Chapitre 14 LEMON

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Je tiens à prévenir, âmes sensibles s'abstenir XD Ce fut un chapitre ULTRA MEGA GENANT à écrire pour moi sachant que j'ai pas l'habitude de rédiger ce genre de truc mais j'espère tout de même que ce n'est pas trop mauvais....

Ce chapitre est LOIN d'être décisif et obligatoire pour la suite de l'histoire donc vous pouvez tout simplement le sauter.

C'est donc le lemon qui a lieu entre Léna et GD ; Donc le Gna XD

Bonne lecture aux petites perverses !

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Il claqua la porte derrière lui à l'aide son pied avant de me plaquer contre le mur à notre droite. Il se réattaqua à mes lèvres, suçotant ma lèvre inférieur et la mordillant légèrement. Il colle de plus en plus son bassin contre le mien, passant doucement ses mains sous mon tee-shirt, dans mon dos. Il quitta peu à peu mes lèvres pendant l'espace de quelques secondes pour me souffler quelques mots.

- Je HIC... t'aime Léna...et je t'assure que je dis pas ça parce que je suis torché...

Il plongea son regard rempli de plaisir dans le mien avant d'enfouir sa tête dans mon cou et de souffler sur ma peau, ce qui a pour effet de me faire frissonner. Il me reprend doucement par les cuisses avant de me déposer tout aussi doucement sur le lit. Il me couvrit le visage de baisers chaud et désireux passant de mon nez, à mes joues ainsi qu'à mon front puis évidemment à mes lèvres. Ses mains remontèrent doucement, commençant à soulever mon haut qui ne tarda pas à se retrouver par terre.

- Tu es HIC....magnifique...Tu sais ça ?

Je rougis doucement avant de me redresser légèrement, posant mes lèvres sur une de ses clavicules apparente du à son tee-shirt trop ample. Ses mains glissèrent sur mon ventre et ses doigt firent de petit cercle autour de mon nombril alors que j'inversais les positions, me retrouvant au dessus de lui. Je sentis son entre-jambe contre la mienne qui grossissait peu à peu. Son tee-shirt vint rapidement rejoindre le mien au sol tandis que je m'attaquer à ses boutons de chair. Il soupira de plaisir et passa à nouveau ses mains dans mon dos. Ses doigt experts remontèrent tout au long de ma colonne vertébrale me faisant frémir, et arrivèrent à la limite de mon soutien-gorge. Mes mains retracèrent ses abdos alors qu'il dégrafa mon soutif d'un geste. Il me poussa doucement, ôtant mon sous vêtement et ses lèvres se posèrent sur ma poitrine, maintenant à découvert. Je ne pus retenir quelques gémissements qui le firent rire. Il remonta ses lèvres une nouvelle fois dans mon cou et vint marquer ma peau de suçons surement violacés. Je ne sais pas vraiment si c'est l'excitation, la chaleur de la pièce ou encore les effets de l'alcool mais je me surpris à être entreprenante et à ôter la boucle de sa ceinture, déboutonnant le bouton de son jean et en descendant la fermeture. Ses mains arrivèrent, elles aussi ,à la limite de mon bas qu'il enleva en un coup et sans demander son reste. Il descendit sa bouche et vint faire des baisers papillons vers l'intérieur de mes cuisse tandis que ses doigt jouaient avec l'élastique de mon dernier vêtement. Il enleva finalement mon sous vêtement avec tendresse. J'ai de plus en plus chaud, j'ai beaucoup trop chaud. Je sentis une sensation horriblement agréable dans mon bas ventre qui me fit gémir de plaisir incontrolablement. Je passais mes mains dans ses cheveux en bataille tandis que son muscle rose jouait avec mon intimité. Je ne pourrais même pas décrire cette sensation tellement elle est plaisante...Il continua encore un petit moment ne se lassant pas de mes gémissement qu'il qualifia de "bandant". Avant de se redresser et de donner à nouveau quelques coup de bassin en venant capturer mes lèvres pour la millième fois.

Je jouais à mon tour avec l'élastique de son boxer, prenant soin de frôler ou même toucher son membre le faisant languir d'avantage. Il gémissait alors que je caressait la bosse qui avait eu le temps de se former. Nos souffles se mélangeaient déjà alors que les "choses sérieuses" n'avaient même pas encore commencé. Il se redressa finalement, enlevant ses dernières couches de vêtement qui avaient l'air de le déranger, laissant apparaître son engin, droit comme un soldat. Nous nous retrouvâmes, peau contre peau, une légère couche de sueur sur celles ci du à la chaleur ambiante de la pièces, à onduler nos bassins dans un rythme régulier, et soupirant de plaisir à chaque allers et venus de l'autre. Je sentis un de ses doigts entrer en moi ce qui me vola un hoquet de surprise. Je ne ressentis rien et commençais à prendre la confiance avant qu'il n'en mette un deuxième. Je souffrais instantanément et ne pus retenir des petites perles d'eau salées s'écouler sur mes joues. Il me regarda inquiet avant d'embrasser mes larmes et de se mettre à jouer avec mon point sensible pour me faire passer la douleur, ce qui marcha aisément. Je gémissais à nouveau, bougeant même aux rythme de ses doigt qui faisaient des mouvements de ciseaux en moi. Il inséra un dernier doigt en moi, m'arrachant un cri de douleur, étouffé par ses lèvres qui venaient de se poser sur les miennes. Après quelques minutes, je commençais réellement à en prendre plaisir, ce qu'il dut remarquer puisqu'il se retira de moi. Je laissais échapper un soupir de frustration tout en faisant la moue pour montrer ma déception et en lui donnant une petite tape sur le torse. Il pouffa de rire avant d'approcher ses lèvres de mon oreille, me soufflant quelques mots d'une voix luxueuse.

- Le meilleur reste à venir ma princesse...

Sans que je ne m'y attende, il se mit à mordiller mon lobe d'oreille, me faisant découvrir une de mes nouvelles zones érogènes tandis que son intimité se frottait contre la mienne. Il se saisit par la même occasion d'un préservatif sortant de je ne sais trop ou qu'il enfila en un simple coup de main comme ci il avait fait ça toute sa vie, voir pire, qu'il s'était entrainé. En un souffle, il commença à pénétrer lentement en moi s'assurant que je ne souffrais pas trop. La douleur était en effet encore plus insupportable qu'auparavant mais je luttais contre moi même me rappelant de ses paroles précédente. Une fois entré jusqu'à la garde, il me jeta un coup d'œil légèrement stressé et je le rassura d'un geste de main. Il attendit que je m'habitue à cette nouvelle présence imposante en moi avant de se mettre à  bouger doucement ses hanches, guettant ma réaction. Mon gémissement lui donna surement le feu vert puisqu'il commença ses coups de bassins, accélérant toujours un peu plus. Je ne me retins plus et hurla son nom de plaisir à de nombreuses reprises, tandis qu'il gémissait à gorge déployé de son côté également. Il donnait à présent des coup de butoir qui touchèrent mon point sensible à chaque fois. Je hurlais tellement fort que j'entendis les voisins taper sur le mur ce qui ne m'alerta pas plus que ça sur le moment. Je ne sais sincèrement pas comment les autres ont fait pour rester endormis dans la pièce d'à coté..... Dans un dernier coup de bassin puissant, j'atteins enfin le septième siècle dans un orgasme bruyant et exprimant tout mon plaisir. Il me suivit peu de temps après, jouissant et se déversant dans le préservatif. Il continua un peu ses coups de bassin afin de faire durer le plaisir avant de se retirer doucement de moi. Il s'allongea à mes côtés, encore haletante, et balança "l'arme du crime" dans la petite poubelle de la chambre. Il me fixa intensément avant de se mettre à sourire et de me tirer vers lui, m'encerclant de ses bras muscler.

- Je t'aime...

Je fermais les yeux, trouvant ma place au sein de ses bras plus qu'agréable. Je m'assoupis assez rapidement me laissant emporter dans les bras de Morphée tandis que je le sentais tirer la couverture sur nos deux corps d'une main tandis que l'autre se perdait dans mes cheveux.

Un glaçon peut fondre !Où les histoires vivent. Découvrez maintenant