«ABIA : OBSESSION CRIMINELLE!»

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«ABIA : OBSESSION CRIMINELLE !»

@Manousaid

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Gazo - PURÉE ! IL FAIT CHAUD !

Barbe bleue - Arrête d'hurle bêtement.

Gazo enlève son t-shirt tout en me regardant. Il commence à me montrer ses muscles inexistant.

Gazo - Dis la mante religieuse, tu ne veux pas augmenter encore ma chaleur corporelle ?

Moi - Si tu veux je peux te refroidir histoire de baisser ta chaleur.

Kais - Mdr..

Gazo -*En boudant * Ce n'est pas juste! Je sais être doux.

Gabi - Laisse l'enfant des gens tranquille.

Gazo - Qu'est que t'as mamie? Tu veux faire à la Emmanuelle Macron et Brigitte ? Je suis preneur.

Barbe bleue - T'es désespéré à ce point ?

Kais - Aucune femme ici, n'ose le toucher même avec un bâton.

J'ai éclaté de rire.

Gazo - Sers ta gorge.

Moi - Seum en silence.

On a continué à parler, depuis que Barbe bleue m'a pris sur son aile, je suis tranquille ici. Ça va faire 5 mois, que je suis tranquille. Pas d'avertissement ni rien. Juste tranquille.

Je traîne souvent avec eux.

Un gardien passe devant nous.

Gardien - Karim remet ton t-shirt. Zyad tu as de la visite.

Je me lève et me mets dos à lui et je leve mes mains, il me menottes et on sors pour aller au parloir. Arrivée là bas, lorsque je vois mon fils, j'ai souris. On lui avait fait des tresse, qui lui allait bien. Zyad était là, il avait maigri et à laisser pousser sa barbe.

Lorsqu'il me vois il me sourit.

Moi - Salam Aleykoum.

Zyad - Aleykoum Salam

Le gardien m'enlève les menottes.

Gardien - Vous aviez 1h pas plus.

Il se mets dans un coin, je prends Malick qui me sourit.

Moi - Coucou mon prince, ça va ?

Malick - Oui..

Zyad - Il a un cadeau pour toi.

Moi - Vraiment ??

Malick me donne ce qu'il avait dans ses mains, c'était une fleur qu'il tenait fermement au point où ça ne ressembler plus à rien

Je le prends, je regarde Zyad.

Moi - Et toi ça va ?

Zyad - Ouais..

Moi - Zyad??

Zyad - Ouais t'inquiète.

Il semble fatiguée, je pars m'asseoir à côté de lui, il me regarde.. Il était pas bien du tout, le Zyad joyeux n'était pas là aujourd'hui. Il me fait de la peine.

Moi - Parles moi, tu n'es pas bien Zyad.

Zyad - Je vais bien je t'assure.

Je rapproche mon visage de la sienne, mon cœur bats la chamade. Et le voir comme ça me brisé le coeur.