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«ABIA : OBSESSION CRIMINELLE !»




















@MANOUSAID




















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“LE SOIR.”




























Un enfant.. Il veut un enfant ? J'ai souris par nervosité. Juste m'imaginais lui donner un enfant me donne la nausée.

Je veux pas engendré le progéniture de ce monstre, je veux pas avoir un lien avec lui.

Si je tombe enceinte de lui, je crois que j'avorterai ! Je sais que ce n'est  pas bien, je suis consciente que c'est un lourd pécher de tuer un être vivant.. Mais je veux pas être la mère de son enfant.. Je refuse de l'être !!

Je souffle avant de me lever , j'allume la lumière et prends mon antidépresseur , je prends la bouteille d'eau que j'avais laissée sur la commode et je mets la pilule dans ma bouche avant de boire mon eau.

Je me rallonge et je ferme mes yeux, je sens la fatigue montée, après quelques minutes, je m'endors.

Cinq heures plus tard.. Je me fais réveiller, J'aurais préféré continuer à dormir, vu que c'est la première fois depuis le drame, que j'arrive à bien dormir sans faire des cauchemars, mais Fayad était de retour dans la chambre. En sentant l'odeur du whisky, dans son haleine.

Il se colle à moi, je me suis dis qu'avec un peu de chance, cela ne durerait pas longtemps.

Il me fait basculer sur le dos brutalement.. Je déteste ça et je voulais qu'il arrête! Soudain je sens son souffle sur mon nez.

Fayad- Tu dors ?

Moi-..

Il attrape ma mâchoire et pose ses foutues  lèvres sur les  miennes, il essaye d'introduire sa langue dans ma bouche. Il m'enlève mon short et ma culotte.. Je sers mes cuisse en elles-même tout en faisant semblant de dormir. Je l'entends grognais avant de descendre du lit, puis il part de la chambre.

J'y crois pas ! J'avais réussi à le faire partir en faisant semblant de dormir ! Il me laisserait tramquille pour la nuit. Sauf.. Sauf qu'il avait laisser la porte ouverte, pourquoi ? Je me raidis en comprenant qu'il y'avait du  changement dans son rituel.

Il revient dans la chambre et ferme la porte à clé. Il monte à nouveau sur le lit avant d'attraper mon débardeur et j'entends un bruit,celui d'un ciseau, il était en train de couper mon débardeur en deux.

Il se met sur moi avant d'écarter mes cuisses, une vague de frissons s'empare de moi.

Fayad- Je t'aime de tout mon cœur Abia!

Je sens quelque chose d'humide sur ma poitrine puis une douleur au niveau de celle ci.

Moi-..

«ABIA : OBSESSION CRIMINELLE!» On viuen les histories. Descobreix ara