Partie II Chapitre IV

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Mr Cappria avait une maison magnifique. Un grand manoir au bord de la méditeranée dans l'adriatique. J'était logé dans une chambre de luxe, comme un roi. Toute une famille mafieuse vivait ici: son majeur d'homme, cinq de ses enfant, même des trafficants en escale qui repartaient souvent vers l'afrique par le port juste en bas de la colline. J'était dans ma chambre, contemplant la mer en rédigeant mon journal que j'avait décidé d'écrire. Pour laisser une trace dans ce monde au bord de l'explosion. Je n'était jamais venu en Italie. Je n'était jamais sorti de la France. Et rarement d'Aldebaren d'ailleurs. Un homme frappa, je l'invita à entrer:

"Mr Cappria désirerait vous rencontrer. Rejoignez le au salon."

Je descendit parcourant les couloir de ce palais magnfique dont je me lasserait jamais. Dans le salon, sur le canapé était assis Mr Cappria. Un homme d'une quarentaine d'année, moustachu, souriant. Je lui serra la main et m'assis. 

"Kim Bradley. Qu'est-ce que ça fait longtemps que je voulais vous voir. Mon nom est Juan Cappria mon surnom c'est La mano nergre. Leader de la mafia Sicilienne. Et leader du pays. 

- Vous n'avez pas de gouvernement?

- Sans nous, le gouvernement n'est rien. Bref, j'ai entendu parler de ce que vous avez fait. De ce que vous voulez faire.

- Renverser la mafia du Nord. Faire la révolution. Evidemment, si vous m'aidez - J'alluma une cigarette - nous pourrons faire un traffic du sud au nord de l'Europe. Etant donné que je serait à la tête de la mafia la plus puissante du monde, nous pourrons aller loin. Bien plus loin qu'une simple histoire de gang.

- Bien sûr. Cependant Mr Bradley, je vous apprécie, mais je ne peux pas acquiescer au premier venu. Alors je te propose un marché. On va aller faire exploser un bastion dans une ville de la mafia Napolitaine. Tu nous aide, je t'aide. Et pour commencer tiens."

Il me tendit un sac pleine de poudre brune. 

"C'est....

- On m'a dit que vous étiez plutôt fan d'héro. Ca vient d'inde. C'est la plus cher et la meilleure que j'ai. Si jamais vous avez besoin d'un moment de réflexion je vous laisse jusqu'à deux jours. Et on attaque dans trois. 

- J'accepte.

- Alors bienvenue dans la famille. Fait comme chez toi ici."

Je lui serra la main et il se retira. C'était un des gars les plus souriant et amical que je connaisse. Il avait un très fort accent Italien, je n'arrivait pas à comprendre certains mots par moments. Mon rêve allait devenir réalité. Je le savait.

C'était ma troisième cuite de la journée. Ma cinquantième clope, mon vingtième shot, ma cinquième trace, mon quinzième joint et ma quatrième piqûre. J'était dans les toilettes du bar du frère de Mr Cappria. Une boîte de Jazz et de Blues, où l'ambiance de 20h était calme et mondaine entre gentleman à costar, et dégénerait à partir de une heure du matin, où certains sous influance d'alcool commençait à ne plus savoir ce qu'ils faisaient. Une fois le contenu de la seringue vidé dans mon sang je tenta de sortir des toilettes titubant. Je vomis dans un évier avant de sortir. Il était trois heures du matin. John me vit dans un sale état. Soudain dans la foule qui me bousculait, j'eu une pensée pour Fred. Encore vivant... Mais où? John m'attrapa le bras:

"T'es dans le mal toi?

- Nan, jsuis... Dans le bien... Grâce à l'héro de lautre... enfin je sais plus comment il s'appelle...

- C'est de la merde ce truc. Pourquoi tu fais ça? Rien ne vaut un joint de marie jeanne."

A ses mots, sous l'influence de toutes les substance possibles et imaginables je pris de la poudre brune dans ma main et la souffla vers John.

AldebarenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant