le combat d'une vie (En Corre...

By boutoto

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La vie ne se déroule pas toujours comme on le voudrait. Les gens, aussi proches qu'ils soient, ne semblent pa... More

Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
chapitre 4
Chapitre5
chapitre 6
chapiter 7
chapitre8
Information
chapitre 9
Chapitre 10
chapitre 11
chapitre 12
chapitre 13
chapitre 14
chapitre 16
chapitre 17
chapitre 18
chapitre 19
chapite 20
Chapitre 21
Chapitre 22
chapitre 23
chapitre 24
chapitre 25
chapitre 26
Chapitre 27
chapitre 28
chapitre 29
Chapitre 30
chapirtre 31
Chapitre 32
chapitre 33
Chapitre 34
Chapitre 35
chapitre 36
chapitre 37
Chapitre 38
chapitre 39
chapitre 40
Chapitre 41
chapitre 42
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chapitre 43
chapitre 44
Chapitre 45 (fin)

chapitre 15

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By boutoto

Salut tout le monde. je dis UN BIG MERCI à tous ceux qui m'ont soutenu. j'avoue que j'avais décidé de mettre l'histoire en pause mais j'ai réalisé parla suite que cela aurait été injuste car en dehors des lecteurs fantômes, il y a ceux qui se manifestent et nous encourage à continuer. Sachez que le meilleur reste à venir. Bonne lecture et n'oubliez pas de voter pour que le prochain chapitre soit vite publié.

"TAAAP", "TAAAAP"
...
Il y eut un moment de flottement avant que je ne réalise ce qui venait de se passer.
Ma mère venait d'administrer deux gifles monumentales à mon mari. Je ne sais même pas s'il méritait encore que je l'appelle ainsi.
Tout le monde fut surpris. Personne ne s'attendait à ça.
- espèce de domou**** tu n'es qu'un salaud. Comment as tu pu faire cela à ma fille?! Je t'ai donné toute ma confiance ndakater tu n'es qu'un voyou. Ahhh mon Dieu venez nous en aide. Inspecteur qu'attendez-vous pour le coffrer. Ce qu'il a fait s'appelle abus de confiance. C'est un criminel lui et sa ....sa...je ne sais quoi, fit ma mère qui tremblait de fureur. Je ne l'avais jamais vu dans cet état.
Inspecteur Niang se leva et tenta de la calmer.
- s'il vous plait madame calmez vous, ce que vous faites n'avancera à rien. Normalement nous devrions être au commissariat mais non ici. Monsieur Gueye nous a suppliés de lui donner une chance de s'expliquer avec vous. Il n'a pas terminé son récit, laissez le continuer s'il vous plait.
- mais inspecteur il n'y a plus rien à dire, ce voyou à prétendu accepter de faire cette bassesse parce que ma fille a de l'argent hehehe (rire cynique), lahilaha ilalah je n'ai jamais vue ça de toute ma vie. Ma fille est une croqueuse d'hommes, tu vas voir que c'est moi qui vais te croquer.
- madame s'il vous plait, s'il vous plait, regardez votre fille, faites comme elle, attendez les explications parce que j'en suis sûre qu'il y en a.
J'étais là, en larmes, je n'osais bouger me demandant si tout cela était vrai. J'attendais qu'Ibou se lève pour nous dire que c'était une mauvaise blague, que ce qu'il venait de dire n'était pas vrai. Mais il restait là, la tête baissée, n'osant même pas me regarder et fixant un point inconnu. Je venais de découvrir une nouvelle Suz, celle différente de mon amie, ma sœur. Celle qui a été capable de me voir que comme une vulgaire opportunité pour atteindre ses objectifs obscurs. Et cet idiot qui l'a suivit comme son toutou. Ils m'ont utilisé, ils m'ont bien eu. J'ai tellement mal au cœur.
Ma mère reprit place à mes cotés et posa sa main sur mon dos. Je me rapprochais d'elle.
- continuez monsieur, fit inspecteur Niang.
- pardonne-moi mon amour. Je te jure que je ne savais pas que tu étais innocente. Je croyais Suz à ce moment parce que je ne te connaissais pas. Mais après tout a changé.
Je ne répondais pas. Je pensais que rien ne pouvais justifier une telle cruauté. Ils m'ont mené en bateau depuis le début.

Flashback vie d'Ibou

J'étais assis dans mon salon avec mes potes David et Doudou, à jouer à la PlayStation.
- ohhhhh, fiuu jubila Doudou
- merde, fis je
Je viens encore une fois de perdre la partie.
- bro y se passe quoi? Tu n'as pas la tête ici. Me dit David.
- je suis sûr qu'il pense toujours à sa go, ou ex go, répliqua Doudou.
- c'est vrai que t'étais raide dingue de cette fille alors je ne comprends pas pourquoi vous avez rompu?
- laisse tomber Dave, je peux t'assurer qu'ils vont se remettre dans peu de temps. Il ne peut pas se passer d'elle crois moi.
- ta gueule Dou ! Fis-je lui lançant l'oreiller qu'il capta au passage.
- hehehe attends de voir que j'ai raison.
Je restais pensif. S'ils savaient le coup que l'on était entrain de faire Suz et moi. Il y a tout juste un mois, je les annonçais ma rupture définitive avec Suz. Ils étaient tous surpris et m'ont cru lorsque je leur ai dit qu'elle m'avait trahi avec un autre. A vrai dire je gardais désormais ma relation avec Suz secrète. Entre temps, je tentais de me rapprocher pour le mieux de Zeya.
Ah cette fille, je ne sais pourquoi je pense à elle souvent. Le peu de temps que je la connais, elle me donne une image bien loin de celle que Suz m'a peinte avant. Elle me dit que ce n'est qu'une fausse identité qu'elle donne pour leurrer les gens. En ce moment, je suis juste ami avec elle mais je compte bien l'avoir. Elle ne va pas résister à mon charme. Je me ferais l'homme de ses rêves.
- on part au Nirvana, ça va te changer les idées, dit Doudou.
- excellente idée, répondis David.
- je ne suis pas en forme les gars.
- allez cava te faire du bien bro.
- Dou a raison, tu ne sors pas souvent alors que tu en a besoin pour te changer les idées
Je fis mine de réfléchir mais j'eus une idée. J'attrape mon portable et je lui envoie un message.
"slt Zeye tu es partante pour une soirée cinéma ensuite dansante avec mes potes et moi? Tes amies pourront aussi venir comme ça on fera connaissance."
J'attendis sa réponse avec impatience que je reçus dix minutes après.
"on est partante"
" ok, je viens vous chercher dans deux heures"
Je souris avant de poser mon portable sur la table. Je ne sais pourquoi mais la perspective de la revoir m'enchantais bien. Je reconnais qu'au fond elle m'attire. Elle a une façon de parler, de te regarder, de marcher, en fait tout chez elle est spécial. Tout chez elle m'attire tel un aimant. Si je n'avais pas connu Suz, j'aurais sûrement eu une relation vraie et non fausse avec elle. Mais pourquoi est ce que je pense à de telles choses. Je ne le devrais pas. Suz est la femme de ma vie. C'est elle que j'aime et rien qu'elle m'intéresse.
- c'est quoi ce sourire au coin? Demanda Dou à qui rien n'échappait.
- ce n'est rien, au fait c'est oui mais on passe d'abord au ciné et j'ai invité des amies à moi.
- hummm, a bon, fit Dou
- ne va pas imaginer n'importe quoi c'est juste Zeya, elle vient avec ses amies.
- ouai vous semblez proche hein tous les deux, reprit Dou.
Je hochais les épaules et repris.
- c'est une fille bien qui a la tête sur les épaules. C'est juste une amie.
Doudou et David se regardèrent avant de me regarder ensuite souriant. Je ne compris rien à leur truc.
- quoi ? Demandais-je.
- ok on te croit si tu le dis.
- pff vous avez trop l'esprit tordu les gars.
- c'est ça! bon on y va Doudou, on se rejoint devant chez moi, fit David se levant.
- ok, on ira ensuite les chercher.
- c'est bon.
Deux heures après, je sonnais chez Zeya. La dame de maison vint m'ouvrir. C'était une femme de forte corpulence et d'une quarantaine d'années au regard bienfaisant. Elle sourit à ma vue.
- bonsoir, fis-je.
- bonsoir monsieur.
- je viens chercher Zeya
- ah oui c'est vous, entrez je vous en prie, elle ne va pas tarder.
Elle m'invita vers le séjour. Je regardais de gauche à droite. il faut le dire la maison des Mourad c'est juste wouahh, on se croirait dans un palais royal.
Suz avait raison, ces gens là étaient vraiment des nantis. Avec une propriété pareille et un jardin à perte de vue, on ne pouvait que se sentir bien. Ça sentait le luxe partout, les meubles, la déco, les murs en marbre, les grands lustres, tout était parfait.
- je vous sers quelque chose ? Demanda-t-elle.
- non merci, fis-je.
Elle sourit, hocha la tête et partit. Je restais et contemplait les lieux d'un air pensif. Rien que d'imaginer tout cela m'appartenir me donnait le courage de continuer le jeu.
J'entendis des éclats de voir avant de les voir apparaitre elle et deux autres filles.
"Bordel"
Mon cœur commença à battre de plus en plus vite et je commençais à avoir chaud. Je ne comprenais rien à ma réaction. Je reconnais juste qu'elle est tout simplement magnifique avec cette robe qui lui va trop bien et qui me donnait des envies pas très catholiques ...

Je passais la main sur mon cou. C'était un geste que je faisais quand j'étais nerveux. Il faudrait que je calme mes ardeurs on dirait un jeune adolescent devant sa première conquête.

Je ne me rendis même pas compte qu'elle me parlait tellement j'avais l'esprit en mode "off".
- Ibou? Est ce que cava? Me demanda t elle inquiète.
- heuu, sisi, vous êtes sublimes tout simplement mes dames, dis je en la dévorant des yeux.
- merci! firent- elles souriant.
- c'est pour nous ou plutôt zeya, dit Lisa amusée, avec un clin d'œil,
Ah cette fille elle me fait du bien tellement elle est free et comique. Elle ne rate pas un moment de taquiner Zeya en ma présence. Elle lui chuchote sans cesse que nous formerions un beau couple. Elle ne sait pas combien elle me rend service ainsi.
- lisaa!! fit Zeya faussement outrée.
On rigola.
- vous l'êtes toutes mais ne m'en voulez pas, c'est Zeya qui remporte la palme d'or.
- youuuuu, fit elles toutes excitées tandis que Zeya baissa les yeux.
Je crois qu'elle s'en rendit compte de mon regard un peu trop appuyé vu qu'elle devint mal à l'aise.

Nous sommes des amis depuis presque un mois mais plus pour longtemps pensais-je.

Je me levais, me pencha théâtralement et pris sa main avant d'y déposer un délicat bisou. Ce fut un geste doux et sensuel. Je sentis que le baiser l'avait troublé plus qu'elle ne le laissait paraitre.
- oulala un vrai gentleman, reprit Lisa.
J'en fis de même pour elles et reprit devant elles amusées.
- bien mes dames, pouvons nous y aller, je crois que l'on est entrain de nous attendre.
- bien sûr allons-y, répondit Zeya.
Nous sortîmes, et nous dirigions vers ma voiture ou plutôt ma nouvelle Mercédès classe A. Je l'ai eue grâce à un ami concessionnaire qui a accepté de me la louer pour trois mois. Il faut avouer que cela m'a couté la peau des fesses et des mensonges interminables à mon entourage. Presque toutes mes économies y sont passées mais je pense que le jeu en vaut la chandelle. Je compte économiser pour pouvoir renouveler la location mais j'espère arriver à mes fins avant cela.
J'ouvris la portière arrière puis celle de devant et les laissais entrer avant de les refermer et de regagner mon siège de conducteur.
Nous rejoignîmes les gars et je procédais aux présentations avant que nous partions pour le ciné et ensuite au nirvana.
La soirée se passa très bien. L'ambiance était au rendez-vous avec l'orchestre de Pape DIOUF. Nous nous dirigions à l'étage réservé aux VIP.
Avec les gars, nous jouions un moment au billard avant que je ne vois un type sorti de je ne sais où rejoindre Zeya seule sur le canapé. Je crus qu'il allait partir mais non. Le monsieur s'installa prés d'elle, trop prés même à mon gout. Je fis des yeux ronds quand je le vis se taper une discussion au calme. En un moment, je vis le gars poser ses sales pattes sur sa cuisse. Elle le repoussa avec fureur apparemment.

C'est quoi ce délire???

Je vis rouge. Voila pourquoi je ne voulais pas la laisser seule. Il suffit d'une minute pour que ces sales requins qui la convoitent depuis son entrée, lui sautent dessus. Je voulais rester toute la soirée avec elle mais c'est elle qui m'a convaincu d'accepter une partie de billard avec mes potes. Je n'aurais pas dû l'écouter.

- Bro oh, qu'est ce que t'as ? C'est ton tour, m'interpella Dou.

Je ne lui répondis pas. Il se plaça de mon coté et rechercha ce qui retenait toute mon attention.

Je ne pouvais entendre ce qu'ils se disaient mais j'avais l'impression que mon sang allait sortir de mes veines et que je soufflais tel un taureau prêt à l'attaque. Je serrais mes poings de rage.

- Eh ben, cette fille te fait de l'effet à ce que je vois, tu ne serais pas jaloux par hasard ? me murmura Dou.

Je fis un pas mais il me retint par le bras. Je le regardais mal.

Il leva les mains.

- Du calme bro, ne suit pas tes émotions.

Ne pas suivre mes émotions ? Justement je ne vais pas le faire sinon le gars se serait retrouvé amputé des mains et balancé dans un ravin en un rien de temps, pensais-je.

- Je sais, lui répondis-je simplement avant d'y aller.

Arrivé devant eux, je demande à Zeya si tout allait bien. Je la vis hésiter tandis que je jetais un regard au pauvre type qui se leva et me demanda qui j'étais moi pour oser les déranger en me toisant de bas en haut.

Il avait une tronche de fils à papa. Ces gars qui se croient être le nombril du monde. Il me narguait en plus. Je n'eu qu'une envie, lui foutre mon poing dans sa gueule et c'est ce qui arriva la seconde d'après. Il se retrouva à terre.

- Oh mon Dieu ! cria, Zeya.

David et Dou qui suivaient toute la scène accoururent pour me tenir loin de lui et éviter une bagarre.

- Putain mais t'es cinglé toi, dit il se tenant le nez en sang.

- Écoute-moi bien petit insolent, je connais les mecs dans ton genre. Tu as intérêt à ne plus l'approcher et à rester sur ton terrain d'écervelé qui ne pense qu'à sa braguette. Tu te crois plus important que tout, je t'ai vu et je vais te montrer moi comment traiter les femmes et vous les gars lâchez moi.

- Non on ne te lâchera pas tant que tu ne te calmes pas. Tu risques de gâcher la soirée, dit David.

- Que se passe t'il ici ? demanda Lisa interpellée par le bruit.

- Tu vas me le payer cher, me dis le bouffon avant de partir.

Les gars consentirent ensuite à me lâcher mais j'eus toujours les nerfs à vifs. Je me dirige vers les escaliers.

- mais où vas-tu ? demanda Doudou.

- J'ai besoin de prendre un peu d'air, lançais-je avant de partir.

Je sortis de la boite et décida de marcher. Le climat était tropical. Il faisait un peu frais mais humide aussi. J'inspirais fortement et sentir l'air dans mes poumons atténua ma colère.

Je m'assis sur un rocher et me perdit dans mes pensées.

J'avoue que ma réaction était un peu exagérée. Mais pourquoi avais-je réagis ainsi alors que Zeya ne représente qu'une opportunité pour moi. Serais-ce de la jalousie que j'ai éprouvé toute à l'heure comme me la dit Dou ? Jaloux pourquoi ? Je ne l'aime pas mais j'avoue qu'elle m'attire. Afin je ne sais plus où j'en suis. Je vais appeler Suz. Entendre sa voix me fera du bien. Je sortis mon portable et au moment de composer, j'entendis quelqu'un m'appeler.

- Ibou ?

Je lève la tête et vis Zeya arriver d'un pas hésitant.

- Qu'est ce que tu fais ici ? demandais-je.

- Je... je venais voir si tu allais bien et te remercier, dit elle baissant la tête.

Il y eut un blanc où je me contentais de la regarder.

- Bon...ben... je te laisse, reprit-elle.

Je la vis trembler de froid et me gifla intérieurement.

- Non attends, dis-je en me levant.

J'enlève ma veste et le lui passe sur ses épaules.

- Reste avec moi s'il te plait.

Elle hocha la tete et je l'invitais à s'assoir prés de moi.

- Je suis désolée pour...commença-t-elle mais je la coupe.

- Non tu n'as pas à l'être. C'est moi qui ai fait le con.

Je lui prends la main et la contemple.

- tu sais que tu fais des ravages tel un ouragan toi, je la taquinais.
- non même pas et puis qu'est ce que j'ai fais ? fit elle innocemment.

- c'est comme si l'assassin te demandait quel est son crime.

Elle éclata de rire. Elle est vraiment belle et son sourire peut illuminer toute l'allée qui est plongée dans une semi-obscurité.

- Zeya

- Oui ?

- Je sais que ce n'est ni l'endroit ni le moment mais j'aimerais te dire ou t'avouer quelque chose. Tu sais cela fait un bon bout de temps que l'on se côtoie mais ca ne me suffit plus. Je veux quelque chose de sérieux avec toi. Je veux que tu sois ma femme.

- Ibou je...

- Non laisse moi continuer s'il te plait. Tu sais dés que je t'ai vu j'ai su ce que je voulais. Je ne suis certes pas parfait mais je veux te rendre heureuse. J'ai accepté d'être ton ami mais je ne peux plus me voiler la face. Tu domines mes pensées. je te désire prés de moi et avec personne d'autre. Te parler de mariage est un peu tôt mais c'est pour t'informer de mes intentions et je n'ai jamais été autant sérieux. S'il te plait donne-moi ma chance. Je peux t'assurer que tu ne le regretteras pas.

Elle se retourna et nos yeux s'accrochèrent. Les miens descendirent vers ses lèvres roses si tentantes et je ne résistais pas à la tentation. Je les frôlais lentement, le temps de lui laisser l'occasion de se retirer mais elle ne fit rien alors je les capturais.

Putain la sensation que j'ai eue, jamais un simple baiser ne m'a fait un tel effet, même avec Suz. Ses lèvres étaient douces et sucrées. Nos langues dansaient dans une fine mélodie. Je l'attirais pour la sentir plus prés et elle gémit. J'eus la chaire de poule et commençais à devenir étroit dans mon pantalon J'étais déjà au septième ciel. Fallait que je me ressaisisse avant que je ne puisse plus me contrôler.

Je me retirais malgré moi mais collant nos fronts et les yeux fermés, nous tentâmes de reprendre nos souffles.

- tu me rends fou, dis je en ouvrant les yeux.

je rencontrais encore une fois les siennes et m'y perdit facilement. comment est ce qu'une personne normale peut posséder une tel éclat? Je ne peux qu'avouer qu'elle m'attire trop. on ne pouvait que se sentir bien.

- je t'aime.

wait! wait! wait! qu'est ce que je viens de dire. Je l'avais dis dans un souffle mais je suis sûre qu'elle m'a entendue. Ce qui est certain c'est que cela m'a échappé. Elle m'a fait perdre la tête d'un seul baiser au point de lui dire je t'aime waouh !!!

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