S with my psychotic patient || H.S

11

Les dur rayons du soleil effleuraient mon visage me faisant me réveiller.

En me remémorant hier je réalisais, je réalisais que je n'étais plus vierge. Comme une affamée je m'étais accrocher au premier venu. Il fallait définitivement que j'arrête d'y penser ce n'était pas comme si ce que je venais de faire était un peu de l'abus de pouvoir et que ça pourrait vraisemblablement être puni par la loi. Ça faisait mal, oui terriblement mal,  c'était la première chose qui m'étais venue à l'esprit en me levant de ce lit, mes parties intimes était terriblement douloureuses. Quel est le but de ta mission Daisy, me chuchotais-je. Je devais juste approfondir mes analyses afin de pouvoir (avec un peu de chance) résoudre les troubles psychologiques qu'avait mon patient. C'était une drôle manière d'y parvenir.

- Putain, lachai-je inconsciemment en faisant trois pas, décidément j'allais devoir oublier cette tirelire à jurons.

D'après mes recherches ça ne devait pas faire aussi mal, qu'est ce qui clochait avec moi bon sang.

Après quelques minutes de réflexion sur ma fragilité corporelle, je regardais l'oreiller vide à côté de moi et remarquais un manque de romantisme évident chez mon patient. Mon patient... Je ferais mieux de l'appeler Harry désormais, Harry ç'était mieux.

Aller Daisy, prend ton courage à deux main et bouge une fois pour toute ce petit cul.

- Ouh, soufflai-je me préparant mentalement et physiquement.

Je finissais de déscendre les escaliers pour m'aventurer dans une maison dont juste le salon m'était connue en réalisant que mon corps n'était qu'une ridicule boule de gomme étant donné que je ressentais encore une douleur. Honnêtement ? Ma minette aurait déjà du passer à autre chose, ça s'était fait hier soir. Ou peut être était-ce mon cerveau qui envoyait des signaux à mon corps pour me faire comprendre que ce que j'avais fait était mal ? J'étais fasciné par la manière dont j'avais cette facilité à pouvoir imaginer de tels stupidités.

Je m'étais aventurer dans cette grande maison en découvrant d'ailleurs une cuisine digne d'un grand restaurant, cuisinait il ?
Il y avait une baie vitrée qui donnait sur un large jardin, qu'elle maison spécial, la cuisine était séparée de toute les autres pièces. En analysant chaque détails de la pièce je continuais à me demander pourquoi il avait isoler la cuisine en permettant juste une vue sur les hectares que Monsieur Styles bénéficiait.

Toujours entouré d'un simple drap,  je m'avançait  vers cette fameuse baie vitré et l'ouvrit sans problème, car pas besoin de serrer l'entre jambes pour ça. Quel est le rapport Daisy... Concentre toi.

Je sortis enfin dehors prenant une grande bouffée d'air fraîche et découvris une magnifique propriété, j'étais sur du bois, des fleurs tout autour, une magnifique piscine était au milieu de toute ces magnifiques choses, et pour couronné le tout, une barrière blanche entourait tout cela.

Sur l'un des transats j'aperçu un grand brun portant un simple short de bain, des lunettes de soleil cachant ses beaux yeux vert, était-il en train de dormir ? Car il n'avait pas bouger d'un poil et ne m'avait même pas jeter un coup d'œil . Après avoir sûrement obtenue ce qu'il voulait allait-il juste me dégager ? Ou attendait-il que je m'en aille de moi même ?
Est-ce que je le dégoûtait ? Ne voulait-il plus de moi  ? Je devrais sûrement m'en aller maintenant, j'avais commis une grosse erreur.

- Approche. Dit-il soudainement.
Il n'allait pas me jeter comme une merde.

Je me sentais un peu gêner maintenant que je savais qu'il m'avait regarder le reluquer pendant cinq bonnes et longues minutes.

Je m'avançais timidement vers lui et lui faisait face.

- Assied toi, il ordonne en tapotant ses genoux.