Chapitre 25: Jace...

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Jace me conduit jusqu'à ma maison et je monte directement dans ma chambre, en courant. Je fond en larme et je me punis de l'intérieur. Mon copain est Logan, mais mon coeur me dit que je trompe Jace.

Une personne cogne à ma porte, j'ouvre et c'est Jace. Je le laisse entrer en fermant la porte derrière lui.

Il me plaque au murs en avança vers moi, tout ça sans m'embrasser. Sa respiration était rapide et irrégulière.

«-Redis-le.
-Redire quoi?
-Que je suis déjà plus que Logan.»

Je le regarde sans rien dire. Dire ça serait tellement méchant, mais vrai. Il était tellement plus.

-Tu es déjà plus que Logan, tu es tellement plus que lui...

Il emprisonne mon visage entre ses mains et il dépose délicatement, mais avec sauvagesse ses lèvres sur les miennes. Je répond à son baisers et il s'est rapidement transformé en baisers passionné. Un baissé qui effaçait tranquillement tous nos moment perdu à seulement chercher à nier cette passion.

Je n'étais pas du genre à croire au coup de foudre, ni à toutes les histoires d'amour à la Nicholas Sparks, mais avec Jace, il y avait de la magie, des étincelles et des feux d'artifice dans ma tête et dans mon cœur.

Il finit par mettre fin à ce délice et il colle nos fronts ensemble. Il tente de reprendre le contrôle de sa respiration, mais il commença à rire d'un coeur léger, je n'ai pas été capable de me retenir à mon tour.

«-Si seulement tu savais depuis combien de temps que j'attendais ce moment, me chuchota-t-il en replaçant une mèche de mes cheveux derrière mon oreille.
-Je suis curieuse.
-Quand tu as plongée ton regard dans les miens pour la première fois.
-Raconte-moi.
-La journée d'avant, tu t'étais effondrée devant moi et même di je ne savais pas qui tu était, je me sentais détruit parce que je savais pourquoi tes larmes coulaient et je trouvais ça inhumain. Le lendemain, tu as ouvert la porte et ton regard, tes grand yeux ont été comme un coup de point dans le ventre. Je ne saurais pas l'expliquer, mais je suis tombé amoureux de toi en deux jours. Tes yeux hantaient mes rêves et quand tu as dormit dans mon lit, seigneur, j'étais le garçon le plus heureux de la planète...»

Je regarde l'heure tardive et je lui demande s'il veux aller dormir. Il me sourit et me dit qu'il serait imprudent de le faire.

Je le regarde sans rien dire et je sors de ma chambre et me dirige vers la chambre de ma mère qui lisait sur son lit avec ses lunettes sur le nez.

«-Maman, je peux dormir chez Betty?
-Bien sûr, mais tu as cours demain, tu as déjà perdu beaucoup de cours et tu le sais que les rattraper ne sera pas de tout repos?
-Oui, maman, merci.»

Je sors de sa chambre le sourire au lèvres et je regarde Jace qui m'avais suivit.

«-Apportes-moi chez Betty, s'il te plaît...
-D'accord.» Me dit-il lentement en plissant des yeux ne sachant pas trop quoi penser.

Je prends un pyjama, mon sac d'école ainsi que des vêtements pour demain.

Rentrés dans la voiture, je lui dis d'aller chez lui. Il me regarde d'une manière qui en disait long sur son incompréhension.

«-Tu croyais vraiment que ma mère aurait dit oui pour dormir avec mon garde du corps dans son lit?
-Non.»

Il sourit et il comprend. J'avais presque oublié que Jace était aussi lent que les gars de mon lycée parce qu'après tout, il a leurs âges!

Il m'apporte chez lui avec un sourire collé au visage. Comme il était beau. Comme j'avais envie de l'embrasser. Comme je l'aimais.

Face à cette réflection, je me sentis rougir. Dire que je l'aimais sonnait bien dans ma tête, mais il m'était interdit de l'aimer. Je ne pouvais pas l'aimer.

Il se stationne dans sa court et il s'empresse d'ouvrir la porte et se dirige vers moi. Il m'ouvre la porte et il me chasse de l'intérieur de la voiture. Tendis que je m'efforcer de reprendre mon équilibre, il plaque ses lèvres sur les miennes.

«-Ici, tu es a moi.
-Je n'ai jamais été à personne...
-Tu es à moi.»

L'entendre redire cette phrase m'a donné des frissons. Je dépose mes lèvres sur les siennes et il passe sa main dans mes cheveux. Il tire dessus tellement fort que ma tête a été tirée vers l'arrière. Ses lèvres monopolisaient maintenant mon cou, mais ses lèvres étaient exactement là où mon violeur les avaient mis et personne depuis l'avait fait. Mon coeur battait vraiment vite et ma respiration se faisait rapide et creuse.

Il remarque ma réaction et arrête ce qu'il faisait. Je n'ai pas été capable de retenir mes larmes. Je m'effondre sur le sol, dos à la voiture.

Jace met ses mains sur mes genoux et son font collé au mien.

«-Je sais que cet homme horrible t'a enlevé quelque chose de précieux; la confiance. Pourtant, ce n'est pas parce qu'il t'a fait ce qu'il a fait que tous les autres hommes sont comme ça, tu peux me faire confiance...
-Tu crois que je ne te fais pas confiance? lui aboyais-je en me levant. Ce n'est pas parce que je n'ai pas confiance en toi que je pleure, c'est juste parce que chaque fois qu'une personne me touche, je pense à lui. Je suis capable de me raisonner pour les petites choses, mais là, j'ai encore l'impression qu'il me... qu'il me... je suis désolé, Jace, j'ai besoin de temps...
-Je comprend.»

Il me prend dans ses bras le temps que je sèche mes larmes. Il m'embrasse sur le front et me chuchote qu'il allait attendre.

My bodyguard Where stories live. Discover now