la compréhension d'Anthony

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Yo les gens 🙋 y a plusieurs​ changement de pdv dans cette partie ne vous faites pas avoir...

Et j'ai changé le titre ça colle mieux

En vidéo c'est "comme les autres" de Keen'V en nightcore avec les paroles

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- Enfaite Sam, dit pour la première fois Marc. Ta de la famille ?

- La question retiens mon attention car moi même je ne le lui ai jamais demandé. Trop occupé à le vouloir dans mon lit tout en luttant inconsciemment contre des stupide sentiments qui emergeait en moi.

- Oui j'en ai mais je ne les vois plus depuis, il marqua une pose et l'étincelle triste qui passa dans ses yeux grisé me fit mal à l'intérieur sans que je ne sache pourquoi, depuis qu'ils savent que je suis gay. Mes parents et mes frères sont vraiment homophobe.

- Je m'y attendais pas vraiment à ça... Et ça fait mal de savoir qu'il à était rejeté par sa famille. Ça m'énerve en faite. Enfin je sais pas trop quel sentiments prends le dessus mais je suis pas bien. Je comprendrais jamais comment des parents, comme les miens peuvent en arriver là. Juste parce que leurs fils préfère les queues et les mec. Pour un stupide truc d'orientation et ça ça me mets en rogne.

- Ah... Je suis désolé, mec. S'excusa Marc mal à l'aise.

- Aucun parent dois rejeté son enfant, que ce soit pour sont orientation, pour ses choix ou pour sa vie. On est pas leurs putain de copie parfaite des fois plus qu'eux qu'il aimerait pour je ne sais quelle raison. C'est... Putain j'ai besoin de prendre l'air.

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PDV Sam

- Je vois bien que Marc est mal à l'aise et regrette sa question mais je ne lui en veux pas. C'est juste une question banale et il ne pouvait pas savoir. Il pouvait pas savoir que ma famille est une belle bande d'enfoirés. Je sent la main d'Anthony qui se pose sur ma cuisse m'incitant à tourner les yeux vers lui. Son regard est bizarre, étrange, froid et en colère. J'ai l'impression que lui aussi a connu ça, mais ça colle pas à son image, à lui même. Il se lève dépose sa nièce à sa place et pris la parole.

- Je vais prendre l'air. Évite de trop torturé Sam, Mél.

- Et il parti les poings serré vers la porte, dans une touche d'humour qui sonne bien faux. J'hésite un instant avant de vouloir le poursuivre mais sa petite sœur m'en dissuade.

- Excuses le, ça l'énerve vraiment ce genre de choses.

- Je soupire et me rassoit sur le canapé. Pourquoi il réagit ainsi ? Je me pose vraiment la question maintenant. Lui qui habituellement n'est jamais énervé ou que très rarement. Qu'est que t'as Anthony ? Je sursaute lorsque la petite Allison viens me tiré de mes pensées en posant sa tête sur ma cuisses, sa petite main sur mon genoux. Peu habitué aux enfants j'hésite un instant avant de poser ma main et la rassurer en caressant ses cheveux blond. Petite perle qui s'inquiète pour son tonton. J'ose ainsi poser la question qui me broie l'estomac par la réponse que je pourrais avoir.

- Et vous je n'ai jamais vue vos parents ?

- C'est plutot compliqué de notre côté aussi, soupira sa sœur, tu devrais poser la question à Anthony quand vous serez seul à seul.

- D'accord.

- Mélissa me regarde avec sa fille qui s'est endormi sur moi dans un sourire qui fait chaud aux cœur.

- Tu es doué avec les enfants Sam.

- Je sais pas trop.

- C'est vrai je ne suis pas souvent en contact avec des enfants.

- En tout cas t'es doué avec Allison. Tu envisages des enfants plus tard ?

- Des enfants ? J'y ai jamais vraiment pensé. Je suis gay et même si il y a des alternatives, je sais pas trop. Mais être parents ne me déplairait pas je pense.

- J'aimerais bien, oui... peut être... Je sais pas trop...

- Anthony adore les enfants et vu l'effet que ta sur lui, elle me fait un clin d'œil avant de poursuivre, je pense que vous pourrez être de bon parents.

- Peut être un jour on en parlera ? Mais la ça risque plus de lui faire peur, non ? À moin que ce soit l'inverse ?

- Peut être bien...

- Laisse leurs du temps mon amour, ricana Marc, tu connais Anthony et leurs relations est toute nouvelle.

- Je fixe sa sœur, elle ressemble à son frère les mêmes yeux en plus clair et les mêmes cheveux brun. Son visage me fixe aussi prenant un aire sérieux, comme si elle voulait lire en moi.

- Dis moi Sam ? Tu aimes mon frère, hein... Tu ne joue pas avec lui ?

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Au même moment, PDV d'Anthony

- Je suis stupide je sais, j'aurais pas dû sortir mais j'étais vraiment en rogne. En rogne contre beaucoup de choses. J'avais besoin de me calmer. À chaque fois que ce genre de sujet est abordé, ça me fout mal. Et la colère et l'incompréhension prend le dessus. Contre tous ces enculés qui se disent parents, tant que leurs enfants leurs plaît. Contre ce maudit monde. Contre ses parents à lui et ses frères qui l'ont rejeté, alors qu'il est formidable. Contre mes propres parents qui permettent même plus ni à ma sœur ni à moi de remettre les pieds chez eux. Contre eux encore qui ne verront pas leurs petits enfants grandirent. Tout ça parce qu'il sont con et qu'ils veulent pas accepter. Ça fait chier, même si je les déteste, je sais que c'est pas pareil pour Mélissa et Allison. Elles ne méritent pas ça. Vraiment pas ça. Je sais que je suis pas parents, mais on ne traite pas ses enfants ainsi.
- L'aire froid sur mon visage me fait frissonner et je décide de rentrer avant de tomber malade. Je passe le pas de la porte et me fige sous la question qui vient d'être posé.

- Dis moi Sam ? Tu aimes mon frère, hein... Tu ne joue pas avec lui ?

- Oui, Sam semble réfléchir un instant avant de continuer, je l'ai même détesté pour ça, parce que lui voulais juste du sexe sans contrainte. Sa voix se fait amer.

- Je suis sous le choc. J'avais pas saisi ça, et je m'en veux. Il est allé jusqu'à me détester pour les sentiments qu'il me porte ? Parce que moi je faisais l'insensible à le chauffer pour l'avoir dans mon lit. Enfaite pour ne pas être blessé, je blessait les autres à limiter mes sentiments et seulement vouloir baiser ? Ce mots me donne limite la nausée maintenant. Je suis un con. C'est pas possible de blesser autant la personne qu'on aime.
- Mél m'aperçois, fini la fin de son verre aux taux d'alcool très bas, puisqu'elle est enceinte et se leva.

- On vas y aller, Sam c'était un plaisir de te rencontrer, passez à la maison un de ces quatres.

- Vous aussi.

- Marc suivit sa femme, pris la petite encore endormi dans ses bras et serra la main de Sam, comme venait de le faire sa belle.

- Désolé encore pour ma question mal placé.

- Pas grave, ne t'en fais pas.

- Mélissa avança vers moi, avec un regard qui veut tout dire.

- Ne le blesse plus Anthony ou t'auras à faire à moi. Mets ta foutu fierté et tout ce qui s'ensuit de côté.

- Sur ses mots que personne à part moi à entendu la petite famille quitta la maison.

- Et... Je dois parler et m'excuser auprès de Sam.

Succombe moiOù les histoires vivent. Découvrez maintenant