Aime Moi - Dramione -

Por just_inspiration

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Les mangemorts viennent d'entrer à Poudlard, la bataille est imminente. Le Seigneur des Ténèbres laisse une d... Más

1. Le choix
2. Révélations
3. Doutes
4. Rentrée
5. Premiers Jours
6. Sombrer
7. Remise en Question
8. Responsabilités
9. Idées
10. Dissipation
11. Le Bal
12. Le manoir
13. Nouvelle Chance
14. Retrouvailles
16. Te retrouver
17. Refouler
18. Douce souffrance
19. Douceur Sauvage
20. Le Retour de la Folie
21. Rencontre Innatendue
22. Madame Lestrange
23. Le passé
24. Miss Carter
25. Franchir le Pas
26. Surprise
27. Les Jumeaux
28. Impuissant
29. Rédemption
30. Epilogue

15. Disparition

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Por just_inspiration

Les élèves sortent de la grande salle, et je me joins discrètement à eux. Je marche, tête baissée, jusqu'à ma salle commune. Je ne dois pas céder. Je me roule dans ma couette et me détends peu à peu, regardant vaguement les profondeurs du lac. J'ai comme l'impression qu'il me manque quelque chose, come si ma vie était incomplète. J'ai toujours ressentis ce manque, mais avant, j'étais entouré de Zabini et Parkinson. Ils ne sont pas revenu à Poudlard après la bataille. Peut être est-ce mieux pour moi ? Qui sait. De toute façon, je ne suis même pas quelqu'un de bien. Je soupire, et me lève. Je me sens si vide, de sentiments, de joie, d'envie. Vide de tout.

Comme presque tous les soirs, je décide d'aller faire un tour dans les couloirs. Je sais bien qu'un jour je finirai par me faire prendre par les préfets, ou par des professeurs, mais cette adrénaline me plaît. J'aime le danger, l'insouciance.

A l'intersection des escaliers, je remarque des élèves. Ils sont vêtu de noir, leur capuche est rabattue sur le visage. Ils sont une dizaine. C'est le même groupe que la dernière fois. Il faut vraiment que j'aille en parler à McGonagall, même si elle est certainement déjà au courant. Je regarde autour de moi et vois Granger, accroupie contre un mur. Elle me remarque également et me jette un regard réprobateur. Je lui renvois ce même regard. Ne lui ai-je pas dis que ces individus étaient possiblement dangereux ? Soudain, l'un d'eux se tourne vers elle, et marche dans sa direction. Je la vois trembler et se coller au mur, dans l'espoir de se cacher. Je me mords la lèvre sans la quitter des yeux. Elle me regarde une dernière fois, paniquée. L'individu, qui étant donnée sa carrure plutôt massive doit être un garçon, l'attrape par le col et la soulève brutalement avant de la cogner contre le mur. Je ne peux rien faire pour elle, ils sont beaucoup trop. Il la jette aux pieds des autres et je lis sur ses lèvres "pars". Je lui fais non de la tête mais elle me regarde avec insistance. Elle a compris que je ne servais à rien en restant ici, et qu'il m'est impossible de l'aider.

Je me lève discrètement et cours jusqu'au bureau de McGonagall. Elle est assise à son bureau, remplissant des tonnes de parchemins. Je me plante face à elle, épuisé.

- Professeur ! Vite ! Granger... Hermione ! Elle se fait attaquer ! Un groupe d'élèves... Ce n'est pas la première fois que je les vois... Des partisans. Elle est en danger !

Elle fronce les sourcils, se lève, et m'indique de sortir et de la guider jusqu'au lieu dit. Nous courrons dans les couloirs, et arrivons à l'intersection des escaliers lorsque je remarque un pan de robe disparaître dans les escaliers. J'en fais part à McGonagall et nous les poursuivons, dévalons les marches à une vitesse effroyable. Nous traversons les cachots, et les rattrapons finalement après une bonne dizaine de minutes de course. Nous brandissons notre baguette vers eux. Ils ont la tête baissée, le visage dissimulé par leur capuche. Il m'est impossible de définir leur identité. Ils sont moins que tout à l'heure, et Granger n'est pas là. Je serre la mâchoire.

- Jeunes gens, veuillez retirer votre capuche, ordonne McGonagall.

Ils n'obéissent pas, et l'un d'eux lance un sort de désarmement qu'elle contre d'un simple coup de baguette.

- Stupéfix ! Lance-t-elle.

Trois élèves sont alors immobilisés, et les autres nous attaquent en retour. S'en suit un échange de sorts toujours plus violents, sans qu'elle ne s'arrête. Cette femme possède une force incroyable... Au bout de vingt minutes de combat, les sept élèves sont immobilisés, et d'autres professeurs arrivent en renfort. Ils transportent les élèves dans le bureau de la directrice, qui s'approche de moi. Aucun de nous deux n'est blessé, mais elle paraît si faible, épuisée. Elle semble avoir maigrit depuis le début de l'année, et ses cheveux sont plus ternes, plus gris. Des cernes se creusent sous ses yeux dépourvus de leur éclat brillant. Elle allume les torches d'un coup de baguette, éclairant les murs en pierre sale des cachots.

- Monsieur Malefoy, puis-je savoir ce que vous faisiez dans les couloirs à cette heure tardive ?

- Je me promenais Madame. Je suis désolé... Mais cela m'aide à me calmer, à faire le tri dans mes pensées, qui sont pour le moins perturbées.

- Je comprends. Veillez cependant à ce que cela ne se produise pas trop souvent, me conseille-t-elle d'une douce voix.

Soudain, une jeune fille brune accapare mes pensées.

- Granger ! Il faut la trouver !

- Ne vous inquiétez pas Monsieur Malefoy. Nous nous en occupons, je vous promet de vous la ramener.

Sur ces belles paroles elle disparaît, me laissant cloué sur place, perdu. Ces mots ne devraient pas me faire tant d'effet, et je ne devrai pas être inquiet à son sujet. Une main se pose sur mon épaule, je sursaute et me retourne. Ma cousine me sourit affectueusement.

- Drago, comment vas-tu ?

- Bien, je suppose. As-tu eu des nouvelles d'Andromeda ou de ma mère ?

- Il me semble qu'elles passent beaucoup de temps ensemble, n'as-tu pas lu la gazette ? Elles sont en première page depuis une semaine. La famille Black se réconcilie !

- Non, j'ai bien d'autres choses à faire. Mais tant mieux pour elles. C'est mieux ainsi.

- Oui, et tout cela est grâce à toi blondinet.

- Ne m'appelle pas comme ça Nymphadora !

- Alors ne m'appelle pas Nymphadora !

Elle rit légèrement, me souhaite une bonne nuit, et rejoint ses appartements. Cette femme est incroyable, même si je la soupçonne de pleurer chaque nuit. Elle passe tout de même sa vie là où celle de son mari a prit fin. Les femmes sont bien plus fortes qu'elles ne nous le font croire... Encore un sujet sur lequel je pourrai passer plusieurs heures à débattre.

Je ne peux pas me faire à l'idée d'aller me coucher alors que Granger est en danger. Chaque fois que je ferme les yeux, je la revois, allongée par terre, avec ce regard paniqué, me demandant de partir. Je lui ai une fois de plus obéit, et je suis toujours incapable de lui refuser quoi que ce soit. Je cours jusqu'au bureau de la directrice, d'où sortent plusieurs adultes, qui semblent être des aurors. Ils tiennent chacun devant eux un des élèves. Je reconnais Jonathan Digger, un Pouffsouffle, plusieurs Serpentard, et deux Gryffondor. Aucun Serdaigle ne répond à l'appel. Ils sont bien trop érudits pour participer à de tels actes. Je les laisse passer, et entre juste après. Le spectacle qui me fais face lorsque je pousse la porte est plutôt effrayant. McGonagall est assise par terre, contre le mur, les pans de sa robe s'étalent sur le sol, et les larmes roulent le long de ses joues. Son regard se perd dans le vide, et sa peau est d'une inquiétante pâleur. Je reste choqué par cette scène et n'arrive pas à faire un pas, que ce soit vers elle ou vers la sortie. Elle lève lentement le tête vers moi, essuyant ses larmes avec ses mains.

- Je... Je m'excuse Monsieur Malefoy, dit-elle en se relevant. Que faîtes-vous ici ? Ne devriez-vous pas dormir ?

Aucun son ne sort de ma bouche. Je vouais un véritable culte à cette femme, qui est une légende pour la plupart d'entre nous. Je la respecte toujours autant, mais la voir ainsi, si humaine. Je ne l'aurais jamais imaginé.

- Pardonnez moi professeur. Je ne peux pas me résoudre à dormir tant que Granger n'est pas saine et sauve. Elle a été kidnappée sous mes yeux, je m'en veux.

- Vous n'auriez rien pu faire Drago, ne culpabilisez pas. J'ai envoyé les meilleurs aurors à sa recherche et les élèves ont été soumis au véritasérum. Elle ne tardera pas à revenir, je n'en doute pas.

- Merci. Mais, je veux aider. Je ne peux pas rester là, les bras croisés.

Je sais bien que réagir ainsi c'est baisser ma garde, laisser mes sentiments faire leurs propres choix, et je risque très certainement d'agir sans réfléchir. Il faut que je me reprenne ! Et puis, quelq sentiments hein ? Je serai curieux de le savoir ! Des sentiments, Drago Malefoy a des sentiments ! C'est une bonne blague.

- Je peux peut-être négocier un peu pour qu'ils vous prennent avec eux. Après tout, vous vous battez merveilleusement bien. Je sais bien qu'il est pour vous inconcevable que je refuse, et que si je ne vous donne pas mon autorisation vous le ferez quand même, donc autant vous assurer une certaine sécurité.

Je la remercie, et m'assois sur un fauteuil face à son bureau. La pièce est parfaitement rangée, tout est classé, ordonné. Typique chez elle. Je reste cependant perdu face à ce qui s'est précédemment passé. Ce doit être vraiment grave pour qu'elle pleure ainsi. Je n'aurai jamais cru un jour la voir dans cet état, et j'en reste encore choqué.

- Un auror va venir vous chercher Monsieur Malefoy. Tachez d'être prudent, je vous en supplie. Votre mère ne me le pardonnerai jamais s'il vous arrivait quelque chose.

- Vous connaissez ma mère ?

Je suis sincèrement étonné, complètement surpris.

- Je sais et connais bien plus de choses que je ne laisse percevoir. Votre mère est une femme respectable, quelqu'un que j'apprécie beaucoup.

Je souris faiblement, comparant cette symétrie entre ma mère et McGonagall. Elles sont toutes deux très nobles, sincères, et semblent toutes deux brisées, bien plus faibles qu'avant. Un auror entre, et me laisse à peine le temps de saluer la directrice que nous partons déjà.

Nous traversons les couloirs rapidement, et juste avant de sortir du château, une main se pose sur mon épaule et me retient.

- Drago Malefoy puis-je savoir où tu vas comme ça ?

Je me retourne doucement et affiche un grand sourire innocent à ma cousine.

- Par Merlin mais c'est que tu m'espionne Nymphadora ! Comme tu peux le constater, je suis accompagné d'un auror et d'une autorisation officielle de McGonagall. J'espère pouvoir apporter mon aide aux aurors, et peut être retrouver Granger.

Elle fronce les sourcils, son regard s'adoucissant.

- Mais c'est que tu pars sauver ta princesse! Claironne-t-elle souriante.

- Nymphadora Tonks ! Je t'interdis de tenir ces propos qui sont pour le moins incohérents, et je t'interdis de penser que je fais ça pour Miss Je Sais Tout. J'espère juste avoir la conscience tranquille.

Elle sourit, amusée, tandis que je lui jette un regard noir.

- Essaye de rester vivant Drago.

Sur ces mots je me retourne, et suis mon protecteur jusqu'à la sortie. Nous marchons quelque peu, jusqu'à quitter la zone de protection, et transplanons dans des toilettes publiques. Hommes et femmes, alignés, entrent chacun leur tour dans les cabine pour se rendre au ministère de la magie. Vient alors notre tour. Je ferme la porte derrière moi, pose les deux pieds dans la cuvette, et je suis tout à coup transporté dans une cheminée, enrobé d'une lueur verte. Je m'avance un peu, et attends mon accompagnateur, qui finit par sortir à son tour de la cheminée. Nous prenons un ascenseur, qui nous amène à une vitesse affolante au sixième étage du ministère. Nous sortons, et puis rejoignons un bureau au fond d'un couloir.

Les murs sont carrelés en noir, un bureau trône au milieu de la pièce. Un homme aux cheveux poivre et sel est assis, discutant avec une jeune femme, et un autre homme. Mon auror toussote, attirant l'attention du vieillard.

- Williamson ! Ravi de vous revoir, claironne-t-il d'une voix grisonnante. Je vois que nous avons invité. Monsieur Malefoy si je ne me trompe pas ? J'ai reçu une lettre du professeur McGonagall, ainsi que les recommandations du ministre de la magie. Vous voulez donc apporter votre aide dans cette... Affaire...

- Oui Monsieur, dis-je d'une voix assurée.

- Bien, les aurors partiront dans la nuit, vous les accompagnerez. Ils assurerons votre sécurité si besoin est, mais Minerva m'a assuré de votre savoir-faire en duel, ainsi de votre changement... SI je puis dire... De comportement. Cette guerre nous a tous changé Monsieur Malefoy, nous devons à tout prix éradiquer ce nouveau groupe avant qu'il ne devienne incontrôlable. J'espère que la confiance que vous accorde le professeur McGonagall en vaut la peine. Bon voyage Monsieur Malefoy.

Nous sortons donc du bureau, après que Williamson, mon auror, ai récupéré quelques dossiers. Nous rejoignons un groupe d'aurors, et transplanons avec aux dans ce qui semble être une forêt, il y fait sombre, et seuls quelques rayons de lune s'infiltrent à travers les branches. Le hululement d'une chouette brise le silence pesant autour de nous, jusqu'à ce qu'un homme enrobé prenne la parole.

- Bien, nous allons nous diviser en plusieurs groupes. Korey, Oldfrey et Windsom, vous irez à cette adresse, annonce-t-il en leur tendant un dossier. Williamson, Green, et Taylor, ici, continue-t-il. Malefoy. Vous partirez avec Stevens et Percy.

Les équipes se forment, et deux personnes s'approchent de moi. Il y a un homme d'une quarantaine d'année, brun, assez massif, et une femme de petite taille à qui je ne donne pas plus de trente ans. Elle a les cheveux noirs, et les yeux gris. Son regard me transperce, elle est presque effrayante. L'homme me tend une main que je serre en guise de salut.  

- Je suis Neil Percy, et voici Ashley Stevens.

Elle me tend froidement un dossier que je parcours rapidement.

- Nous partons, annonce-t-elle sèchement en tendant une main devant elle.

Neil pose la sienne par dessus et me jette un furtif regard. Je m'approche et joins ma main aux leurs. Nous sommes immédiatement envoyés dans une petite ruelle, non loin d'une usine désaffectée. La lumière grésillante des lampadaires éclaire difficilement le chemin, et un léger vent froid soulève délicatement ma cape. Autour de nous il y a plusieurs entrepôts qui semblent abandonnés. Les deux aurors sortent leur baguette, je fais de même, tentant de suivre le mouvement. Nous marchons prudemment, longeant les locaux vides et les vitres brisées, lorsque des voix se font entendre. Nous nous collons au mur le plus proche, et tendons l'oreille.

- Ils reviendront la chercher j'en suis sûr. C'était une mauvaise idée, déclare une voix roque.

- Nous n'avions pas le choix, lui répond une voix de femme. Elle nous a entendu parler.

- Un sortilège d'oubliettes aurait bien suffit.

- Cela aurait éveillé les soupçons et nous aurions pu être découvert. Cette jeune fille nous servira de monnaie d'échange. Nous devons terminer le travail du Lord et éradiquer les sang-de-bourbe.

Je glousse difficilement. Ce sont eux. Ils la détiennent et se trouvent seulement à quelques mètres de moi. Je ne dois pas bouger... J'inspire profondément, et suis les aurors discrètement. Nous espionnons les deux individus, qui sont toujours cachés sous leur cape. Ils entrent discrètement dans un entrepôt, refermant la porte derrière eux. Stevens nous fait alors signe de nous approcher, et je m'accroupis sous une fenêtre, tandis que Percy monte silencieusement sur le toit. Stevens quand à elle est derrière la porte et regarde discrètement par la serrure. Elle nous fait alors signe de chercher d'autres entrées, et Percy lui envoie le signal quelques minutes plus tard. Elle me jette alors un léger regard, brandissant sa baguette. La jeune femme recule légèrement et déverrouille la porte d'un simple coup de poignet. Elle entre alors brusquement dans le local, lançant une foule de sortilèges.

Au même moment, Neil Percy agit similairement de l'autre côté du bâtiment. J'entre à la suite de la jeune femme et lui lance un sort de protection juste à temps, lui évitant de se faire stupéfixier. A l'intérieur, ce ne sont pas deux mais une dizaines d'individus qui nous attendaient. Je lance à mon tour plusieurs sorts, désarmant mes adversaires uns à uns. Une fois nos adversaires démunit, ligotés, ou stupéfixiés, Ashley pousse un long soupire. Elle se concentre et tente de pénétrer l'esprit d'un de nos assaillants, en vain. Elle grogne légèrement, et dans un souffle prononce l'une des formules interdites, "Impero". Elle oblige ensuite l'homme à lui révéler un maximum d'informations, sous mon regard effaré, tandis que Neil appel des renforts. D'autres aurors qui m'étaient jusqu'ici inconnus apparaissent et emmènent avec eux nos adversaires. Stevens se tourne alors vers moi, et hausse un sourcil.

- Nous avons le droit, en tant qu'aurors, depuis la guerre à Poudlard, d'utiliser de tels sortilèges. Merci pour le protego. Partons.

Sa voix est si froide que je n'ose même pas lui répondre. Nous transplanons au bureau des aurors, où nous faisons part de nos découvertes aux autres. Bientôt, tous les aurors sont regroupés dans la pièce. Je retrouve donc Nymphadora, qui a pu se libérer. Lorsqu'elle me voit, ses cheveux prennent une teinte rosée, et elle me serre fort dans ses bras.

- Je suis heureuse que tu sois vivent Malefoy !

Peu habitué à ce genre de marque d'affection, je la laisse faire sans bouger. Elle se détache de moi avec ce même sourire accroché au visage.

Le vieil homme de la dernière fois toussote, attirant l'attention sur lui.

- Bien, nous vous avons chacun donné des taches différentes, concernant la protection du monde magique. Green, un rapport sur l'école de Beauxbâtons ?

Une femme d'une cinquantaines d'années s'avance et lui donne un dossier avant de rejoindre les rangs.

- Tonks, comment se porte Poudlard ?

- Très bien Monsieur. Nous avons arrêté le groupe d'élèves affilié à cette nouvelle organisation et nous nous assurons tous de la sécurité des élèves qui est primordiale.

- Bien... Williamson, des nouvelles ?

L'hommes m'ayant accompagné précédemment lui donne à son tour un dossier qui a l'air bien rempli, en lui glissant quelques mots imperceptibles.

- Stevens, du nouveau sur Miss Granger ?

La jeune femme acquiesce et fait part des informations dont elle dispose. J'écoute attentivement, et certains noms me font réagir. D'anciens mangemorts certainement inconnus du ministère. J'essaye d'en informer les autres, mais ils sont bien trop attentifs au discours du vieillard. Je m'éclipse donc discrètement, et transplane au manoir de ma famille. J'entre et trouve ma mère et Andromeda assises près du feu, les interrompant dans une discussion semblant on ne peut plus sérieuse.

- Drago ! Que fais-tu là ? Demande ma mère en se levant.

- Les Drew sont de retour mère.

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