"Elle a 29 ans"
"GOJO RYO ET FUSHIGURO SATO ! EST CE QUE VOUS AVEZ TOUT LES DEUX PRIS MON MAQUILLAGE ?!", cria Marri, les jumeaux se jetèrent un coup d'il avant de se retourner vers leur père.
"...NON !"
Marri marchait dans les escaliers avant d'arracher son maquillage aux deux garçons, qui frissonnaient sous le regard noir de leur mère.
En effet, Megumi et Marri se sont mariés deux ans après qu'ils aient commencé à sortir ensemble, et Marri avait rapidement donnés naissance aux jumeaux.
Ryo a pris le nom de famille Gojo --car il était né avec les cheveux blancs et les yeux verts-- pendant que Sato avait pris le nom de famille Fushiguro --car il était né avec des cheveux noirs et des yeux bleus ciel.
Parce que Toji et Satoru était compétitif entre eux, chacun colonisait l'enfant qui portait son nom de famille.
"Papa... s'il te plait sauve nous...", chuchota Sato, Megumi donna simplement un petit sourire à sa charmante femme.
Marri soupira avec un faux sourire, Sato et Ryo tressaillirent alors qu'ils sentaient leurs sang se glacer.
"Sato... Ryo... venez par ici et donnez un câlin à maman", demanda gentiment la femme aux cheveux blancs, les deux garçons avait vacillés vers leur mère , se demandant si elle allait les balancés par la fenêtre ou autre.
Dès que les deux garçons étaient parvenus dans l'étreinte de leur mère, Megumi s'en alla dans la salle de bain pour nettoyer le maquillage alors qu'il entendait des cris et des couinements bruyants.
"MAMAN... O-ON EST DESOLES !!"
"C'ETAIT L'IDEE DE SATO !!", blâmait Ryo.
"C-C'EST PAS VRAI ! C'ETAIT RYO ! C'EST TOUJOURS LUI !"
"CAFTEUR !"
Marri continuait de chatouiller les deux garçons de six ans avant que Megumi ne lui tapote l'épaule, la signalant de les pardonner.
"Marri, je pense que nos pères et les fléaux arrivent bientôt. On devrait aller se préparer et commander", commenta Megumi, Ryo et Sato donnèrent un pouce en l'air à leur père alors que Marri soupirait.
"Hai hai~ venez mes deux petits fauteurs de troubles", inaugurait Marri, prenant Ryo dans lesb ras alors que Megumi prenait Sato.
"Est ce que grand oncle Nanamin va venir ?", demanda Sato, Marri hocha la tête.
"Tch ! Mr. Sukuna ferait mieux de venir, ou bien je le battrais", souffla Ryo, croisant ses bras alors que Marri pinçait la joue du garçon.
"Petite morve impertinente"
"J'ai seulement appris des meilleurs", sourit triomphalement Ryo alors qu'il entourait ses bras autour des épaules de Marri, tirant la langue à son frère qui tourna juste la tête vers Megumi.
Megumi secoua sa tête avant d'embrasser le haut du front de Sato, il procédait pour faire la même à Ryo qui soufflait.
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"Ugh, t'es en retard", déclara Toji, croisant ses bras car il était toujours contrarié que seulement un seul des enfants n'ai eu son nom de famille.
"Mah mah~ pourquoi tant de sérieux ? Je suis seulement en retard de trente-trois minutes cette fois", s'agita Satoru.
"Bon passons, où sont mes précieux petits-fils ?"
""ICI !", proclama bruyamment Ryo.
"Awww Ryo !!! Ton grand-père t'as manqué ?", gazouilla Satoru, le jeune garçon lui avait un visage neutre.
"Mr. S'kuna !! T'ES LA !!", s'exclama le garçon aux cheveux blancs, Satoru sentit son âme sortir de son corps alors que Toji reniflait.
"Où est Sato, huh ?"
"Grand oncle Nanamin, tu peux m'apprendre comment nouer une cravate ? T'es cravates sont toujours colorés", s'émerveillait Sato, Nanami acquiesça, tapotant la tête du garçon.
Toji et Satoru étaient assis dans un coin, dévastés.
Marri gloussa en haussant les épaules.
"Les garçons ont du goût", commenta Marri, donnant aux hommes une tasse de thé alors que les deux lui jetaient un regard noir.
"Tout est de ta faute !", accusait les deux en synchronisation.
Marri sursauta alors que Megumi venait à côté de sa femme et tapota son épaules, l'emmenant vers leurs places avant de lui tendre un verre d'eau pour qu'elle puisse se calmer un peu.
"Comment osez vous m'accusez comme ça ?! N'oubliez pas que j'ai réparer tout vous problèmes de relations du haut de mes quatre ans", cassait Marri, ce qui eu pour effet de faire tourner la tête des jumeaux vers leur mère, laissant leurs idols pour monter sur les genoux de leur maman.
"Maman, dis nous, dis nous !!", dépêcha Sato.
"OUAIS !! RACONTE LES POTINS, MAMAN !!", sonnait Ryo.
Marri sourit quand elle vit Toji et Satoru faire une facepalm.
"Eh ? J'ai même plus de ragots si vous voulez. Vous saviez que votre mère était obsédée par mo--"
"S'kuna, ferme ta gueule. Personne n'as demandé", interrompit Marri, ce qui fit grincer des dents de Sukuna qui soufflait.
Ryo et Sato se regardèrent, car ils étaient sûr qu'il iraient demandés à Sukuna plus tard.
"Dit, Mr. S'kuna, pourquoi tu réponds à tout le monde mais pas à maman ? Est ce que c'est parce que t'as peur d'elle ?", demanda audacieusement Ryo, faisant étouffer Sukuna dans son thé.
"MO I?! EFFRAYER ?! JE TE FERAIS SAVOIR QUE J'ETAIS LE FLEAU LE PLUS FORT A TRAVERS TOUTE L'HISTOIRE ET QUE JE LE SUIS TOUJOURS !", proclama l'homme.
"C'est juste un gros nounours", chuchota Marri aux jumeaux, et une marque d'irritation apparut sur le front de Sukuna.
"Je vais te tuer"
"Hai hai~ mais dînons avant que tu n'essais s'il te plaîîîît", se moquait Marri, ce qui fit ricaner les jumeaux alors que Megumi s'asseyait à côté de sa femme en finissant de poser le dernier couvert.
"Comment tu peux vivre avec ça ?", demanda Sukuna, tournant clairement la question vers Megumi.
L'homme aux cheveux noirs sourit juste.
"Ils sont ma famille", répondit-il simplement, embrassant la joue de Marri alors que Ryo faisait un bruit étouffé.
"Oh arrête ça, petit morveux. Tu ne te plains pas quand je t'étouffe de bisous", sourit Marri, se qui fit déglutir Ryo.
"Maman, pourquoi tu m'exposes toujours comme ça ?!", grommela Ryo.
"Oh chéri, attends juste que tu es une copine. Elle en avoir plein les oreilles du temps où tu mouillais encore ton lit--"
"GRAND PERE, POURQUOI TU RACONTERAIS PAS DES POTINS A PROPOS DE MAMAN ?!", cria Ryo, ce à quoi Satoru gloussa en haussant les épaules.
"Ta mère sait tout. Elle est le potin".
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Voilà voilà, est ce que je pleure ? Absolument, je peux pas croire qu'elle grandisse si vite, j'ai l'impression d'être sa mère je suis trop fière d'elle. Bisous les potos.