- Chapitre 34 -

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[Point de vu Bradley Simpson]

«Mais je croyais que tu m'aimais ? Cria Kayla pour la seconde fois
- Écoute je n'ai jamais eu de sentiments pour quelqu'un, jamais. C'est pas maintenant que je vais commencé.
- C'est à cause de moi ? Dis-le !
- Non Kayla, ce n'est pas toi. C'est moi. Maintenant pars
- Alors au revoir Bradley, mais saches que tu n'en a pas fois avec moi.»

Elle prit son sac à main, remit ses talons aiguilles et ouvrit la porte de ma maison. Je soupirais et montais les escaliers jusqu'à ma chambre. J'ouvris la porte de ma chambre et me laissais tomber sur le lit, mes bras sous la nuque et le regard fixé au plafond. Je pensais. Oui j'avais des sentiments, évidement que j'avais déjà eu des sentiments, une fois, mais j'en avais eu. J'en ai. Je soupirais et me dirigeais vers ma salle de bain.

[...]

Je sortis de la salle de bain avec une serviette autour de la taille et les cheveux plats trempés. Je me dirigeais vers mon armoire et cherchais un chandail blanc et un bas de jogging. Je sortis enfin un chandail, en l'enfilant une feuille tomba sur le tapis de ma chambre. Intrigué, je la pris dans mes mains et la déplia. Une calligraphie soignée fit son apparition, c'était l'écriture d'Ivy.

Bradley,
Si tu lis cette lettre c'est sûrement que je ne serai plus ici. Pas que j'avais prévu de mourir mais que j'y avais penser. Si tu lis cette lettre j'aurai sûrement succomber à ce fichu cancer. Mais sache que je t'aime, j'aurai tellement aimer te donner plus que mes baisers, ma bouche et mon amour, mais je t'aime. J'essaye simplement de ne pas trembler n écrivant cette lettre mais tu verras sûrement les quelques tâches de larmes à la fin de cette lettre. Bradley je t'aime. Je pourrai et j'aimerai te le dire à longueur de journée au creu de l'oreiller, pendant peut-être après une nuit d'amour. Je ne dirai pas que j'ai peur de la mort car je n'en ai pas peur.
Je t'aime et ne l'oublie jamais, peut-être que dans une dizaine d'années tu ne te souviendra plus de moi, mais je t'aime Brad. J'ai honte que tu me voies chaque jour comme ça mais je t'aimerai jamais assez pour m'avoir offerte le plus beau cadeau de Noël.
Je t'aime,
Ivy.

Je la regarde et la relie encore et encore. Elle m'avait écrite cette lettre, elle y confessait ce qu'elle ressentait chaques jours pour moi et j'avais été un gros connard. Je l'aime, elle est la première qui m'a cerner, elle est la première personne dont je suis fière et je suis un horrible connard. Je pris mon téléphone dans mes mains et fit défilé mon répertoire jusqu'à arriver à une photo d'Ivy et écrit "MonAmour". J'appuie finalement dessus.

«Bonjour vous êtes bien sur le répondeur d'Ivy, si je ne répond pas c'est que je suis avec mon adorable petit-ami qui m'aime à moi et pas vous les filles [rire] Laissez un message après le signal sonore alors rappelez plus tard bisous»

Love me again - The VampsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant