COMMENTAIRE w/KYLIAN MBAPPÉ

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pdv lexa gray.

19 octobre
20h13

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Wilfried (père de kylian.) : Tu penses qu'on devrait lui acheter quoi ?

Moi : Grave des choses utiles, genre j'lui ai acheté une crème la dernière fois et j'vous jure il l'utilise et il a les mains beaucoup plus douces. Je souris.

Wilfried : J'pense que pour son vingtième anniversaire, une crème pour les mains ça ne sera plus suffisant. Il rigole.

Moi : Et pourquoi pas, j'vous dis que c'est toujours les petites choses de rien du tout, qui font plaisirs.

J'suis actuellement chez Kylian, on devait discuter donc je suis venue chez lui, mais il est pas là et ne reviendra pas avant 21h, du coup je tape la conversation avec son père sur ce qu'on pourrait lui acheter pour son anniversaire, même si c'est dans longtemps, son père aime bien préparer tout à l'avance.

Wilfried : Tu as totalement raison !

Oui je sais, orh.

Moi : Puis il nous a nous, il a pas besoin d'autres cadeaux, vous inquiétez pas pour lui.

Wilfried: Ahahaha, tu es drôle toi. Je comprends pourquoi Kylian t'aimes bien et parle tout l'temps de toi.

J'ai dit quoi de drôle ? Alalala, la logique des parents, c'est un mystère. Par contre j'adore quand les darons sortent les dossiers comme ça, c'est drôle.

Moi : L'humour fait partie de mes nombreuses qualités, Kylian a dû sûrement vous le dire.

Wilfried : Non, il ne m'a jamais rien a dit à propos de ça.

Moi : Ah.

Wilfried : Il a dû sûrement oublié.

Moi : Ça c'est sur, qui l'a oublié.

Kylian : PAPA, J'SUIS RENTRÉ, J'AI PRIT DES PIZZAS POUR CE SOIR...

Wilfried : Bon fils ça...

La porte claque et Kylian rentre dans le salon.

Moi : Kylian...

Kylian : On va parlé ? Il croque un bout de sa pizza.

Je me lève et me dirige vers lui. J'hoche la tête et nous montons dans sa chambre.

Moi : Que veux-tu me dire ?

Kylian : C'est toi qui voulait me parler non ? Je t'écoute.

Moi : T'as rien à dire, toi ?

Kylian : Pas que je sache.

Moi : C'est ça le problème avec toi, t'assume jamais rien en vrai. Sur Instagram, ça fait le mec j'assume tout, mais quand j'suis devant toi, où sont passés tes couilles ?

Kylian : T'sais quoi j'suis fatigué, j'viens de rentrer de l'entraînement, j'ai pas spécialement envie que tu me prennes la tête maintenant pour d'la merde en plus.

Je rigole nerveusement.

Moi : Ok. Je prends mon sac que j'avais posé sur son lit plus tôt et me dirige vers la porte de sa chambre.

Kylian : T'es vraiment difficile toi, j'ai juré. Tu rends fou.

Il s'approche de moi et prend mon bras afin que je ne quitte pas sa chambre. Il tourne ma tête en sa direction et nos regards se croisent. Nous sommes de plus en plus proches. Un replay de la scène d'y il y a deux jours, j'ai encore du mal à la vivre, surtout si elle ne mène à rien.

Moi : J'suis difficile de rien du tout...

Kylian : Ferme la !

Il plaque ses lèvres contre les miennes si vite que je n'ai pas le temps de répliquer à sa phrase, je ne bouge plus et me pétrifie sur place mais je me détends petit à petit quand nos langues s'entremêlent et que le baiser devient de plus en plus intense. Je réponds à son baiser et nous nous séparons à bout de souffle.

Kylian : C'était pas si dur, tu vois. Il sourit et embrasse encore une fois mes lèvres chastement.

Moi : Tu m'soules, sombre idiot.

Kylian : Je viens de te faire vivre une scène digne d'un film américain et j'te soule, va comprendre ta logique.

Moi : Y'a encore beaucoup à améliorer pour que ton baiser soit digne d'un film américain chéri.

Kylian : J'ai l'temps de m'entraîner avec toi, t'inquiète pas. Il me fait un clin d'œil.

Je me décale de lui et m'assoupis sur son lit.

Moi : Tu es ridicule. Il s'allonge à son tour sur le lit.

Kylian : A quoi tu sers sérieusement à part courir derrière un ballon ?

Moi : À quoi tu sers sérieusement à part pourrir toutes mes publications ? Fanatique. Je rigole.

Kylian : On est ridicules, quand même.

Moi : Pourquoi tu me mets dans le même panier que toi, y'a que toi, qu'est ridicule, igo.

Kylian : La plus ridicule c'est toi, tu m'insultait et maintenant t'es dans mon lit.

Je mets ma tête dans son cou et ferme mes yeux.

Moi : Ferme la, t'es mieux la bouche fermait.

Kylian enroule ses bras autour de ma taille et embrasse mon épaule.

Kylian : Bonne nuit beuretta.

Moi : Bonne nuit Lutin.