S with my psychotic patient || H.S

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- Non pas du tout... j'étais incapable de placer une seule phrase complète et pourtant je n'avais rien à me reprocher.

Harry lui se tenait là souriant simplement en secouant la tête de gauche à droite, il n'essayait même pas de protester, comme si il approuvait tout ce qu'elle disait. Alors que nous n'avions absolument rien fait !

- Harry voici ta tenue.

- Ce n'est pas la peine je n'ai pas encore pris de douche.

- Quoi ! Aucun respect pour vos employés Mr Styles, l'équipe du palace a tout chronométré nous ne pouvons pas nous permettre d'être en retard.

- Euh, Harry, je veux dire Mr Styles, me corrigeais-je, tu peux utiliser ma salle de bain.

- Oui voilà ! S'exclame Carolina, parfait, fait donc ça Harry. Aller plus vite !

Il s'était tout simplement déplacé vers la chambre où se trouvait la salle de bain, il m'avait sourit et je ne savais pas ce que ça voulait dire. Il pouvait rendre folle qui il voulait.

- Toi et moi nous avons du boulot, elle m'avait regarder de haut en bas comme la première fois.

Pendant une trentaine de minutes Carolina s'était occupé de moi et m'avais forcer à enfilé un chemisier transparent et une jupe en cuir noir, je me sentais vraiment trop féminine et surtout un peu beaucoup trop sexy. Et puis j'avais l'impression que je n'allais pas pouvoir tenir longtemps avec cette jupe qui me serrait le derrière et ces talons de 15 centimètre.

- Parfait ! Tu m'as même pas besoin de te coiffer tu as des cheveux si... Parfait. Bref tu es parfaite quoi.

Pour la énième fois dans la journée j'étais gênée. Parfaite avait-elle dit, si elle savait à quel point c'était le k.o dans ma tête...

- Merci, tu devrais aller te préparer maintenant.

- Vraiment très bonne idée ! Je suis à la bourre il me reste deux garçons à habiller. Je dépose ça ici, c'est pour Harry, d'ailleurs il est où celui là. Bref ! Tu lui dira.

Elle étale un costume sur le fauteuil et s'en va précipitamment.

Je me dirigeais vers la salle de bain en espérant ne pas être surprise par un homme nu.

A mon grand étonnement ce n'était pas le cas. Mon patron tenait durement les bords du lavabo la tête baissée et ses sourcils étaient froncé.

- Monsieur vous aller bien ? Je m'étais approcher.

- Prend la petite boîte dans la poche de mon jeans, il avait difficilement dit.

Je voulais plus que tout qu'il souffre mais à cette vue mon cœur se serrait de plus en plus.
Je m'étais précipité vers son jeans qui était a terre et avait sortit une petite boîte en plastique bleu, elle comportait un nombre incalculable de différentes pilules.

Je m'étais avancer vers lui et lui avait tendu la petite boîte bleu, son bras tremblait et il avait l'air incapable de bouger. Je m'étais alors décider à ouvrir la boîte pour en sortir toute les pilules afin de les porter jusqu'à sa bouche. Il était pâle et avait du mal à l'ouvrir. Il avait finalement réussi.

- De l'eau ?

J'étais si inquiète. J'avais les larmes aux yeux mais il ne devais pas le voir. Pourquoi une personne qu'il ne connaissait pas aurait verser une larmes pour lui ? Nous étions censé être de parfaits inconnus. Je me retenais du mieux que je pouvais.
Il avait finalement avalé cette ramassée de médicaments sans eau. Je pense qu'il avait l'habitude. Que se serait-il passé si je n'étais pas arrivé ?

Inconsciemment j'avais posé ma main sur son dos attendant une réaction de sa part. Sa serviette entourait encore ses hanches et ses cheveux était encore mouillé.

- Vous avez finis de m'admirer ? Avait-il finit par dire d'un air fatigué. Mais son sourire me laissait savoir qu'il allait mieux.

- Je ne vous admire pas, répondis-je en enlevant ma main de son dos. De sa belle musculature. J'étais totalement en train de fondre.

- Si, vous admirez ma beauté.

- Non je la cherche encore.

Il s'était redressé et je me rendais compte de ce que je venais de dire. Je me rappelais de ce jour où nous avions dit cela. Tout allait bien et nous étions... Heureux.
Il me regardait comme si il pouvait lire en moi.

- Vous allez mieux maintenant, je pense que vous devriez aller vous habiller. Vos vêtements sont dans le salon.

Il ne m'avait pas répondu et avait quitter la pièce perplexe.
J'espérais juste qu'il ne se doute de rien et qu'il continuait de croire que j'avais tout oublié.

Dans quoi m'étais-je embarqué. J'avais envie de crier si fort afin de me libéré d'un tel désespoir.

J'avais l'impression que toute la haine que j'avais pour lui s'en allait peu à peu. Il avait tellement changé. J'avais en face de moi un homme fragile mais fort, doux mais autoritaire. Il était d'un tel contraste.

Pourquoi il n'est pas resté comme il était avant ? Un homme tordu et méchant. Ça aurait été tellement plus simple pour moi.

Je me sentais faible, et une petite voix dans ma tête me prévenait que je n'y arriverais pas, mon plan allait échouer et que j'allais de nouveau retomber dans ses bras.

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Bonjour !
Ça fait longtemps.
Je reviens à chaque fois en vous disant que je posterais plus souvent et je ne tiens jamais parole.
L'inspiration va et viens mais je ne lache rien et je continuerais d'écrire pour tout ceux qui ont continué à me suivre et à m'encourager.
Merci pour tout !
All the love Xx