L'HISTOIRE DE MUGLERINA ET D'ARTHUR VAN ERANAMM FEAR (1/??)

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—Oui, mon roi, je suis à vous.

Bon garçon, il était intelligent en plus d'être sage et mignon. Il était l'Oméga dont tous rêvaient et pourtant, il m'appartenait. S'il se détournait de sa voie, je le tuerai.

—C'est très bien, chiot.

Il était un petit chiot sans repères. J'étais le seul sur qui, il pouvait compter. J'étais son maître et je n'allais pas faire dans la délicatesse. Mais il était jeune, sûrement moins de vingt ans. Je voulais bien faire preuve d'indulgence de temps à autre.

—Viens à moi.

J'avais chauffé une lame préalable. Je comptais graver mes initiales sur son dos pour deux raisons pour qu'il les porte à vie.

Muglerina devait comprendre qu'il n'appartenait qu'à un seul homme et que ceci servait aussi de mise en garde envers tous ces chiens qui tenteraient de me le prendre.

Il se mit en position de soumission, une fois proche de moi. Je fis le tour ma proie, passant ma langue sur mes lèvres, me régalant de la vue que j'avais de lui, agenouillé.

Sa tunique étant lassée dans le dos, d'un coup de lame rapide, je vins déchirer les liens qui la tenait attachée. Aucune réaction de sa part, hormis un petit soubresaut.

—Tu as le droit de crier.

Une fois sa tunique ouverte, je la fis glisser sur son bassin pour dégager son dos et m'en débarrasser. Muglerina courba légèrement le dos, mais il n'était pas détendu. Il devait avoir un balais dans le cul, ce n'était pas possible autrement. j'allais devoir sérieusement m'occuper de son cas le rapidement parce que ça n'était pas séduisant du tout. Ma foi, il était la première vierge que j'allais me faire, il avait une place toute particulière sur mon tableau de chasse. Il était certainement ma plus précieuse des conquêtes.

— Ah !

Il se tendit en sentant la brulante lame marquer sa peau. Je comptais graver sur sa chair « A.V.E.F » puisque c'était une vielle tradition qui se transmettait de génération en génération. Il se tordait sous la douleur, criait et pleurait, me suppliant de mettre fin à son calvaire. Mais plus je prenais mon temps, plus je ressentais un plaisir malsain à le faire souffrir. Son sang coula sur son dos, contrastant avec sa peau si blanche. Ma langue ne put résister à ce mets divin et vint lécher sa peau. Son sang était terriblement chaud et goûteux. Si je ne me contrôlais pas, je le viderais certainement de son sang. Mais je retenais mes pulsions pour ne pas précipiter les choses, même si son petit cul blanc pouvait me faire perdre la tête. Je tirais cet enfant par les cheveux, le rapprochant de moi après avoir fini mon inscription. Il geint mais ne chercha pas à se débattre devant sa souffrance. Au contraire, Muglerina me prouvait sa force de volonté.

—Dis que tu es à moi, Muglerina.

Tout en larmes, il tourna sa tête pour me regarder dans les yeux. Il fit une terrible erreur que j'acceptais de pardonner.

— J-Je suis à vous, ô mon r-roi...

Ah, brave bête.

***

Depuis, je ne saurais dire combien de temps s'était écoulé depuis ce jour. Je poursuivais ma vie de roi, aux côtés de Muglerina. Je jouais avec lui, et ses réactions. Exprès, je n'allais pas jusqu'au bout pendant nos rapports mais je baisais d'autres Omégas.

Pourquoi restait-il à mes cotés ? Je ne méritais pas allégeance.

— Muglerina.
— Oui, mon roi ?

Chaque fois, Muglerina baissa ses yeux en face de moi. Les Omégas ne devaient jamais regarder un Alpha directement sans son approbation.  Je l'avais déjà battu physiquement lorsqu'il faisait des erreurs. Si beaucoup fantasmer sur un roi et une relation pleine d'amour et de richesse, la réalité était tout autre. Devenir l'amant d'un roi signifiait d'accepter de souffrir. Muglerina n'avait certainement pas une belle vie à mes cotés, mais il continuait à resté ici. Il ne devrait pas représenter grand-chose à mes yeux, mais mon esprit était perturbé par sa présence.

Néanmoins, son destin n'était pas si funeste que ça. Me servir était son quotidien. Il était un chiot à mes yeux, son comportement maladroit était aussi mignon qu'emmerdant. Il ne vivait que pour une seule chose, me satisfaire. Rien d'autre que mon confort ne devait compter à ses yeux. Et si l'envie de se détourner de ce chemin le prenait, il avait mes initiales gravées dans son dos. Encré dans sa chair pour l'éternité.

—Suce moi.

J'étais assis sur mon trône, les jambes écartées juste ce qui fallait pour lui laisser la place. L'un de mes bras restait accoudé sur le siège pendant que je le baisais des yeux. Je me voyais très bien le prendre sur ce fauteuil alors que personne d'autre s'y était installé depuis ma prise au pouvoir.

—Oui, mon roi.

Il était d'une obéissance déconcertante. Presque ennuyante. Si au départ, cela me plaisait, les choses étaient différentes à présent. Je me faisais presque chier dans cette relation. Mes amants étaient beaucoup plus drôles que lui. Muglerina était timide, discret et bien trop obéissant pour me divertir.

Pour l'heure, je le laissais se mettre à genoux. Si je restais de bonne humeur après cette fellation, alors je lui pardonnerait son parfait petit comportement. Dans le cas contraire, je l'enfermerais dans une cellule pendant des jours en guise de punition afin de ne pas le voir trainer dans mes pattes. Je me fichais qu'il soit vierge, si je n'étais pas satisfait alors ma sentence serait lourde.

—Si tu mets tes dents, je te rase la tête.

Je mentais. J'adorais son incroyable chevelure mais j'aimais le menacer. Jamais il ne m'avait été donné le privilège de rencontrer un jeune homme aussi beau que lui.

— Oui, mon roi.

Il ouvrit les pans de mon pantalon avant de passer sa langue sur ses lèvres. Se préparant à la suite. Mon sexe était naturellement gros et j'en étais plus que fier.

— ...

Muglerina me connaissait mieux que personne. Contrairement à mes amants qui ne savaient rien de moi. Je n'aimais pas attendre alors Muglerina ne perdit pas de temps. Mon jeune amant glissa ses fines lèvres le long de ma queue, prenant mon membre au fond de sa gorge. Son palais bouillant avait de quoi m'exciter. Sa langue entoura mon sexe qui en redemandait. Je grognais alors quand il se mit à entreprendre des mouvements. Ses joues se creusaient quand il remonta et descendit sur ma hampe veinée. La fellation était une chose que j'appréciais tout particulièrement. Il n'y avait pas plus belle preuve de soumission à mes yeux. Embrasser la bite d'un autre était purement et simplement dégoûtant de mon point de vue. Prendre la queue d'un amant m'était totalement impossible. Sucer un Oméga serait insulté mon rang de sang pur. Alors même si Muglerina avait une place un peu plus particulière, jamais je ne toucherai à sa queue.

Notre relation n'avait pas de mots. Mais à l'intérieur de lui, j'avais trouvé mon havre de paix.

Si ce gros chapitre bonus vous a plu, n'hésitez pas à voter. Dîtes moi en commentaire ce que vous en pensez et si vous avez aimé. J'espère que ce couple vous plait ^^

L'ALPHA SUPRÊME ET L'OMÉGA INSOUMIS Vol.1Where stories live. Discover now