Does it feel the same, when he calls your name?

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Jenna m'avait donné rendez-vous le Mercredi soir à l'appartement. Elle détenait toujours les clefs qu'Ollie lui avait offert pour leur premier annversaire. Celle-ci m'avait d'ailleurs informée qu'elle profiterait de sa venue pour les lui rendre. Ollie ne devait pas rentrer avant vingt heures parce qu'il terminait ses amplettes pour Noël. J'avais promis à Bradley de lui offrir un cadeau avant Noël. J'avais passé la fin de l'après-midi ces trois derniers jours à emballer des cadeaux au modeste centre commercial que disposait la ville de Breston. Les gérants de la galeries rémunérait ce travail six livres de l'heure et j'avais réussi à en récolter quarante-deux. Minie avait proposé à la pause déjeuné de m'accompagner demain après les cours au centre commercial pour lui choisir son cadeau. Enfaite, nous avions été manger à la cafétaria ensemble parce qu'elle était dorénavant dans le même cours d'économie que moi ayant choisi de changer sa sélection de matières pour le bac. " Tu sais Jill, je t'invite à venir te goinfrer avec moi tous les midis à la cafèt'", s'était exclamé Minie en faisant osciller la dizaines de bracelets incrustés de pierres semi-précieuse qu'elle portait aux poignets. Je lui avait rendu son sourire scintillant par ce que l'on pourrait appeler une timide grimace, mais je dissimulais mon enthousiasme. Elle voulait vraiment être amie avec moi. La camaraderie, l'affection, les sentiments , les autres, ce n'était pas vraiment mon truc. Je n'y comprenais pas grand chose mais peut être que le destin avait changer ma conception du monde. Lorsque j'étais seule , je ne désirais pas vraiment connaître ceux qui m'entourait, mais lorsque quelqu'un venait vers moi, je devais l"avouer, j'espèrai au plus profond de moi une amorce d'amitié même lorsqu'on me demandait un crayon en cours de Chimie. J'étais amie avec Bradley, - je l'avais accepté- et Minie semblait aimer la terre entière. Les amis de ses amis était les siens. C'était la seule l'explication plausible que j'avais trouver à sa chaleur véhémente.

J'étais toujours persuadée que je n'avais rein de particulier à apporter aux autres. Mon insignifiance était la raison pour laquelle je n'avais jamais eu d'amis dans mon école précédente. Evidemment, j'avais des camarades, mais elles ne me portait que très peu d'attention. Je snetais qu'à leurs yeux, je n'avais rien de vraiment intéressant à partager, je ne détenais aucunes des caractèristiques qui faisait que l'on qualifie une personne " d'exceptionnelle"'. C'était des copines d'école, ça n'allait pas plus loin. Elles, elles partageaient des secrets, vivaient des expèriences qui avait de l'intérêt. Je n'avais pas ses secret et ne vivaient pas ses expèriance extraordinaire. Alors, on pouvait me considérer comme en retard sur les moeurs et ce que j'appelais CAA (Comportements adolescents à adopter)  ou alors telle qu'un totale "freak" et ennuyeuse. L'année dernière , dans mon ancien lycée,  lorsque notre pause était rallongée à cause de la prof d'Anglais qui était absente , la raison de ma présence sur terre avait été définie. Nous étions près d'un mur délabré qui avait réputation d'être les cabinets secondaires des garçons avec Ariella -qui nous avait entraîné dehors pour essyer sa première cigarette électronique-, Anabelle et Elizabeth. Nous étions toutes les quatre en groupe  pour un oral qui allait avoir lieu le lendemain. Elizabeth cherchait avec qui elle travaillait, et avait omis de mentionner mon nom, lorsdqu'elle avait énuméré les membres du groupe.

- T'as oublié Jill, Bethy , l'avait reprise Ariella dans un nuage de fumée soufflé dans sa direction.

Elizabeth m'avait regardé , puis avait simplement dit .

- Ah oui. Tu es là.

Ce n'était pas méchant, elle ne semblait pas non plus désolé de m'avoir oubliée - ce n'aurait été qu'en apparence si elle l'avait été-. Elle était juste indiffèrente, ignorant qu'elle avait fait clairement apparaître une réalité. J'étais là. Comme un gobelet vide de chez Starbuck écraser sur la chaussé. Il est là, fait parti du décor. Personne ne cherche à savoir pourquoi il est là, ni qui l'a bu . Il est là comme les autres millions de déchets.  Je n'étais qu'un déchet de plus sur cette terre, voilà à quoi se résumait mon existence: Etre là.

Going Nowhere- Bradley Simpson (The Vamps)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant