Bientôt 50000 vues ! Vous êtes fous ! Chapitre un peu spécial, je dis rien de plus, bonne lecture ! Chapitre un peu plus long que les autres, mais restez jusqu'à la fin, promis vous n'allez pas être déçu ...
Point de vue Drago :
Cela faisait 2 jours que Hermione était réveillée. La voir ouvrir les yeux était un tel soulagement. Je ne sais pas si c'est ce baiser moldu qui a changé quelque chose mais bon, Hermione m'a expliquée que l'amour est plus fort que la mort mais bon je n'y crois pas plus que ça. Mais je n'ai rien dit, elle venait de se réveiller, je ne voulais surtout pas la contrarier, elle était encore très faible, l'énerver n'aurait servit qu'à lui faire perdre le peu de forces qu'elle avait, et donc passer du temps en plus dans cette infirmerie, et comment dire ... ce n'était même pas envisageable, être coincé entre ces 4 murs me rendait fou, je ne voulais pas y retourner.
Je revoyais encore ce moment merveilleux quand elle s'est réveillée.
"DRAGOOOOOOO"
A ce moment là j'avais accouru à l'infirmerie, sous le regard outré de Mme. Pomfresh qui pensait être définitivement débarrassé de moi. Bon, j'arrête de la critiquer même si elle m'a cassé les bonbons pendant une semaine à vouloir sans cesse me chasser de l'infirmerie, au moins elle faisait son boulot. Dès que Hermione a criée, elle a accourue à son chevet comme si sa vie en dépendait, si il y a bien quelqu'un qui a trouvé sa vocation c'est Mme. Pomfresh. Elle faisait chacun de ses soins avec une grande minutie. J'espérais un jour trouver ma vocation, trouver l'aveir qui me correspond. Je n'avais jamais trop réfléchit à cette question, après tout à 17 ans, qui sait réellement ce qu'il veut faire pour le restant de ses jours ? Evidemment il y a des exceptions, malheureusement je n'en faisait pas parti. Jusqu'à peu je n'avais même pas envisagé de travailler un jour, après tout ma famille était richissime comme Crésus, un Malefoy n'avait jamais travaillé, nous avions de l'argent et des relations puissantes, cela nous suffisait. Mais maintenant que la guerre était passée, maintenant que Voldemort était mort pour de bon, je réalisais que je voulais faire quelque chose de ma vie, quelque chose d'utile. Je n'étais sûr de rien sur mon avenir, à part que je voulais le vivre avec Hermione. Je voulais être digne d'elle, pas un sombre crétin qui reste à la maison à ne rien faire.
Assez parlé de mon avenir. Revenons à Hermione. Oui, donc, c'était merveilleux je repensais. Chaque moment avec elle, à nouveau là, présente, vivante, était magique, vraiment. Aujourd'hui était le grand jour, elle sortait enfin de cette fichue infirmerie. Evidemment la première chose qu'elle m'a dit quand elle a appris qu'elle allait sortir c'est "Par Merlin ! Je dois avoir une tonne de cours en retard ! J'espère que Harry a pris les cours pour moi, Ron je sais que c'est inutile d'espérer, mais bon Harry est un peu plus sérieux ..." Je vous jure elle se faisait un sang d'encre à ce propos, à croire que sa vie en dépendait, ce qui est sûrement le cas en faite, connaissant Hermione. Elle m'avait aussi harcelé de question pour savoir si j'avais bien remplie toute mes occupations de préfet. J'avais dit oui pour ne pas l'inquiété mais à vrai dire chacun de mes temps libre pendant son coma se soldait pas une visite à l'infirmerie, donc non je n'avais absolument rien fait en temps que préfet, je m'étais juste contenter d'exploiter quelque Serpentard qui sont à mes pieds pour faire ce que j'avais à faire. A vrai dire je me demandais pourquoi j'avais attendu le coma d'Hermione pour faire ça, c'était tellement plus simple de ne pas avoir de devoirs de préfet.
J'avais tout préparé pour son retour. Je voulais être parfait. Tout devait être parfait. J'avais demandé au elfes de maison de Pourdlard de nettoyer les appartements de préfets de fond de comble, car j'avoue j'avais foutu un bordel monstre pendant l'absence d'Hermione. J'avais aussi demandé aux elfes de faire des petits cookies à la fleur d'oranger et pépites de chocolat, les gâteaux favoris d'Hermione, ainsi qu'un chocolat liégois, la boisson qu'elle avait pris lors de notre espèce de rendez-vous à Pré-au-Lard. J'avais aussi allumé un grand feu de cheminée. Et évidemment je m'étais super bien habillé. Comme d'habitude en faite, mais là je m'étais vraiment appliqué. A vrai dire ça m'occupait l'esprit, pendant qu'Hermione préparait son départ de l'infirmerie. Elle m'avait dit que Ron et Harry avait insister pour la raccompagner jusqu'à nos appartements. Cela ne me plaisait pas des masses, mais avais-je réellement le choix ? Non, pas vraiment. Après tout ces deux crétins, même si je les haïssais, étaient ses deux meilleurs amis, et ils avaient toujours pris soin d'elle, je n'avais donc zéro raison valable pour refuser. J'avais donc répondu que je l'attendrais sagement dans notre pièce commune, mais l'attente était insupportable. Cela faisait maintenant un bout de temps qu'elle était censée avoir quitté l'infirmerie. Je me faisais un sang d'encre, surement pour rien, ça en devenait ridicule. Jamais je ne m'étais inquiété comme ça pour une fille. On m'avait dit que l'amour rendait aveugle, pas complètement débile. Tout à coup, j'entendis le tableau gardant l'entrée de notre salle commune faire du bruit. Puis pivoter. Enfin ! Ma joie fut de courte durée quand je vis qu'elle était accompagnée par Harry, Ron et même Ginny. Les trois me lançait des regards noirs tandis que Hermione me regardait avec ses yeux de biches, avec un petit air qui disait "Désolé, j'ai pas pu dire non". Comment étais-je censé résister à ça ? C'était juste impossible, quand Hermione jouait de ses charmes je ne pouvais pas résister.
J'avais juste oublié un minuscule détails. Tout ce que j'avais préparé, Ginny, Ron et Harry pouvaient le voir. Merde je vais être grillé. Ils vont vouloir me refaire le portrait. Vu la tête de Weasley fille actuellement, c'est sur elle se doute de quelque chose. Je suis vraiment dans la merde d'hypogriffe jusqu'au cou ...
"Malefoy, c'est quoi tout ça ? "
Je n'avais strictement rien a dire pour ma défense. Et je ne pouvais pas dire la vérité. Imaginez je sors "Alors c'est tout con, mais en faite je suis amoureux de votre chère amie Hermione." Je dis ça je signe mon arrêt de mort, après tout Weasmoche et le balafré étaient persuadés que j'avais quelque chose à faire dans l'histoire de la chute d'Hermione dans le lac. J'avais beau répeter à ces deux imbéciles que j'avais sauvé Hermione pas tenté de l'assassiner, ils refusaient catégoriquement d'y croire. En attendant fallait quand même que je trouve quelque chose à répondre à Weasley fille. Et j'avais rien. Tout à coup, miraculeusement, son imbécile de frère repondit à ma place, un truc plutôt crédible. SAUVÉ PAR LE ROUQUIN. Je pensais pas dire ça un jour mais comme quoi, rien n'est impossible ...
"Laisse tomber Ginny, cette fouine a profité de l'absence de Hermione pour faire de leur appartement commun son haram. Il a pas perdu de temps. Je te pari ce que tu veux qu'il a plusieurs filles qui se cachent dans son lit actuellement. Tu n'es qu'un gros porc Malefoy.
- Maintenant que Hermione est de retour, tu as intérêt à stopper ça. Mione à besoin de repos, elle veut pas entendre tes prouesses sexuelles avec toutes les petites serpentardes en chaleur, renchérit Harry
- Oui, oui je vais faire ça, répondis-je d'un air innocent. Par contre si vous pouviez partir afin que ma conquête conserve son anonymat, après tout il ne devait avoir personne ici à part elle et moi, donc elle ne veut surement pas que vous voyez qui elle est.
- Pffff, tu as sauté les trois quarts des filles de Poudlard, son anonymat on s'en fiche, dit Ginny.
- J'insiste, je n'ai pas à vous montrer ma vie privé, c'est fou, vous les Gryffondors vous êtes vraiment sans aucune gêne, la pudeur vous connaissez ? On a un minimum de fierté et de dignité, nous au moins les Serpentard.
- Oui, oui bien sur dit Harry en levant les yeux au ciel.
- De toute façon je suis sûre que c'est Pansy, chuchota Ron, de la manière la moins discrète du monde.
- Ca ne vous regarde pas."
Ils commençaient à me taper sur les nerfs ces trois là. En plus Hermione ne disait pas un mot. J'espère elle ne croyait pas à leur connerie. Je voulais qu'ils dégagent pour avoir ma lionne pour moi seul, est-ce trop demander ?
"Non ça ne peut pas être Pansy, souffla Hermione, si c'était elle on entendrait Mon draychouneeeeet d'amour revient"
Ca m'embêtait de l'admettre mais c'était tellement vrai. L'imitation était juste parfaite. Hermione ne savait donc rien rater ??!
J'entendais les quatre Gryffondor rire au éclat.
"Oui, oui c'est bon, c'est pas ma faute si Pansy est un vrai pot de colle ! Par contre si vous restez une minute de plus vous trois, je vais vraiment finir par croire que vous vous êtes attacher à moi, attention Pansy n'aime pas trop partager, vous allez devoir vous frottez à elle.
- Berk ! dit Ron
- Non merci, ça ira ! dit Ginny
- Venez on se casse ! Surenchérit Harry.
- La fouine, tu touches à un seul cheveux de Mione, considère que tu es un homme MORT, compris ? dit Ron en passant le tableau qui gardait l'accès à notre salle commune.
- Oui, oui, Weasmoche, on a compris, je toucherai pas à ta poupée en porcelaine."
Et je lançais un sort pour bloquer le tableau. J'avais enfin Hermione pour moi seul. Pas trop tôt.
Point de vue Hermione :
Mes amis venaient de quitter la pièce. Je me retrouvais maintenant seule avec Drago. Tout était si étrange. C'était la première fois qu'on était réellement seul dans une pièce depuis que je savais tout. Qu'il m'aimait vraiment. Qu'il ne jouait pas avec mes sentiments. Aussi bizarre que cela puisse paraître, je ne savais pas du tout comment me comporter. Pendant 7 ans je l'avais juste haït, c'était simple il suffisait de se lancer des regards noirs, et de s'insulter. La pauvre petite semaine où nous avions été ensemble, j'avais encore des réserves vis-à-vis de sa sincérité, du coup j'avais encore ce "mur" qui me protégeait. Mais là, j'étais seule avec lui. Juste deux êtres qui s'aiment dans la même pièce. On se regardait dans les yeux intensément. Tout les livres à l'eau de rose disent qu'on peut lire à livre ouvert dans les yeux de la personne qu'on aime. La vérité était bien plus complexe, tout s'emmêlait dans ma tête. Je ne savais pas si je persevais trop de chose ou rien du tout. J'observais aux alentours. Drago avait fait les choses bien. Sur la table basse près de la cheminée allumée, il y avait un chocolat liégeois, ma boisson favorite, celle qu'on avait pris pendant notre premier rendez-vous accidentel à Pré-au-Lard. Il s'en était souvenu. Ce détail, aussi infime soit-il, me combla de joie.
"Heu, Hermione, tu ne devrais pas restez debout. Tiens mets-toi près du feu, dit-il en désignant le plus confortable de la pièce.
- Tu sais Drago, je ne suis pas en sucre ... Je me sens bien. Mais merci pour tout ça, ça me touche, vraiment."
Je le vis sourire.
"Pourquoi tu souris Drago ?
- Car ça te plait. Et aussi parce-que tu m'appelles Drago.
- Oh excuse moi, c'est vrai que les personnes proches de toi te donne un surnom ... Blaise t'appelle Dray si j'ai bien compris, et Pansy d'après ce que j'ai pu voir t'appelle son Draychounet d'amour ... Il faudrait que je t'en trouve un aussi, sinon je vais faire tâche dans le décor.
- Hermione, non, j'aime quand tu m'appelles Drago. Pas de surnom. Tu es la seule à le prononcer comme ça, avec tendresse. J'aime ça, ne change rien."
Je trempais les lèvres dans le chocolat liégeois et goûtais les cookies. Ils étaient à la fleur d'oranger, un vrai délice, j'étais agréablement surprise.
"Drago, tout est délicieux, c'est toi qui a fait ça ?
- Heu, tu veux la réponse romantique ou la vérité ? dit-il gêné
- Donc c'est les elfes si je comprends bien, dis-je en souriant
- J'avoue. A vrai dire, tant que je suis dans la confession, je ne sais absolument pas cuisiner. J'ai essayé une fois de faire une omelette quand Dobby venait de partir, j'ai faillit faire cramer la moitié du manoir Malefoy ... Du coup mon père m'a interdit de retoucher à une casserole pour le restant de mes jours.
- Sérieusement ? Mais la cuisine, c'est comme les potions. Tout est questions de gestes et de dosages. Toi qui t'en sors plus que bien en potions je suis plutôt surprise.
- Je n'avais jamais vu les choses sous cet angle. J'ai toujours eu les elfes de maison pour faire à manger à ma place donc je ne voyais pas réellement la nécessité d'apprendre à cuisiner.
- Je te préviens, dis-je en le taquinant, si plus tard on vit ensemble, il n'y aura pas d'elfes de maison chez nous.
- Bien sûr je veux vivre avec toi. Mais sans elfes ? Qui va faire à manger, le ménage, la lessive, enfin tout ?
- Inutile de négocier, en tant que présidente de la S.A.L.E je suis déterminée sur ce point. Et nous le feront nous-même, les moldus y arrivent bien et la majorité des familles sorcières aussi. Il n'y a que les gens aisés comme ta famille qui a une rangée d'elfes à son service.
- La quoi ? Sale ? C'est quoi ça ? Et je ne te parle pas d'une rangée d'elfes, juste un ou deux suffisent.
- La S.A.L.E ! Drago tu sais bien, la Société d'Aide à la Libération des Elfes. Pas sale. On dirait Ron et Harry sur ce point, tu t'entendrais très bien avec eux, crois moi. Et non, zéro elfe. Je refuse de pratiquer l'esclavage moderne.
- Ok ! Ok ! Je me rends, pas d'elfes chez nous plus tard, à une condition.
- Quoi ?
- Embrasse moi. J'ai vraiment cru que j'allais te perdre à jamais pendant ton coma. C'était affreux. J'ai besoin de toi Hermione, vraiment."
Je ne pouvais pas me voir à ce moment précis, mais j'aurais mis ma main a coupée que j'étais rouge comme le blason de ma maison. J'approchais doucement mes lèvres des siennes.
Le courant passa directement. C'était passionné, intense, fantastique, puissant, magique. Tout les mots mélioratifs possibles pouvaient décrire ce baiser. Je sentais sa main dans mes cheveux, il était si doux avec moi. J'avais envie de plus, j'avais envie de sentir son corps chaud contre le mien, et de ne plus jamais le quitter. J'intensifiais notre baiser. Je mettais timidement mes mains sur son torse, sous sa chemise blanche. Il était brûlant, en même temps il était face à la cheminée depuis un bout de temps. Cette chaleur me mit en confiance, je déboutonnais lentement, un par un, les boutons de sa chemise. Son torse apparu au fur à mesure, c'était un vrai régal pour la vue, il était musclé, c'était incroyable. Il n'avait rien à envier aux mannequins d'Abercrombie. Je n'en perdais pas une miette. Il me lança un regard surpris.
"Dis donc, tu profites bien ?
- Oui pas mal ... Mes yeux te remercient.
- Tu sais il y a une règle.
- Laquelle ?
- Tu me déshabilles, je fais de même."
A cet instant précis, je sentis mon soutient-gorge se décrocher. D'un mouvement de main habile il le fit glisser en dessous de mon t-shirt. Ses pouces se rapprochaient dangereusement de ma poitrine. Je n'avais jamais fait quoi que ce soit avec un mec. Jamais. J'étais toujours restée très prude à vrai dire. Le sexe ne m'avait jamais beaucoup attirée, même en Ginny en parlait ça me laissait de marbre. Mais la j'avais envie de lui, c'était indescriptible. Tout à coup, son pouce toucha mon téton gauche. J'en avais des frissons.
" Hermione ça va ? On peut ralentir si tu veux.
- Non, ça va, c'est juste que je suis surprise, je ne pensais pas que cette partie de mon corps était aussi sensible, c'est la première fois que mes seins réagissent ainsi, je veux dire quand je me lave je me touche les seins mais jamais j'en ai eu des frissons ...
- Attends, de tout les mecs que tu as fréquenté avant, aucun n'a su te faire vibrer en te touchant les seins ? Encore Ron je m'en doutais, mais Viktor je pensais qu'il s'y connaissait en fille.
- C'est surtout qu'il n'y en pas eu avant. Je n'ai jamais rien fait avec Viktor et Ron à part quelques bisous par ci par là ...
- Sérieusement ? C'est ... ta première fois ?
- Oui. Ca te gêne tant que ça ?
- Non, mais je vais doubler d'attention, je pense que les autres filles de ton dortoir n'ont pas manqué de te dire que la première fois pour une fille peut-être assez douloureux. Je vais faire attention. Enfin si tu veux le faire, je ne te force à rien. On peut rester au préliminaires ou aux caresses si tu veux, chaque chose en son temps.
- Drago, j'ai envie de toi. Vraiment.
- Laisse toi faire alors ma lionne, promis tu ne regretteras pas"
Je ne mentais pas j'avais vraiment envie de lui. Mon coma m'avait fait réaliser que la vie pouvait être courte, qu'il fallait savoir en profiter. Rien n'interdisait le sexe entre deux adultes consentant. Mis à part le règlement de Poudlard. Mais bon vu le nombre de fois où j'avais brisé ce règlement avec Harry et Ron je n'étais plus à une fois près. Je repensais rapidement à mon petit moi de 1ere année qui aurait été outrée par l'idée même d'oser faire une entorse au règlement. Mais bon avec l'année sabbatique pour chercher les horcruxes, la bataille de Poudlard, mon coma ... J'avais vécu tant de choses inoubliables, pas forcément dans le bon sens du terme, sans jamais connaître l'essentiel: l'amour. Et il était là, juste devant moi.
Il enleva mon t-shirt, observa longuement mes seins, en commentant d'un "parfait" j'étais flatté. Il fit glisser ma culotte de sous ma jupe. Je lui enlevais son pantalon. C'était la première fois que j'allais voir le sexe d'un homme. Enfin je veux dire en vrai. J'en avais déjà vu dans des livres de l'anatomie humaine bien entendu, mais là c'était totalement différent. Il y avait une bosse volumineuse en dessous de son entre jambe. J'étais trop curieuse, je voulais toucher. Délicatement, je posais ma main sur son boxer et instantanément la bosse doubla de volume.
"Hermione tu joues avec le feu ... j'ai envie de toi là, il n'y aura plus de retour arrière
- Eh bah fais le, dis-je avec un air dont je ne me pensais pas du tout capable.
- Attend faut te préparer ... Je vais pas faire ça comme un sauvage, je vais prendre mon temps, rendre ça inoubliable, crois moi"
Je sentis sa main remonter sur ma cuisse, remonter jusqu'à mon endroit le plus intime, qui était maintenant dépourvu de tissu. Une de ses mains frôla mon sexe, cela me fit l'effet d'une décharge électrique. Il y avait toujours ma jupe qui cachait ses actions coquines, son pouce ne lâchait plus mon clitoris, chacun de ses gestes avec sa main droite était comme un apperçu du paradis. Sa main gauche n'avait pas lâché mon sein. Je ne savais plus où donner de la tête, c'était tellement bon.
" Je sens ton coeur battre à une vitesse ma lionne ...
- Je vois ton sexe grandir à vu d'oeil sous ton boxer ...
- Je sens ma main s'humidifier grâce à ton sexe, dit-il en grognant d'envie"
Il me souleva du fauteuil et me porta jusqu'à son lit comme une princesse, tout en continuant ses caresses au niveau de mon sexe. J'en oubliais mon vertige maladif. Il me posa délicatement sur son lit et arracha sauvagement ma jupe. J'étais nue comme un vers devant lui. Bizarrement je n'étais pas gêné, pourtant je suis quelqu'un de plutôt pudique. Mais il me regardait avec des yeux amoureux, des yeux envieux. Je me sentais protégée. Il m'embrassa intensément et fit glisser son boxer. J'aperçue sa baguette. Elle était énorme, je ne voyais vraiment pas comment ça allait pouvoir rentrer en moi.
"Ne t'inquiète pas, je ne vais pas commencer directement avec ça, j'ai pas fini mes préliminaires."
Il rentra doucement un doigt, je n'avais pas mal tout allait bien, c'était juste étrange, en 18 ans d'existence c'était la première fois que cette partie de mon corps était en contact avec quelque chose. Il fit quelque va et vient, avant d'en rentrer un deuxième. C'était tellement bon.
Je rapprochais ma bouche de son oreille "J'en veux plus Drago"
Il ne se fit pas prier.
"J'aurai bien voulu te goûter avec ma langue mais ça sera un autre jour, tu es clairement assez mouillée et j'en peux plus d'attendre"
Et on fit l'amour.
C'était magique. C'était certes, un peu douloureux, mais la douleur fut vite estompée pour laisser place au septième ciel. Par Merlin, il était tellement doué. C'était tellement bon.
Voilà fin du chapiiiiiitre ! Alors ? Vous avez aimez ? Ou c'était trop osé à votre goût ! Hésitez pas à voter pour le chapitre si celui ci vous a plu ... Hihi.