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- Réveille toi Daisy.

La douce voix de ma mère me réveillait calmement, la lumière traversait mes rideaux et en ouvrant les yeux je pouvais trouver le doux visage de ma mère pencher au dessus du mien, après tout il n'y a as d'âge pour ça.

- Tu dois aller travailler aujourd'hui, me susurrait-elle.

- Je sais... Maman, marmomais-je à moitié endormie.

- Je t'ai préparer ton café, ne sois pas en retard, ce serait dommage que tu perds ta promotion d'aussi tôt.

Elle avait replacer ses long cheveux blond derrière ses oreilles, m'avait sourit et était partit aussi vite qu'elle était rentrer.

Cette promotion allait enfin me faire changer de voiture, celle que j'avais ne me suffisait plus.
Soigner des patients c'était bon pour passer le temps, et c'était assez intéressant, j'ai toujours eu ce goût pour essayer de comprendre les autres et peut-être réussir à leur retirer tout mal être.
J'ai finis le lycée à quinze ans et commencer les études supérieures à seize ans, c'était dur d'être la surdouée de l'école mais maintenant j'avais 23 ans, un doctorat en médecine, spécialité psychiatrie en poche et je travaillais et profitais d'un salaire acceptable et même honorable.

- Putain ! Daisy tu vas être en retard ! Me criait ma chère et tendre mère.

- Tu sais ce qu'il te reste à faire ! Lui répondis-je. Cinquante cents !

Nous avions créer ce jeu de tirelire pour éviter les jurons à la maison car la vulgarité était l'une des choses qui me plaisait le moins, ça pouvait paraître bizarre venant d'une jeune femme de 23 ans. Mais c'était comme ça, et de toute façon je n'ai jamais été un être humain normal.

- Tu fais chier avec ta tirelire ! S'était-elle énervé.

- Ça fait un dollar !

- Tu veux bien t'habiller ? Aujourd'hui je t'amène, je... n'ai plus d'essence donc je pourrais t'emprunter ta voiture ?

- Oui bien sûr, je lui avais simplement répondue, elle avait cette égo surdimensionnés qui l'empêchait d'accepter que je pouvais subvenir à ses besoin mieux qu'elle même, mais une seule réflection et ça aurait pu partir en guerre de trois mois alors je préférais fermer mon clapet.

Je m'étais lever et m'étais diriger directement vers ma salle de bain afin de me laver. Après m'être décrasser le corps c'était enfin le moment d'enfiler le nouvel uniforme que le patron avait mis en place.

Je préférais mes jeans et mes joggings, mais de toute façon j'ai toujours eu l'habitude avec les tailleurs et les talons, depuis mon embauche dans ce centre psychiatrique.
Donc celui ci qui était bleu marine me convenait parfaitement. Apparemment il était mieux pour tout les employés d'avoir des habits similaires pour je cite : "en aucun cas troubler les patients".

Arrivé en bas, je voyais le regard triste de ma mère, qu'il y avait t-il ?

- Tu vas bien ?

- Je me demandais juste si tu allais te décider à quitter le nid ? Tu as vingt-trois ans ma chérie.

- Dis moi si je te gêne, lui répondis-je en sortant de la maison.

- Non, mais ça ne te viens jamais à la tête de fondé une famille ? réplique-t-elle en me suivant de près.

- Je suis encore jeune.

S with my psychotic patient || H.SOù les histoires vivent. Découvrez maintenant