[MHA] Je hais ce monde... - Tome 1 - Terminé

Chap 12 : Adultes

Résumé de l'histoire pour le moment :

Izuku est martyrisé par son camarade Katsuki sur le fait d' être '' sans alter ''. Après son dernier passage à tabac, notre protagoniste découvre une partie du pot aux roses que lui cache celle qui pretend être sa mère. Suite à un acte de celle ci et une tentative de ne pas trop se faire disputer, Izuku se retrouve en foyer. Là, il rencontre Eijiro et Yukio. Eijiro à un lourd passé. Yukio quand t à lui est un curieux mais protecteur. Celui ci essaye de savoir ce qu'il y a dans le dossier d'Izuku afin de découvrir pourquoi son comportement était étrange dès son premier soir.

Dernier passage des deux précédents chapitres :

Izuku présenta mon visage à la légère brise nocturne. Le vent frais lui faisait du bien.
La lune se dessinait au loin dans le ciel. De part sa position il pu dire qu'il était aux alentours de minuit.

[..]

La lumière du couloir à été allumé, Yukio le voit en dessous de la porte. Des bruits de pas se rapprochent. Son sang frappe ses tempes aussi fort que quand celui ci joue de la batterie et ce n'est pas peu dire.. Des formes de pieds se dessine sous la lumière qui se glisse sous la porte. Il voit la poignée commencé à se baisser puis avant qu'elle ne soit assez basse pour que ça s'ouvre, elle se relève et l'ombre part.

Putain j'ai eu de la chance...

Début du chapitre :

Pdv Izuku :

Cela faisait un moment que j'attendais que la nuit passe maintenant. Mes mains me faisaient plus mal que quand je m'étais '' réveillé '' tout à l'heure. Je commence sérieusement à m'ennuyer... Et aussi à fatigué.

Au bout de ce qui me semble une éternité, j'entends des bruits dans le couloir. Je me mets sous la couette et ferme les yeux.
J'entends la porte s' ouvrir ainsi que deux voies qui chuchote. Cependant je ne comprends rien à ce qu'ils se racontent.
Je manque de sursauter quand une main me touche l'épaule pour me secouer.

Je fais mine de me réveiller. Derrière mes paupières mis closent, je discerne un homme et la femme qui m'avait accueilli hier. Le premier me regarde d'un air un peu froid comme s'il était là contre son gré, l'autre d' un œil chaleureux mais méfiant.

Murakami : bonjour mon grand, ça va ?

Moi: ça va, je... Qu'est ce que je fais ici..?

Je feinds l'incompréhension, puisque je sais pourquoi.

Murakami : est ce que tu te rappelles ce qu'il s'est passé hier soir ?

Moi: bas... Je suis arrivé ici après être resté un moment à l'hôpital...

Fukuyami : tu ne te rappelle pas d'autre chose Izuku ?

Moi : heu...

Murakami : essaye de te rappeler s'il te plait

Aie.. Heureusement que j'ai réfléchis à une excuse pendant que j'étais seul, sinon j'aurais été dans de beaux draps. Bon j'avoue mon mensonge est simple mais je ne sais pas s'il va marcher par contre.

Moi : une fois dans ma chambre je suis allé me reposer dans mon lit et.. Je me suis endormie

Fukuyami : il ne s'est rien passé d'autre ?

Moi: j'ai fais un rêve (je baisse mon regards sur celui de Mme Murakami et froncé mes sourcils) heu... Il s'est passé quoi ? Je me souviens d'avoir fait un cauchemar mais ça s'arrête là, après je me suis retrouvé sur le toit je ne sais comment et me suis réveillé ensuite ici..

Murakami : tu ne te rappelle pas comment tu t'es retrouvé sur le toit ? Ni pourquoi ?

Moi : heu.. Non..

Murakami : tu as rêvé de quoi ?

Moi : je ne sais plus trop, mais je me souviens que j'avais peur, que quelqu'un voulait me faire mal, que j'avais mal et que je voulais fuir. Après je ne me rappelle pas..

Fukuyami: tu as déjà fais des crises de somnambulisme ou quelque chose qui s'en rapproche ?

Moi: une quoi ??

Murakami : nous avons pris un rendez vous pour toi afin que tu ailles parler avec quelqu'un. La personne viendra tout à l'heure. En attendant tu vas rester ici. Est ce que tu as faim ?

Moi: un peu oui.

Murakami : quelqu'un viendra t'amener une collation.

Fukuyami: Isuhi, tu as un rendez-vous dans 5 minutes.

L'homme regarda sa montre, puis sa collègue.

Murakami : bien. Alors nous allons y aller. Normalement nous nous verrons ce soir pour le dîner qui se passera dans le réfectoire au ré de chaussée.

Les adultes me saluèrent puis me laissèrent seul.

Je ne sais pas du tout si mon mensonge est passé, dans tout les cas il est trop tard pour le changer.

Akhen: andouille va. Tu es aussi nul que ton mytho minable.

Moi: tais toi. Peut être que je suis une andouille mais toi tu es un parasite. Tu n'as rien à faire dans mon crâne.

Akhen: je suis toi et tu es moi je te rappelle. Il faut que tu comprennes ça crétin.

Moi: tais toi !

Akhen : si tu ne m'en avait pas empêché je les aurais tué. Sérieusement la prochaine fois je ne me raterais pas.

Je soupire puis claque ma main sur le chambranle du lit afin d'étouffer sa voie avec de la douleur.

__________

Pdv Murakami :

Une fois la porte passé et verrouillé, je me tourne vers monsieur Fukuyami.

Moi: tu aurais pu trouver autre chose pour me dire qu'il ne dirait rien.

Fukuyami : et alors ? Le principal c'est que le côté administratif est terminé, nous allons enfin pouvoir aider l'inspecteur dans son enquête.

Moi: je te rappelle qu' officiellement nous n' avons pas le droit.

Fukuyami : tu souhaites garder un enfant potentiellement dangereux avec ceux qui nous sont confiés ? Avant qu'il n' arrive nous n'avions pas eu de problème de violence depuis bien 5 ans. Et puis si un des autres enfants est blessé il faudra remplir un énorme rapport et nous risquons notre place ici. Tu veux quitter Yukio ? Tu veux ne pas pouvoir lui offrir une meilleure vie ?

Il a raison. Je ne veux pas quitter la jeune tête blanche, ni les autres enfants. Au fils des années, ils sont tous devenus comme mes enfants, quand à Yukio il est bien plus. Les papiers rangés dans mon tiroir de bureau me le prouve...

J'arrive devant mon bureau, monsieur Naomasa m'attend.

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Coucou!

Vous allez bien ?

Petit chapitre du week-end, voili voilou !!

8.9.19

1051 mots :)

P

s : en media, c'est un dessin qui est censé représenter madame Murakami :) (la source est dessus)