Que le spectacle commence !

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Salut, j'allais quand même pas couper en deux le chapitre précédent sans quand même mettre un nouveau chapitre !

Je ne sais pas du tout quoi dire vu que j'ai galéré à couper le chapitre précédent en deux, ça allait même jusqu'à retourner en arrière et je devais recommencer.

Âmes sensibles s'abstenir, ça reprend !

Autrement, bonne lecture !

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Je suis seule dans les couloirs, j'ai cherché au premier et j'ai décidé de monter au second. Je continue de chercher et de guetter, quand j'aperçois un mec, pas déguisé, devant les escaliers, derrière je reconnais Ash, et je reconnais la voix de Polly qui dit : « Tu cherches une blonde pour la tuer ? Elle est là, devant toi.

- Ne joue pas les idiotes !, proteste le mec

- Polly, c'est inutile, lui dit mon père, tu risques de le provoquer.

- Et puis, moi aussi j'ai horreur des clichés sur les blondes, poursuit Polly. Même Ms Palmer ici présente ne doit pas apprécier cela. C'est vrai, on dit souvent que les blondes sont connes, n'ont pas de cerveau, se blessent facilement, ne savent pas se battre et surtout dans les films d'horreur, c'est qui la première victime du tueur qui lui court après ? C'est une blonde ! Moi ça me donne envie de vomir.

- Il n'y a pas seulement les blondes, intervient Doug, même les noirs crèvent ! Je trouve ça raciste ! C'est comme La Maison de Cire !

- On est dans la réalité, continue Polly, alors ça suffit le cliché. Soit disant les blondes ont peur de mourir, mais pas moi, je l'ai déjà frôlé, alors si tu veux tuer ma meilleure amie, passe-moi d'abord sur le corps.

- Tu es consciente de ce qui va lui arriver ?, l'interroge l'un des complices. Cette pétasse peureuse et faible va souffrir longuement. »

Je jette un regard noir, je suis bien tentée de lui faire peur rien qu'en marchant lentement, très discrètement, mais je vais adorer la violence, j'aime quand ça fait mal. Je me mutile encore avant de lécher le poignet un peu ensanglanté une fois de plus. Polly crie : « Vas-y, tue-moi ! Qu'est-ce que t'attends ?! Que l'un de nous réagisse ?! »

Je le vois sortir son arme, et je décide de courir, juste quand il tire, je saute sur lui en criant et on tombe dans les escaliers. Je me trouve sur lui et je lui demande ironique : « Tu sais ce qu'elle te dit la pétasse peureuse et faible ?! »

Je l'empêche de bouger, lui donnant un bon coup de tête, et je repense à tout ce qui s'est passé dans la journée. J'ai failli y passer... J'ai envie de le tuer, qu'il crève !

Je mets mes mains autour de son cou et je l'étrangle, il faut qu'il sache ce que ça fait de se faire étrangler et d'être prêt à crever.

Je ne dis rien, mais je suis concentrée que sur sa face, je le vois en train d'essayer de se débattre, et ça me réjouit, je n'aurai pas aimé quelqu'un qui se laisse faire. On me fera des reproches, mais ça m'est égal, ce sale enfoiré le mérite ! Il enfonce un de ses pouces dans mon œil gauche avant de me projeter en arrière, ce qui fait que je me cogne contre un mur et que je me trouve dans les marches. Heureusement, mon œil n'a rien.

Mon père arrive et m'interroge : « Ça va ma puce ? »

En réponse, je crache du sang. Je savais bien que d'un claquement des doigts, ça serait pas terminé. Je ne ressens aucune blessure, je me sens parfaitement bien. Attendons ce soir et ça sera fini. Je suis sur le point de me prendre un coup de couteau, mais je l'attrape au dernier moment, le bout de la lame est à moins d'un centimètre du front, la lame se trouve entre mon index et mon majeur de la main droite. Je l'envoie sur le côté et je me lève comme si de rien n'était. Je lui lance : « Enfin, tu te défends ! Ça aurait été dommage ! Mais je vais te mettre la raclée du siècle ! »

Vérité VengeresseWhere stories live. Discover now