Chapitre 11

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PDV [T/P]:

Une semaine est passé depuis mon réveil, ma relation avec Erwin c'est améliorée bien que je me refuse toujours à l'appeler papa, cela étant encore trop difficile pour moi, J'ai également passé le test concernant la tridimensionnalité, que j'ai d'ailleur réussi haut la main. Suite à cela pour mon grand, non je dirais plutôt mon immense plaisir, j'ai dû rejoindre l'escouade de ce cher petit Livai, qui prend un malin plaisir à me confier des tâche ingrate. Sérieusement le ménage c'est pas du tout mon truc, et je crois qu'il l'a bien compris cet enfoiré. Sinon je m'entend plutôt bien avec les membre de son escouade, en particulier avec Eren, avec qui je suis devenu assez proche. Laure quand à elle ne me lâche quasiment plus depuis l'incident, car selon elle à chaque fois qu'elle me laisse seul je fais des bêtises, ce qu'il met difficile de nier.

Ce matin je me lève plus tôt que d'habitude, préférant profiter du calme du réfectoire avant qu'il ne soit bondé de monde. Ces temps si j'évite de me retrouver dans des lieux trop bondé, ne supportant pas tous les regards placé sur moi. La cause de ces regards sont les rumeurs circulant en ce moment au sain du bataillons, évoquant une certaine relation entre le major Erwin et moi même, les gens peuvent croirent ce qu'il veulent cela met égal, je ne supporte juste pas d'entendre continuellement mon prénom, cela m'énerve légèrement, je n'aime pas les gens qui parlent dans le dos des autres, si on as quelque chose à me dire qu'on viennent me le dire en face. Je m'installe donc à une table prenant juste un bout de pain et un thé n'aillant pas vraiment faim, je retourna ensuite dans ma chambre attendre l'heure du début de l'entraînement. A huit heure je descendis donc

dans la cour, la plupart des membres n'avait pas encore fini de déjeuner, la cour était donc quasiment déserte. Je m'étais placé dans un coin plutôt isolé et m'entrainais à frapper dans un sac de sable pour me défouler, en attendant l'escouade Livai. Je remarqua assez rapidement un groupe de trois soldats se rapprocher de moi jusqu'a arrivé a mon niveau, mais je continuait de les ignorer.

-Hey salut.

Je relève la tête dans leur direction le regard inexpressif.

-Oh quelle froideur mademoiselle.

-Tch qu'est ce que vous voulez ?

-Je pense que tu le sais.

J'arque un sourcil.

- C'est combien ?

-PARDON ?!

-Oh allez, tu vois bien de quoi on parle, une fille de ton âge qui tourne autour du major, il n'y a pas trente six hypothèse, si tu vois ce que je veux dire, surtout quand on sait d'où tu viens.

Mes poing se serraient, non mais pour qui ils se prennent ces abrutis ! L'un d'eux se rapprocha encore plus de moi passant une main sur mon épaule.

- Aller quoi tu veux pas nous faire plaisir tu verras on est gentils.

Là c'en est trop je saisi sa main lui faisant une clef de bras le plaquant contre le mur, si fort que je lui tordis son poignet, j'envoyai par la suite mon pied dans la figure du second mais ils se releva bien trop rapidement à mon goût m'envoyant au sol. Super, maintenant mon uniforme est dégueulasse, je vais encore me faire sermonner par monsieur propre, génial.Je me releva en un clin d'oeil et régla rapidement le compte de ces idiots avant de reprendre mon entraînement comme si de rien n'était.

Après quelques minutes je fus rejoint par le reste de l'escouade, et comme prévu je me suis fait réprimander par le caporal, mais je l'ai ignoré, à la fin de l'entraînement j'ai écopé de dix tours de terrain supplémentaire en guise de sanction pour l'état déplorable de mon uniforme, ce fut un véritable plaisir, par la suite nous somme allé manger avant de terminer cette magnifique journée par le nettoyage complet des écuries, heureusement j'étais avec Eren il me faisait bien rire, il ne faisait que répéter que c'était à Jean de nettoyer sa maison et pas à nous.

Une fois cela terminé je pensais aller prendre une bonne douche et me coucher mais je fus appelé dans le bureau du major, je m'y rendis alors et entra sans prendre la peine de frapper, m'installant sur la chaise en face de son bureau le fixant,il soupira.

-Bah quoi ?

-Non rien.

-Pourquoi tu voulais me voir ? A cette heure ci en plus, moi qui pensait pouvoir aller me coucher tranquillement.

-C'est toi qui a envoyé trois soldats à l'infirmerie ?

-Oui...

-Et je peux savoir pourquoi ?

-Parce que...

-[T/P] ce n'est pas une réponse.

-Parce que je ne suis pas une pute.

-Heu tu m'explique là parce que je ne suis pas sûr de comprendre...

-Ils pensaient que si jetais plutot proche de toi c'était pour ton statut , et ils pensaient également qu'on avait une relation plutôt... Enfin tu vois quoi, et ce ne sont pas les seuls à penser ça, je pense qu'une bonne partie du bataillons est de cet avis. Bref passons je n'ai pas vraiment appréciés leurs remarques, et les est donc gentiment remis à leurs place.

-Je vois... je suis désolé c'est de ma faute.

-De toute façons cela met bien égal ils peuvent bien penser ce qu'il veulent, je suis habituée après tout.

-Ce n'est pas une raison ! Dès demain je compte bien clarifier la situation auprès des soldats,il est temps de rétablir la vérité.

-Si tu le dis...

-Et puis qui sais peut être que comme ca tu commencera à m'appeler papa au lieu de major ou vieux sénile.

-Tu peux toujours rêver gros sourcil.

-Qui ne tente rien na rien.

Nous commensame à rire, puis passâmes une bonne partie de la nuit à discuter. Vers trois heures du matin j'ai finalement rejoins ma chambre morte de fatigue et je me suis endormie immédiatement.

PDV Livai :

Tch ras le bol de ces putain de rapport, il est déjà trois heure du matin sérieusement. Je décide de sortir de mon bureau voulant me rendre dans le réfectoire pour me faire un thé, pour tenir jusqu'à la fin du derniers dossier qu'il me faut terminer pour demain.

En retournant à mon bureau j'aperçois la porte du bureau d'Erwin s'ouvrir, mais ce ne fus pas lui mais la gamine qui sortie de celui ci, j'avais déjà depuis quelque jour quelque doute sur leur relations mais maintenant je n'en est plus aucun. Tch après tout ce n'est pas mon problème, il font ce qu'il veulent. Pourtant sans que je puisse l'expliquer je ressentais un léger pincement au coeur. 

Livai x Reader  L'ange de la mortWhere stories live. Discover now