Succombe moi

cauchemar, rêve ou réalité ?

Et voilà j'ai enfin écrit tout ça les gens je suis content j'ai réussi avec quelques recherches ! Musique en haut gasoline de halsey avec une traduction en français.

PDV Anthony :

   Ma tête est lourde c'est horrible, je sens mon corps plongé, lourd et engourdis dans un lit. On dirait que j'ai abusé hier. Je ne souviens pas tellement de tout en plus. J'ouvre les yeux doucement, la tête dans un coussin, avant de me retourner sur le côté, face à une table de nuit ou figurait encore un petit flacon sombre avec comme inscription un P en majuscule, le responsables de mon mal de tête. Je soupire, je l'ai vraiment fait ? Je sais pas si j'en suis content ou non... Enfin bon. Je me retourne une nouvelle fois cette fois ci vers la personne qui partage mon lit. Mes yeux se pose sur le visage aux trait fin et aux long cheveux châtains endormi juste à côté. Catherine. J'ai chaud au cœur en la regardant dormir paisiblement cependant je me lève quand même comptant bien trouver du Doliprane pour passer ce mal de tête. Je commence à marcher sentant mes muscles totalement raide à l'inverse total d'hier grâce à cette drogue sûrement les effets secondaires. La lumière est douce presque rouge et surealiste. Je quitte ma chambre pour aller dans la salle de bain comme souvent avant de descendre les marches Doliprane en mains. J'entre dans la cuisine, me sert un verre d'eau et prends de réflex la gélules.

- Anthony.

   Sors une voix nullement douce derrière moi.

- Mère ? Vous n'étiez pas censé être absente cette semaine.

- Si mais j'avais quelques choses à récupérer. Catherine est avec toi ?

- Oui mais elle dors encore.

- Je vois, j'aime bien cette filles elle elle fera quelque chose de sa vie, tu devrais prendre exemple sur elle et remonté tes notes au lieu de te croire spécifique et différents. Le travail c'est tout ce qui compte rentre toi ça dans le crâne.

- J'ai déjà de bonnes notes.

- Être bon ne suffit pas faut être excellent.

   En même temps que la voix froide de ma mère j'entends un bruit aiguë comme un bip bip à intervalles réguliers qui pourtant à l'aire de s'accélérer et la pièce et comme lointaine et de plus en plus sombre.

- Il se réveille.

- Augmenter là dose d'anesthésiant.

Prononce des voix nouvelle et tout s'assombrit pour ne laisser que quelques lumières percer un voile noir ou je me sens transporté et une nouvelle fois totalement engourdis et lourds avant de finalement fermer les yeux.

PDV Sam :

   Je me réveille dans une chambre blanche, affublé d'un bon brouillard, avant de comprendre et de réaliser que je suis à l'hôpital. Autour de moi tout est blanc et sans véritable odeurs si ce n'est celles des différents produits désinfectant et hygiénique utiliser ici. J'ai un affreux mal de tête et maheureusement je commence à me rappeler pourquoi je suis là. Anthony... J'ai dû m'evanuir, c'est pathétique franchement.

- Ça va Sam ?

   Je me tourne vers la voix et fixe un instant Daniel n'entendant réellement ses paroles qu'un long moment après.

- Anthony il est où ?

   Je demande directement et aux vu de son aire soucieux je comprends que ce que j'ai raté n'est vraiment pas bon. Ma respiration, mon cœur, mon esprit, s'emballent et je pense encore une fois au pire face à la situation.

- Au bloc opératoire, il baisse un instant les yeux attristé par cette réalité, Liam et Mélodie attendent de ses nouvelles.

- Je vais les rejoindre.

   Je réponds directement en me redressant du lit, arrêté par Daniel qui me recouche instantanément

- Non. Tu ne peux rien faire pour lui pour l'instant si ce n'est te reposer et être là à son réveil.

- Je ne vais pas rester là à me tourner les pouces quand même ?!

- Ne soit pas égoïste, Anthony aura besoin d'un homme au plus haut de ses moyens quand ils se reveillera et pas un homme qui ne puisse pas le soutenir.

   Je soupire le ventre serré, il a raison mais ne rien pouvoir faire me tue au plus au point.

- On sait ce qu'il a ?

- Un éclat lui a transpercer le ventre sans toucher d'organe vitaux il a eu une sacré chance mais ils doivent le retirer, à part ça ses autres blessures ne sont pas vraiment grave.

  Je soupire rassuré il va s'en sortir.

- D'accord. On sait ce qu'il s'est passé ?

- Il s'est pris une voiture. Le conducteur est décédé lui.

   J'ecarquille les yeux à l'annonce du résultat tragique, la pensée que ça aurait pu être Anthony me paralyse totalement à me couper le souffle, on a eu de la chance.

PDV Anthony :

   Ma tête est lourde c'est horrible. J'ouvre les yeux doucement pour fixer un plafond blanc, si blanc et si lumineux qu'il me brûle les yeux que je referme brusquement. Où je suis ? J'en sais rien mais l'odeur et désidements infects, lourde, et néfastes comme celle d'un hôpital où la propreté semble s'accorder avec la notion de mephitisme. J'ouvre de nouveau les yeux portant ma main qui me semble si lourde pour diminuer cette luminosité si intense.

- Qu'est ce qui...

   Ma voix se casse d'un coup, sèche et diminuer.

- Anthony tiens prend de l'eau avant.

  Je me redresse et prend de la main tendu, un verre d'eau. J'avale péniblement avant d'essayer d'ouvrir entièrement mes yeux plissé.

- Qu'est ce qui s'est passé ?

  Je demande à la silhouette à côté de moi.

- Tu te souviens de quoi ?

  Je regarde l'homme qui se tient près de moi, ses yeux bleus gris posé sur moi comme si j'étais précieux.

- Anthony ?

   Anthony ? Je réfléchis et ma tête m'harcelle de douleur comme si tout était bloqué, le noir total. Qu'est ce qu'il se passe ? Je n'entends qu'un gros fracas mais rien d'autre.

- Tu te souviens ?

- Je sais pas.

- Tu as eu un accident de voiture en rentrant de chez tes parents.

- Mes parents ?

- Euh... Anthony ? Tu te souviens de quoi ?

   Demande une nouvelle voix un peu moin grave mais tout aussi douce.

- Un grand bruit de métal.

   Je fixe l'homme aux cheveux bouclé qui m'inspire confiance.

- C'est tout ?

   Demande-t-il encore et j'hoche la tête.

- Je vais chercher le médecin.

-----------------------

J'espère que vous m'en voulez pas trop et que ça vous à plu gros bisous !