Rouge

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Je me mis à tourner en rond, stoppa net lorsque j'eu un atroce mal de tête qui me fit agenouiller au sol. Je touchais mon front chaud et commença à suffoquer, je sentais qu'on me soulever du sol, c'était Wayne.

Red : « C'est ....une ...hallucination ?

Wayne : « Non, c'est bien moi.

Red : « Laisse-moi, .....si je pars, Felicity....

Wayne : « Elle ne risque rien, je te le promets. »

Il m'embrassa et me porta jusqu'à la batmobile, dans laquelle je m'assoupie.

En me réveillant, je titubais comme si j'étais saoule, alors que je n'avais jamais bus une goutte d'alcool ! J'eu du mal à ouvrir la porte de la chambre au début, puis j'errais dans le couloir, cet endroit ne m'étais pas familier, je me mis à genou et posa ma main droite sur le mur pour respirer et réfléchir.

J'entendis des pas, je me levais d'un coup et me mis face à la personne, cela me donna un léger tournis il me fallut du temps pour voir qu'il s'agissait de Felicity.

Red : « Felicity ? (Je la pris dans mes bras, ce qui me surpris et je la lâchais) Tu es en vie.

Felicity : « (émue) Je vais bien Red, c'est grâce à toi merci.

Red : « Moi ? Je n'ai rien fait, j'étais enfermé dans la salle, c'est Wayne qui nous a sauvé.

Felicity : « Pas tout à fait. Quand ils m'ont emmené, ils m'ont demandé de créer une sorte de vaccin, c'était un mélange de sang et de produits, lorsque je me suis exécuté, le sorcier et l'Ombre ont eu une dispute à propos de toi

Red : « Je ne comprends pas.

Felicity : « Le sorcier c'est absenté un moment, il est revenu apeuré et affaibli et à dit que tu en étais la cause, ils ont disparu dans un nuage de fumée. J'en ai profité pour appeler Oliver

Red : « Je ne lui ai rien fait. Le vaccin c'était pour quoi ?

Felicity : « Je ne sais pas, mais ça n'est rien de bon.

Red : « Pourquoi est-ce que je me sens encore faible ? Et où est-on ?

Felicity : « On est dans le manoir des Queen, concernant ta faiblesse, je ne sais pas. Ça aurait dû se dissiper. »

Elle m'aida à descendre les marches pour se rendre dans la cuisine et grignoter un peu. Je me mis à éternuer et à tousser, en faisant le tour de la cuisine, je vis des roses rouges et sortit dans le jardin pour respirer, mais manque de chance il y avait des roses partout.

Je courus à l'intérieur de la maison pour en sortir, Felicity m'y suivit.

Felicity : « Red ça va ?

Red : « Désolée, je n'aime pas les roses, en particulier les roses rouges. J'ai besoin de marcher.

Felicity : « Je...

Red : « Ne t'en fait pas, je ne vais pas m'enfuir. »

Je me mis à errer un peu autour de la maison, en évitant les jardins. Sans m'en rendre compte je jouais avec la bague d'Harley, ma mère et essaya de l'imaginer jeune, avant sa rencontre avec le Joker. Cela me fis rire, je l'imaginais en gentille jeune blonde, jouant avec ses deux couettes, puis se rebeller à l'adolescence avant de reprendre ses études et de devenir psychiatre à l'asile d'Arkham et de finalement tomber amoureuse à plusieurs reprises du Joker.

Je me demandais avant, pourquoi lui, mais avoir passé quelques temps avec lui, je pouvais comprendre sa fascination. Le Joker est impulsif, charmeur et manipulateur. Il avait réussi quelques fois à me faire croire que qu'il tenait à moi, que j'étais sa parfaite créature. C'est drôle d'y repenser, je finis par m'arrêter et me regarda dans la vitrine d'un des magasins, je me fis deux couettes et entra dans le magasin et m'acheta le journal et une boisson gazeuse.

Je me posais dans l'un des bancs de la ville et commença à feuilleter, au vue de la date, cela faisait plus d'un mois que j'étais avec le Sorcier, je ne pensais pas qu'autant de semaines s'était écoulées. Un des articles attira mon intention, le musée de Pennsylvanie avait été cambriolé, il ne manquait qu'un ancien parchemin datant du XVème siècle. Je soupçonnais le Sorcier d'en être le prédicateur, il me fallait trouver la dague avant lui.

J'emprunter le portable de la personne à côté de moi pour envoyer un message à Felicity, la prévenant de mon voyage jusque chez moi à Gotham. Je rendis le téléphone à mon voisin, ce dernier me fixai du regard, il avait l'air effrayé et à la fois curieux.

Red : « Merci pour le téléphone.

Voisin : « C'est vos vrais cheveux ?

Red : « Oui.

Voisin : « Trop cool. »

Cela me fit sourire, je me rendis chez un bookmaker, n'ayant pas assez pour payer un billet d'avion, je vendis ma montre, une Rolex et mes boucles de diamants que je m'étais achetais avec mon premier salaire, j'en profitais pour m'acheter un nouveau téléphone et me rendis à l'aéroport.

Red NobodyWhere stories live. Discover now