions gamins, et celle dans laquelle nous venons de faire l'amour. Elle me sourit paresseusement et m'ouvre les couvertures. Intérieurement , je soupire de soulagement et je la rejoins. Je ne suis pas très câlin, mais là, nu dans un lit avec elle, je m'en voudrais de ne pas toucher le moindre centimètre carré de sa peau si douce. C'est une foutue déesse.
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Alors? Bon, chapitre 100% lemon, j'avais prévenu! Vous vous y attendez ou vous pensiez que ça n'allait pas se faire? Ca me fait bizarre de vous demander ça, mais j'espère que ça vous a plu ahah💙
La suite sort le 26 août, avec un PDV Ethan à nouveau (ne vous inquiétez pas, on va aussi avoir Mia). Que pensez-vous qu'il va se passer? Des réactions des personnages? Hâte de vous la publier!
Pour ceux qui ne l'ont pas vu, j'ai publié le résume de ma toute nouvelle histoire "That's what I like" ! Merci beaucoup pour vos commentaires si positifs ! Pour ceux qui ne l'ont pas vu, passez-y un coup d'oeil si vous voulez💙 Je vous partagerai le trailer le 26 août!
Petit rappel: n'hésitez pas à poser vos questions pour la FAQ du 6 septembre, mercii💙
Bisouuus😍