Près d'une heure qu'il avait passé à l'observer, endormi telle une princesse. Après la merveilleuse compagnie dont elle avait fait preuve au dîner ils avaient longuement discuter, surtout elle mais aussi étonnamment pour lui même il ne s'était pas ennuyé et avait même participer à la discussion et avait adoré l'écouter.
A des instants , l'atmosphère c'était quelque peu alourdir mais toujours aussi agréablement.
Tombant de fatigue il l'avait portée littéralement jusqu'à sa chambre
- demain je vous montrerai un truc. Mais avant promettez moi que vous n'en rirait pas! Fit telle endormie
- vous avez ma parole.
Elle lui fit un sourire avant de sombrer dans un profond sommeil.
Comme il l'avait pensé , ces cauchemars de la veille repris.
Elle suppliait une tierce personne de ne pas la battre , ces larmes coulaient , et se pliait sûre elle même.
Cet triste spectacle lui comprima la poitrine au point de l'éttoufé, il quitta son siège vint se mettre à son chevet, presque qu' automatiquement elle se serra contre lui et retrouva peu à peu son calme avant de sombrer nouveau dans un sommeil profond et plus calme.
Son contacte lui fournir un réconfort inexplicable. Jamais il n'avait ressenti un telle apaisement dans les bras d'une femme encore moins une si jeune.
*
*
Adossé les yeux fermé contre sa chaise , il fut de nouveau envahi par cette si belle sensation.
- tu va bien ? Je ne te savais pas à Milan, nous ne devions nous voir que dans deux jours.
- je suis arrivé ce matin,
- tu as une réunion ici je pensais que tu pouvais tout géré depuis Londres
- c'était nécessaire.
Le connaissant, Gustave sût que cette visite inattendu avait une tout autre raison que celle qu'il avançait. Surtout qu'il semblait agacé, limite en colère.
- je vois. Alors la jeune femme ? Te complique t'elle la tâche ?
- aucunement, ..... elle est.....parfaite !
Un court silence s'installa suite à ce mot. Comme si chacun essayait d'en prendre conscience.
- ... Parfaite!!!! ....
- oui .
- celà fait bien longtemps que je t'ai entendu attribué cet adjectif a une femme autre que Maïssa.
Flavio resta silencieux face à cette remarque. Sachant bien qu'elle n'était que pure vérité.
S'il s'était éloigné s'était uniquement que pour sa personne.. la nuit précédente avait était assez perieuse pour lui. Une partie de son être qu'il pensait ne plus pouvoir être animé avait comme reçu un électrochoc. Ce qui l'avait grandement perturbé.
Adossée contre son torse, une chaleur intense avait pris possession de son être tout entier.
La jeune femme présente en ces lieux le déroutait complètement , ces sens , ces émotions, tout en lui était lourdement bouleversé par sa simple présence et de surcroît elle avait même réussir à le faire paniquer ! Un ressenti qu'il pensait mort en lui depuis quelques années.
De plus son regard pour elle commençait à changé, il l'avait trouvé " désirable " incroyablement belle , et pour la première fois de sa vie, il eu simplement envie d'un baisé. De l'embrasser tel un homme embrasseras une femme de qui il éprouvait un profond désir.
De posséder ces délicates lèvres, a la fois pulpeuse et si fine en lui faisant ressentir le trouble quel lui imposait juste de part sa présence, il eu envie juste par ce baisé lui faire ressentir mille et un plaisir, il voulait la sentir fondre sous la langue tout en gémissant pour lui, le suppliant presque de la possédée, en d'autres termes en plus de l'apaisement incontesté qu'elle lui apportait, il avait ressenti pour elle un profond et douloureux désir.
Un désir brute et possessifs.
Et pourtant elle n'avait posé aucun acte qui aurait pu l'amener à de telles pensés. Elle s'était montrée naturel, désinvolte, entêtée et surtout très rebelle. Serait entrain de sombré dans une folie encore indétecté .
Ces émotions , dires et rires n'était ni calculé ni spécieux. Elle avait été même très fréquemment maladroite.
Seulement quatre jours qu'elle était dans sa vie , et elle le perturbait déjà si tant.
Son départ était dû a cet désir qui s'était éveillé en lui la veille, il s'était senti médiocre et misérable de ressenti de telle émotion a son égard, elle qui avait déjà une vie si compliqué.
. Il se sentait comme un barbare s'émoustillant a la vue d'une chaire fraîche ce qui le dégouta de lui même .
***
Ils se mit à discuter de celle qui le tourmentait...
- si tes dires s'avèrent exact cette jeune femme à dû vivre un véritable enfer.
- pourtant elle n'en porte aucune séquelle du moins visible . Pourtant le soir , elle est captive de ces peurs .
- tu l'affectione ? Connaissant le caractère de son ami, Gustave avait prononcé ces mots avec précaution.
Ivan lui avait fait part de son idée, bien que égoïste il avait décidé d'y participer si après sa discussion avec Flavio s'avérerait productifs.
Et de ce qu'il constatait , son ami était en proie de tourments , d'incompréhension, a recherche des réponses à ces propres question.
- sa présence m'apaise.. fit il après un long moment de silence.
- a quelle point ?
- je n'en ai aucune idée. Répondit Flavio après une pause .
- tu es si mauvais menteur...
Flavio lui lança un regard noir...
- si elle te plaît tu devrais l'approcher, je sais pas lui faire des avances . Ou...
- je ne te savait devint ou entremetteur! Le coupa t'il en sachant qu'il avait vue juste.
- .. Flavio..
- où en es-tu avec le divorce ?
- J'ai......
- mademoiselle ! Non !! Mademoiselle...! Non vous ne pouvez entrer ! Monsieur est en ... Veuillez m'excusez monsieur...
D'un signe de main il calma sa secrétaire puis la congédia.
- oh Monsieur !! Je commence terriblement à me questionner sur nous !! J'étais très inquiète.
- bonjour Claire ! Asseyez vous je vous prie.
- oh toute mes excuses votre grâce. Fit celle en prenant ces aises. Merci.. je commençais à m'inquiéter...
- Claire !! Les civilités.
- oh ... Je .. eu ...veillez m'excusez, mes salutations monsieur Gustave. Fit elle gêne.
- bonsoir Miss. Flavio je te reviendrai plus tard . Fit Gustave avant de s'en allé.
A peine Gustave sorti de la pièce quelle repris son jabotage , seulement quelques minutes qu'elle avait ouvert la bouche qu'il était déjà épuisé de sa présence.
- qui vous a fait part de ma présence en ces lieux ? La coupa agacé.
- eu.... Je... Eu...
- la vérité je vous prie.
- .. eu.. une amie vous a vue en circulation.
- vraiment ?
- eu... Oui...
- laquelle je vous prie ?
- Aurélie...non Charlotte...
- claire, nous ne sommes pas encore marié que vous vous adonnez ces écarts. Aussi Mettez s'y du tient lorsque vous vous essayez de me mentir.
Il prit le téléphone du bureau et appela sa secrétaire.
- s'il vous plaît veuillez remettre cette lettre de remerciement ainsi que ce chèque a la réceptionniste et assurer vous d'en engagé une autre m'a sorti.
- bien Monsieur. Avec votre permission..
- voyons... Pas besoin d'être aussi extrême !! Vous...
Le regard qu'il lui lança lui ferma le clapet d'aussi tôt.
*
*
les yeux couvert par un ruban de soie rouge, privé de son ouïe , le son de sa voix étain par le bâillon serré entre ces dents, les poignées ligotée au plafond, le dos droit et légèrement cambré mettant en avant son postérieur, le corps nue et tremblant marqué pas le passage de la cravache sur sa peau , voilà la punition qu'il lui avait exécuté suit à la pathétique scène a laquelle elle s'était adonnée quelques heures plus tôt.
Assis dans le sofa en cuir , Flavio observa la jeune femme qui c'est si facilement offerte à lui contre un titre honorifique. Celle qui allait d'ici deux mois devenir sa femme.
Un mariage qui lui permettaient juste de s'assurer une descendance.
Un mariage vide d'amour.
Un contrat comme celui qui les liaient en se moment.
Un mariage dans lequel ou la seule affinité qui y règnera sera l'affinité sexuelle s'il ne sans lasse pas avec le temps.
Exaspéré par sa triste situation il appuya sur la télécommande ce qui libéra sa prisonnière , qui après avoir soufflé quelques secondes, se rapprocha de lui en rampant, une fois a ses pieds elle s'appliqua a la tâche qu'il venait de lui attribuer comme si sa vie en dépendait .
Seulement lui ces pensées ne se dirigeait que vers une seule femme , celle qui l'avait faire déserté sa propre demeure. Celle qui dès leurs premières rencontre avait perturbé son être en entier.
En colère contre lui même il l'a tenu par les cheveux s'enfonça dans sa gorge puis se mit débout en intensifiant ces mouvements.
Quittant ces lèvres pour sa féminité, il s'introduit en elle sans ménagement, puis avec vivacité entrepris ces mouvements alléatoire sans se soucier du plaisir de sa partenaire jusqu'à ce que lui atteint la jouissance en la retournant pour se déversé sur sa face sans en tirer le moindre plaisir.
Sans mots il quitta la salle pour regagner ses appartements toujours encombré par ce sentiment qui ne le quittait pas.