sans titre 31

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Pour me faire pardonner de ma flemme de répondre aux commentaires cadeau

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Mon réveil se fait en douceur mais pas part Jelavić mais part une main plus grande main douce. La personne effectue de petite secousse mais je ne veux pas quitter la personne qui c'est invité je ne sais pas pourquoi mais je ne veux pas. Au bout d'un moment les secousses s'arrête donc j'arrête de me concentrer pour dormir et attends que la personne reprenne son monologue chose qu'elle fait mais au bout d'un moment elle s'arrête et me dis « Arrête de me mentir Nagi-chan je sais que tu es un assassin je veux que tu me parles comme je les fais ». A ces mots je comprends de qui il s'agit, par panique je me tourne vers elle et je vois que mon intuition était bonne. C'était Akabane, il sait, il sait tout... Non ce n'est qu'un rêve. Plus de pièce noire juste un plafond de bois je me lève dans un cri. Ce truc me semblait si réelle, ses mots me semblait me faisait penser qu'il me les avait dit. Je sors de la chambre, je le vois dans le canapé endormi je le couvre d'une couette puis part de la pièce pour aller dehors. Dehors Jelavić san s'y trouve je la rejoint, elle me sourit

« _ Tu m'as appelé marraine pour la première fois Na chan

_ J'ai laissé mes émotions débordé

_ Oui, ne te sens pas plus libre ? Moins enfermé ?

_ Je ne sais pas.

_ Tu le sais Na chan, tu ne veux juste pas l'avouer. Au début face à cette classe j'ai fait pareil, je leur parlais pas, je restais fermé dans mon coin à essayé de tuer le poulpe, grâce à lui j'ai compris que j'avais le choix, que je n'avais pas à me fermer que tout allait bien. Karasuma m'a aidé à partir de l'association mais moi c'est plus simple que toi je ne suis qu'une assassine secondaire mais toi tu es sa pièce maîtresse et son fils. Tu lui as parler en tant que père et fils la dernière fois quand ? »

Je la regarde dans les yeux, elle a l'air plus radieuse qu'avant et en ce moment son sourire heureux et inquiète lui donne un air de femme encore plus de tragique. En ce moment en elle je vois quelqu'un de tragique, une personne triste coincé, enfermé par son amour pour quelqu'un mais elle même lui libre cherchant à sauver la personne recevant son amour. Une tragédie car souvent les deux sont enfermés ou l'un des deux reste derrière et je resterai derrière je ne veux pas qu'elle revienne dans l'association pas avec ce que j'ai appris

« _ Je ne sais sa doit faire longtemps... Je l'ai vu la dernière fois lors du dernier paiement de ma punition par rapport à Akabane... mais je pense qu'il va bientôt revenir et que sa sera tragique voir mortel.

_ Tu as peur de lui ?

_ Non, je crois que j'avais oublié avec d'être mon chef c'est mon père sa fait bizarre de dire père. Je ne le dis jamais. Mère voudrait que tu ailles la voir elle a dit que tu exagérai

_ J'irais Na chan, je voudrais que tu reste en classe e. Pour moi, je... j'ai p

_ Nagi chan tu es un assassin de l'association ? »

D'un même mouvement Jelavić san et moi tournons notre tête pour voir Akabane choqué. J'avais réussi a lui enlevé tout doute et voilà que par négligence je... je me dénonce... Je suis un idiot.

« _ Karma... Na chan je suis désolée... Mais je crois que vous avez besoin de parler retourner dans votre chambre et Na chan pense à ce que Karasuma t'as dis. »

Je marche lentement dans la direction de la chambre suivis par Akabane qui voulait me surveiller par peur que je m'enfuis sûrement. De simple mot m'ont dénoncé j'aurais faire plus attention à ce que je dis. Je sens le regard coléreux d'Akabane dans mon dos,pourquoi de la colère je ne comprends pas. Si le chef l'apprends il va demander à ce que je le tue il faut que je lui fasse garder le secret sinon je vais devoir le tuer ou il va se faire tuer. Dans la chambre je m'assois sur le lit et lui marche devant en faisant les cents pas. Pas un mot mais l'atmosphère froide règne et me fais sentir mal à l'aise.

« _ Akabane san ?

_ Shiota es tu l'assassin de Lia ?

_ Pour maintenant autant avoué... Oui je suis celui qui l'a tué... désolé

_ Tu sais ce que je vais faire ?

_ Me dénoncer. Pas de problème je t'ai fait assez de mal comme sa mais s'il te plaît je ne veux pas aller en prison laisse moi disparaître ou mourir.

_ Tu es loin de la réalité ! Je veux pas que tu parte loin de moi je t'avais dis que si je le trouvai je le garderai auprès de moi !

_ Alors pourquoi ce regard plein de colère ?

_ Car je t'en veux de m'avoir rien dis alors que tu savais que je voulais rester auprès de toi

_ Normal je t'ai fait assez de mal et je ne veux qu'une menace te tombe sur la tête. Tu dois faire semblant que tu ne sais pas... »

Je ne pu finir ma phrase car Akabane me sauta dessus on en tombe sur le lit. Un sourire entre le sadique et la joie se fit sur son visage

« _ Nagi chan ! Sa me fait plaisir de savoir que c'est toi ! Je suis tellement heureux !

_ Karma san tu pleures ?

_ Oui, je suis tellement heureux je me sentais un peu mal car j'étais en train de tomber amoureux de toi et j'étais toujours amoureux de snake. Je suis heureux que tu sois une seule personne. J'aimerais savoir une chose, pourquoi tu es venue me revoir après avoir tué Lia ?

_ De base je n'avais pas le droit tu devais être tué par Jelavić san mais elle a réussi à négocié avec mon père et tu es resté en vie. J'étais heureux du moins je ne le savais pas à ce moment là et le jour de mes 11 ans je me sentais un peu donc je suis revenu à cet endroit pour voir si tu aurais étais là, je voulais te voir puis je suis restait pour te parler avec toi. Grâce à toi j'ai passé un merveilleux anniversaire merci »

Quand je vois les rougeurs du visage de Akabane mélanger avec ses pleures je sais pas si c'est normal mais je ressens un mélange de tristesse et de joie. Tristesse car je me sens mal de lui avoir mentir, car je vais bientôt partir en classe a, car je vais l'abandonner, car je l'ai fait pleurer. Joie car sa réaction, son sourire , ses rougeurs me montrent qu'il ne m'en veux pas et que je me sens plus léger. Je comprends mieux quand Jelavić san m'a dit que j'avais un poids sur le cœur je vois de quoi elle parlé. Sa me donner pas l'impression peut être au début mais avant je le temps j'ai du m'y habituer. Je vais bien maintenant, je suis heureux. 

Assassin Mais Aussi HumainOù les histoires vivent. Découvrez maintenant