XV

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Assise à mon siège je tente de me concentré sur ce que dit le professeur mais en vain.

Je change de position une énième fois, décroise mes jambes pour les recroiser la seconde suivante avant de me dandinait sur mon siège attirant le regard curieux du professeur sur ma personne. Je baisse la tête sur ma feuille ou mes paragraphe sont plein de trou et n'ont ni queue ni tête. Je me retiens de soupirer et fini par souffler pour essayer de me vider l'esprit et me concentrer une bonne fois pour toute sur le cours.

Je relève la tête vers le tableau et note tous ce qu'il y a en espérant compléter mes notes. Mais rapidement mes souvenirs revienne au galop et un sourire vainqueur prend place sur mes lèvres. J'ai réussi à obtenir ce que je voulais de lui, voir que j'avais un certain contrôle sur lui et la chose énorme qui lui serre de... enfin vous voyez. Et en bonus le laisser frustré avec une érection dur comme fer et à poil. Ont tiens vraiment les hommes par la bite. Cette partie de leur corps est vraiment leur point faible en toute circonstance... presque toute.

Mais ce que je n'avais pas prévue... je gigote sur ma chaise et décroise les jambes, les écartant légèrement. La sensation de mon entre-jambe trempé et nu est fortement désagréable. Je grimace lorsque l'air s'immisce sous ma jupe pour venir frapper mon humidité. Je serre de nouveau les cuisses et les frottes l'une contre l'autre. Je paye le prix de mon petit jeu, pour la première fois de toute ma pitoyable vie, je suis frustrée sexuellement. J'ai été surprise lorsque j'ai commencé à me frotter à lui, je pensé que j'aurais ressentis la même chose qu'avec les autres client mais au contraire, la première impulsion m'a envoyé une décharge électrique de plaisir dans tous le corps. Je n'étais pas dégoûté au contraire j'ai pris plaisir et j'y suis même aller plus fort. Pendant un certain laps de temps j'ai perdu mon objectif de vu et succombé au désir charnel qui jusque là n'avait jamais fais surface. Mais lorsque j'ai sentis sa bouche embrasser mon décolleté, ses mains fermement ancré à mes hanches et l'envie terrible de lui arracher son boxer pour aller plus loin, beaucoup trop loin. La lucidité à repris le contrôle, j'étais entrain de faire quelque chose que je trouve répugnant avec un putain de bourgeois, je m'étais promis de ne jamais faire ce genre de chose avec lui ou n'importe quel homme. J'ai donc fais ce que j'avais à faire et je suis de nouveau rentré dans mon rôle. Je lui ai fais faire ce que je voulais, me suis rhabiller et suis sortis en le laissant en plan. Ce fut jubilatoire de voir sa tête lorsque je me suis redresser et que j'ai quitté le placard.

Serte, je suis partis frustré, mon clitoris palpitant douloureusement tout comme mon sexe se contractant autour du vide continuant de s'humecter. Mais je n'aurais pas à l'attendre ce soir pour faire je ne sais quoi. De plus ça m'a permit de constater que j'ai de l'effet sur lui, même habillé de vêtement sage ou vieillot. Je passe une main distraite sur le col de ma chemise que j'ai légèrement ouvert à cause de la chaleur que je ressens.

"Mademoiselle Henry !" Une main claque sur mon bureau me faisant sursauter, je relève vivement les yeux vers le professeur qui me fait face. "Mon cours ne vous intéresse pas ?" Me demande t-il ses yeux vagabondant vers mon décolleté un bref instant avant de remonter vers mon visage.

Rapidement je remonte mes lunettes avant de poser mes mains sur la table et m'excuse pour mon manque d'attention.

"Je vous pris de vous concentrez ! Ce sont des éléments important."

Je me retiens de levé les yeux au ciel, pour ce prof tous son cours est important alors que la bonne moitié ne sert à rien, juste imager ses propos. Éducation civique, pas le cours le plus important, de plus ce n'est qu'une option.

Il jette un dernier coup d'œil à mon décolleté, arrange sa cravate et retourne au tableau.

Pervers en plus de ça. Je soupire, me force à suivre son cours en essayant de faire fi de la sensation entre mes jambes. Je tente de rejeter mes souvenirs encore frais pour me concentrer et surtout me calmer. Ce n'est que la deuxième période et j'ai déjà envie de rentrer chez moi.

Baby GWhere stories live. Discover now