chapitre 18

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La température glaciale qui règna dans la maison les jours qui suivirent était digne du pôle nord.
Steve était rarement à la maison mais s'arrangait toujours pour être là au petit déjeuner et au dîner.
Le lendemain de leur dispute il lui avait fais livré une nouvelle garde robe, des chaussures, des bijoux,ect... Mais ce qui l'avait le plus marquer c'était que le soir avant de dormir en sortant de la douche, elle avait trouvé le petit flacon qui comprenait les anti-dépresseurs sur sa table de chevet.
Il faisait son possible pour paraître naturel  mais elle savait que c'était au prix d'un effort surhumain.
Elle avait plusieurs fois essayer de le remercier mais il l'évitait carrement. Et elle devait avoué que d'une certaine manière elle s'en voulait, oui il avait commis des erreurs comme le commun des humains d'ailleurs mais il s'était excusé, à la Steve Garett Paterson peut être mais elle voyait bien qu'il était désolé.

Elle était décidé cette dois-ci à faire le premier pas vers lui. Il était vexé et c'était naturel qu'elle s'excuse. Par ailleurs, il lui manquait et parler du beau temps dévenait plus qu'ennuyeux. Cette relation ne ménera surment à rien au bout de deux mois mais aumoin elle voulait faire un essaie, lui laissé une séconde chance aulieu de le regreter plus tard.
Et puis il valait mieux ne pas le mettre en colère surtout qu'elle n'avait pas encore reçu son chêque, se convint-elle.

Pour s'excuser et "officialiser" leur trêve elle lui avait préparer une surprise qu'il adorerai surment et qui n'aller pas tardé à arriver.

Steve Garett sortit de sa voiture et entra dans l'immeuble qui abriter son appartement suivit de près par Tony et quelques gardes rester en retraite. Il était fatigué par des nombreux reunions et voulait juste se réfugier dans son bureau avec sa bonne vieille bouteille de whisky. Il écoutait d'une oreille distraite Tony lui parlait de ses prochaines sorties officielles et d'autres paperasses.
Arriver à son ascensseur privé, il sorti sa carte magnétique pour l'ouvrir.

-Jeudi tu as une reunion de presse juste après ta visite à l'orphélina StGeorge et l'inauguration de la nouvelle salle d'accouchement et la pédiatrie de l'hôpital général, tu as aussi...

-Ça suffit pour aujourd'hui Tony, tu fairais mieux d'aller retrouver ta femme et tes gosses si tu ne veus pas te les faires volés par un homme qui prendra moin son travaille à cœur.

L'intéresser leva enfin la tête de son ajenda éléctronique la mine déconfite.

-C'est pas que je n'aime pas ton professionalisme, mais tu devrais accordé un peu plus de temps à ta famille, si non tu risque de le régreter plus tard.

-Mais on est à peine vingt-heure et puis j'ai la journée de dimenche pour passer du temps avec ma famille.

-Es-tu seulment contient qu'on est samedi ? Questionna Steve.

Tony ajusta ses lunettes sur son nez l'air honteux.

-Rentre chez toi, et ne me contacte pas avant lundi comprit ?

L'ascensseur s'ouvrit et sans plus de céremonie il quitta son bras droit. Tony était un brave homme et un excellent assistant et bras droit mais il le supçonnait de parfois oublié qu'il a une famille.  Ce qui n'était pas normal avec la charmante épouse qui l'entendait à la maison avec leur jumeaux de cinq ans.
Son cœur se serra à l'idée de Chloé l'attendant tout le soir chez eux avec une ribambelle d'enfants.
Il n'avait jamais pensé à en  avoir mais avec Chloé, il était près à franchir le pas.
Il défit le nœd de sa cravatte, passa un main dans ses cheveux puis regarda au passage l'heure sur sa montre.

Dix minutes. Il était en retard de dix minutes pour le dîner.
Il pianota sur le bouton de t'ascensseur impatient d'enfin être avec elle, espérant fortement qu'elle l'aie attendu avant de dîner.
Bon sang cette femme le rendait fou! Pourtant c'était la seul qu'il voulait, la seul qu'il désirait plus que tout. Et il était plus que décidé à la garder pour lui.
Il savait doren avant que les cadeaux ne l'impressionné pas et que s'il la voulait il allait devoir être patient, une patience qu'il était loin d'avoir. Lui rendre ses comprimés avait été une décision difficile pour lui mais les cernes sous ses yeux qu'elle ne prennait même plus la peine de dissimuler le rendait inquiet. Elle n'avait pas de problème de sommeil avant, elle n'avait jamais prit des anti-dépresseurs du temps de leur relation et ne voyait pas de psychologue non plus, ça lui briser le cœur de l'admettre mais il était la principale source de tout ses malheurs. Cette nuit là s'il avait sû qu'elle s'en irai ou qu'elle rencontrerai tout ce problème à cause de lui, alors il l'aurai enchaîné à son bras pour qu'elle ne le quitte point.

Dès que les portes de la machine s'ouvrirent, il entendu des rires de femme provenir du salon. C'était  celuis de Chloé suivit par un autre rire tout aussi cristallin que le sien.
Guiseppe qui l'accuillait toujours à son arriver n'était pas là cette fois. Il ôta sa veste et se dirigea droit vers le salon. Quel ne fut pas sa surprise quant il vu de qui il s'agissait.

-Oh! regardez qui est là; dit la voix cristalline de sa mère entre deux rire.

Chloé tourna la tête vers Steve sourire aux lèvres. Son visage ne laissait rien transparaître, elle n'aurait sû dire s'il aimé ou adoré sa surprise.
Sophia Garett Paterson se leva de sa chaise et alla embrassé son fils.
Elle le prit dans ses bras tout en souriant. Steve resta figé, aucune reaction de sa part, il ne rendit même pas à sa mère son calin. Il devait encore être sous le choc de la surprise. Elle se leva à son tour et se dirigea vers lui. Elle le prit à son tour dans ses bras puis l'embrassa sur les lèvres.
Elle sentit la main de Steve lui serrer la taille et il approffondit son baisé. Ce chaste baisé censer faire office de comédie devant la mère de ce dernier se mua en un déferlement de sens.

-Ehoo! Attendez aumoin que je ne sois plus là.

Cette phrase les ramena sur terre, elle se libera de lui rouge de honte.
Steve la prit par la taille et la garda contre lui.

-Je voulais te faire une surprise mon amour, j'espère que ça te plait.

Le large sourire sur ses lèvres trahisser sa bonne humeur.
Steve serra sa prise plus fort sur sa hanche qu'elle en eu mal. Elle tourna la tête vers lui et remarqua qu'il ne souriait pas, il semblait plus en colère qu'heureux. Mais quesqui  lui prennait cette fois ?

L'arriver de Guiseppe les interrompu.

-Bonsoir Monsieur; dit-il en inclinant la tête. Puis-je vous débarassez ?

Il prit la veste que Steve avait toujours sur la main.

-Je vais allé voir où en est le répas, je revient.

Elle déposa un baisé sur sa joue puis s'éclipsa. Guiseppe en fut de même le laissant en tête à tête avec sa mère.

Il regarda cette dernière avec mépris et horreur. Comment avait-elle pu mettre les pieds chez lui ?

-Quesque tu fais ici ? démanda Steve du tic au tac.

Pas besoin des faux semblants avec elle. Elle savait à quoi s'attendre en venant.

-Ta copine m'a invitée pour le dîner et puis je ne savais pas que tu n'étais pas au courant.

-Eh bien! Maintenant que tu le sais, tu fairais mieux de partir.

Mais putain quesqui avait prit Chloé pour la faire venir dans sa maison et d'ailleur d'où la connaissait-elle?

-Mon chéri; dit sa mère en approchant de lui. Je sais que j'ai commis des erreurs et j'en suis vraiment navré mais ça fais  huit ans maintenant Steve. Tout ce que je veus c'est rétrouver mon Steve d'autre fois. Ce jeune garçon plein de trendresse et de bonté, qui ne pouvais pas faire un pas sans m'en informer pour qui l'univers tourné autour de sa maman chérie.

Elle lui carressa la joue les larmes aux yeux avant d'ajouter.

-Je t'aime énormement mon fils.

Il croisa le regard plein de larmes de sa mère et son cœur se brisa. Ils avaient été telment proche dans le passé, elle était tout pour lui. Il avait cru mourir quant il avait apris sa trahison et qu'elle avait fini par les abandonnés son père et lui. Il se souvenait comme si s'était hier de cet affreuse journée où sortant de son club de lecture il avait trouvé la maison vide, son père enfermer dans son bureau y avait passé le trois prochain jours.
Il prit fermement la main qui caresser sa joue et l'éloigna comme si ce simple contact le bruler.

-Ce garçon là n'existe plus; dit-il d'une voix dure et sans émotion. Tu l'as tué le jour où tu as quitté ton foyer avec ton amant.

La Maîtresse De Steve GarettWhere stories live. Discover now