Chapitre 23 : L'amour auprès du feu.

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Bientôt 50000 vues ! Vous êtes fous ! Chapitre un peu spécial, je dis rien de plus, bonne lecture ! Chapitre un peu plus long que les autres, mais restez jusqu'à la fin, promis vous n'allez pas être déçu ...

Point de vue Drago :

Cela faisait 2 jours que Hermione était réveillée. La voir ouvrir les yeux était un tel soulagement. Je ne sais pas si c'est ce baiser moldu qui a changé quelque chose mais bon, Hermione m'a expliquée que l'amour est plus fort que la mort mais bon je n'y crois pas plus que ça. Mais je n'ai rien dit, elle venait de se réveiller, je ne voulais surtout pas la contrarier, elle était encore très faible, l'énerver n'aurait servit qu'à lui faire perdre le peu de forces qu'elle avait, et donc passer du temps en plus dans cette infirmerie, et comment dire ... ce n'était même pas envisageable, être coincé entre ces 4 murs me rendait fou, je ne voulais pas y retourner.

Je revoyais encore ce moment merveilleux quand elle s'est réveillée.

"DRAGOOOOOOO"

A ce moment là j'avais accouru à l'infirmerie, sous le regard outré de Mme. Pomfresh qui pensait être définitivement débarrassé de moi. Bon, j'arrête de la critiquer même si elle m'a cassé les bonbons pendant une semaine à vouloir sans cesse me chasser de l'infirmerie, au moins elle faisait son boulot. Dès que Hermione a criée, elle a accourue à son chevet comme si sa vie en dépendait, si il y a bien quelqu'un qui a trouvé sa vocation c'est Mme. Pomfresh. Elle faisait chacun de ses soins avec une grande minutie. J'espérais un jour trouver ma vocation, trouver l'aveir qui me correspond. Je n'avais jamais trop réfléchit à cette question, après tout à 17 ans, qui sait réellement ce qu'il veut faire pour le restant de ses jours ? Evidemment il y a des exceptions, malheureusement je n'en faisait pas parti. Jusqu'à peu je n'avais même pas envisagé de travailler un jour, après tout ma famille était richissime comme Crésus, un Malefoy n'avait jamais travaillé, nous avions de l'argent et des relations puissantes, cela nous suffisait. Mais maintenant que la guerre était passée, maintenant que Voldemort était mort pour de bon, je réalisais que je voulais faire quelque chose de ma vie, quelque chose d'utile. Je n'étais sûr de rien sur mon avenir, à part que je voulais le vivre avec Hermione. Je voulais être digne d'elle, pas un sombre crétin qui reste à la maison à ne rien faire.

Assez parlé de mon avenir. Revenons à Hermione. Oui, donc, c'était merveilleux je repensais. Chaque moment avec elle, à nouveau là, présente, vivante, était magique, vraiment. Aujourd'hui était le grand jour, elle sortait enfin de cette fichue infirmerie. Evidemment la première chose qu'elle m'a dit quand elle a appris qu'elle allait sortir c'est "Par Merlin ! Je dois avoir une tonne de cours en retard ! J'espère que Harry a pris les cours pour moi, Ron je sais que c'est inutile d'espérer, mais bon Harry est un peu plus sérieux ..." Je vous jure elle se faisait un sang d'encre à ce propos, à croire que sa vie en dépendait, ce qui est sûrement le cas en faite, connaissant Hermione. Elle m'avait aussi harcelé de question pour savoir si j'avais bien remplie toute mes occupations de préfet. J'avais dit oui pour ne pas l'inquiété mais à vrai dire chacun de mes temps libre pendant son coma se soldait pas une visite à l'infirmerie, donc non je n'avais absolument rien fait en temps que préfet, je m'étais juste contenter d'exploiter quelque Serpentard qui sont à mes pieds pour faire ce que j'avais à faire. A vrai dire je me demandais pourquoi j'avais attendu le coma d'Hermione pour faire ça, c'était tellement plus simple de ne pas avoir de devoirs de préfet.

J'avais tout préparé pour son retour. Je voulais être parfait. Tout devait être parfait. J'avais demandé au elfes de maison de Pourdlard de nettoyer les appartements de préfets de fond de comble, car j'avoue j'avais foutu un bordel monstre pendant l'absence d'Hermione. J'avais aussi demandé aux elfes de faire des petits cookies à la fleur d'oranger et pépites de chocolat, les gâteaux favoris d'Hermione, ainsi qu'un chocolat liégois, la boisson qu'elle avait pris lors de notre espèce de rendez-vous à Pré-au-Lard. J'avais aussi allumé un grand feu de cheminée. Et évidemment je m'étais super bien habillé. Comme d'habitude en faite, mais là je m'étais vraiment appliqué. A vrai dire ça m'occupait l'esprit, pendant qu'Hermione préparait son départ de l'infirmerie. Elle m'avait dit que Ron et Harry avait insister pour la raccompagner jusqu'à nos appartements. Cela ne me plaisait pas des masses, mais avais-je réellement le choix ? Non, pas vraiment. Après tout ces deux crétins, même si je les haïssais, étaient ses deux meilleurs amis, et ils avaient toujours pris soin d'elle, je n'avais donc zéro raison valable pour refuser. J'avais donc répondu que je l'attendrais sagement dans notre pièce commune, mais l'attente était insupportable. Cela faisait maintenant un bout de temps qu'elle était censée avoir quitté l'infirmerie. Je me faisais un sang d'encre, surement pour rien, ça en devenait ridicule. Jamais je ne m'étais inquiété comme ça pour une fille. On m'avait dit que l'amour rendait aveugle, pas complètement débile. Tout à coup, j'entendis le tableau gardant l'entrée de notre salle commune faire du bruit. Puis pivoter. Enfin ! Ma joie fut de courte durée quand je vis qu'elle était accompagnée par Harry, Ron et même Ginny. Les trois me lançait des regards noirs tandis que Hermione me regardait avec ses yeux de biches, avec un petit air qui disait "Désolé, j'ai pas pu dire non". Comment étais-je censé résister à ça ? C'était juste impossible, quand Hermione jouait de ses charmes je ne pouvais pas résister.  

Dramione: Un Amour secretWhere stories live. Discover now