Laced ↠ VF

Chapitre 17: Émotions mises à nu

PDV Abby :

Niall marchait en silence à côté de moi, suivant l'ordre de Zayn qui était de me ramener à ma chambre.

Je mordis l'intérieur de ma joue, en retenant tous les mots qui menaçaient de quitter mes lèvres.

Je ne voulais pas défouler ma colère sur Niall, ce n'était pas de sa faute, c'était celle de Zayn.

Nous marchâmes dans les quartiers des esclaves inférieurs jusqu'à atteindre le début de mon couloir.

Je remarquai que j'avais laissé la porte de ma chambre entrouverte. Je regardai Niall.

Il se gratta la tête, semblant hésiter une seconde.

Je croisai les bras.

- Je pense que je te dois une explication. Commença-t-il.
- Tu crois ?

Je hochai la tête d'un ton sarcastique, en roulant des yeux.

- Ça va être assez long. Tu devrais t'asseoir.

Il indiqua le canapé.

- Non, je vais rester ici jusqu'à ce que tu me dises ce qu'il se passe. Dis-je obstinément.

Il gémit.

- Ne fais pas la difficile, Abby. Assieds-toi
- Très bien. Acceptai-je à contrecœur, me laissant tomber sur le canapé en cuir. Vas-y, dis-moi.

Il prit place à l'autre bout du canapé, jetant sa tête en arrière en signe d'épuisement.

- Je ne sais même pas par où commencer.

Je m'arrêtai une seconde, réfléchissant.

- Eh bien, tu pourrais commencer par me dire où est Zayn en ce moment.

Il me regarda mal à l'aise.

- Il va rencontrer Sykes ce soir.

Je plissai des yeux.

- Et pourquoi Perrie l'accompagne-t-elle ?

Il me jeta un drôle de regard.

- Il prend des esclaves avec lui de temps en temps. Tu n'es pas la seule à être sortie dehors avec Zayn.

Je secouai la tête.

- Non, mais pourquoi la prend-t-il pour rencontrer Sykes ?
- Tu dois comprendre, Abby, cette situation est compliquée...
- Je suis sûre que je peux la comprendre. Assurai-je.

Niall avait l'air frustré, comme s'il essayait de défendre Zayn, mais en même temps le dénigrait.

- Écoute, Sykes sait des choses qu'il ne devrait pas sur Zayn. Et si Sykes révèle ce qu'il sait à la police, Zayn pourrait avoir des ennuis. Alors...
- Donc, il fait chanter Zayn. Typique. Finis-je pour lui. Quoi qu'il en soit, continue.

Niall hocha la tête et continua.

- Ouais, Sykes lui fait du chantage. Et ce qui est sûr c'est qu'il voit cette situation comme une compétition de qui sera le plus puissant... alors... Hésita-t-il.
- D'accord, je comprends, mais cela n'explique pas pourquoi il a pris Perrie.
- Perrie va coucher avec Nathan.

Une nouvelle voix m'interrompit. Debout dans l'embrasure se tenait Harry, il s'appuya contre le mur, les yeux fixés sur le sol, les bras croisés.

- Harry ! Niall cria. Tu n'es pas censé-

Il regarda Niall, en plissant les yeux.

- Quoi ? Elle devait savoir. Pourquoi lui mentir ?

Je pris tout de suite le parti d'Harry, méfiante à l'égard de Niall.

- Ouais, ne me mens pas. Je veux tout savoir.

Niall se tourna vers moi.

- Sykes fait chanter Zayn : ses esclaves doivent coucher avec lui lorsqu'il le souhaite s'il ne veut pas que ses secrets soient dévoilés.

J'étais bouche bée, choquée, je clignai des yeux.

- Mais, mais c'est horrible !

Harry hocha la tête.

- Et tu vas probablement être la prochaine. Zayn t'emmènera et tu devras coucher avec Sykes afin qu'il se la ferme.

Je bafouillai.

- Mais, mais il ne peut pas ! Non, je ne veux pas-
- Arrête de lui faire peur, Harry.

Niall leva les yeux et se tourna vers moi.

- Zayn ne ferait pas ça.

Je me levai, hystérique.

- Non, je serai la prochaine ! Hurlai-je.
- Je suis comme tout le monde ! Il va m'y emmener ! Je ne veux pas, je ne veux pas !
- Abby , calme toi- Commença Niall.
- Non ! Ne me dis pas de me calmer ! Je m'arrêtai, ma voix se réduisant à un murmure. Je ne veux pas être utilisée comme ça...

Je me mordis la lèvre, essayant d'arrêter mes tremblements.

Tout s'écroulait. Peu importe à quel point Zayn était gentil avec moi, peu importe ce qu'il faisait, je serai toujours une esclave pour lui, une esclave à sa disposition qu'il peut utiliser comme il le souhaite. Ce n'est qu'une question de temps avant que je ne parte en direction du manoir de Sykes pour coucher avec lui - ou pire encore, Zayn lui-même, voudrait me faire du mal.

J'avais été naïve et aveugle.

Niall reprit la parole.

- Abby. Zayn ne va jamais t'utiliser. Je le connais. Pas tant que tu es une vierge.

Harry leva un sourcil, mais ne dit rien.

Ma voix sortit dans un murmure.

- Qu'est-ce qui l'arrête ? Rien.

Je me sentais vaincue et stupide. J'essuyai mes yeux, maudissant les stupides larmes qui coulaient sur mes joues.

Harry se dirigea vers moi et s'accroupit sur le sol à mes côtés, en tenant la main afin de me réconforter.

Niall regarda l'heure, puis se leva.

- Je dois y aller.

Je lui donnai un rapide signe de tête, il nous souhaita bonne nuit et quitta la salle.

Une fois qu'il fut parti, Harry se leva et se laissa tomber sur le canapé à côté de moi.

Je me mordis la lèvre de nouveau, en retenant la boule stupide de peur et de frustration qui s'était logée dans ma gorge. Nous restâmes assis pendant quelques minutes, sans bouger et sans rien dire.

Une grande main se déposa sur mon genou et je levai les yeux vers Harry.

- Que vais-je faire, Harry ?

Il me fit un petit sourire et pressa ses lèvres sur les miennes rapidement.

- Tu vas rester loin de lui. Ne le laisse plus s'approcher de toi. D'accord ?

Je hochai faiblement la tête.

- Très bien.
- Hé, c'est bon, Abby. Tout ira bien.

Il poussa mon épaule amusé, mais je n'étais pas d'humeur.

Son sourire faiblit un peu, puis s'agrandit de nouveau.

- J'ai une idée.

Je l'observais avec un regard interrogateur, me demandant ce qu'il avait en tête.

- Zayn est déjà parti. Déclara-t-il.
- Et alors ? Demandai-je, curieuse.
- Veux-tu toujours voir ma chambre ? Sourit-il.

Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire en retour.

- Ou peut-être que tu préfères rester ici, commença-t-il, puisque tu n'es pas si enjouée et qu'en plus, tu as mal à la tête. Tu devrais te reposer. Plaisanta-t-il.
- Non, je veux y aller ! Le suppliai-je.

Il posa une main sur son menton, en faisant semblant de réfléchir.

- Non, je pense que tu devrais dormir. Rit-il, en se levant. Fais-moi un bisou d'au revoir. Je dois retourner à ma chambre, maintenant.

Je lui souris.

- Non.
- Pourquoi ?

J'adorai absolument cette lueur espiègle dans ses yeux émeraude.

- Parce que tu ne veux m'y emmener.
- S'il te plaît ?
- Non ! Refusai-je, en riant. Pas de bisous.
- Très bien, très bien ! Dit-il, en riant.

Il attrapa ma main, me tirant vers lui. Lorsque je me levai, je tombai sur sa poitrine et il mit ses bras autour de moi, me stabilisant.

Puis il pressa ses lèvres sur les miennes et me sourit en coin, ses fossettes apparentes. Ses lèvres charnues et souples se déplacèrent parfaitement avec les miennes, tandis qu'il logeait ses mains sur ma taille, m'attirant contre lui doucement. Je déposai mes mains sur sa poitrine solide qui était cachée sous son t-shirt blanc, puis les fit monter jusqu'à ses boucles sombres.

Harry sourit en m'embrassant et s'éloigna.

- Eh bien, je dois y aller maintenant. Dit-il, en évaluant de ma réaction.

S'il voulait me taquiner, j'allais le taquiner en retour.

- Très bien, alors. Tu devrais y aller. C'est fini. Je le repoussai, le menant à la porte.
- Attends, tu ne veux plus venir ? Son sourire faiblit un peu.

Je battais mes cils innocemment.

- Non, tu as probablement raison, je dois aller dormir à cause de mon mal de tête.

Soudain, il me porta dans ses bras, telle une jeune mariée.

- Maintenant, tu n'as pas le choix, tu viens avec moi.
- Oh mon dieu, Harry, repose-moi !
- Non ! Rit-il, en sortant de ma chambre, toujours en me portant.
- Je jure devant Dieu, Harry, si tu ne me reposes pas-

Je fus coupée quand Harry pressa ses lèvres sur les miennes.

- Shhh. Dit-il contre mes lèvres et sourit. T'as-t-on jamais dit que tu parlais trop ? Dit-il en plaisantant.
- Hey ! Je frappai son bras, en le poussant.

Il rit, en me reposant et en mettant ses bras défensivement.

- Je blague.

Je levai les yeux, mais m'approchai de lui.

- Allons-y ?

Son bras serpenta autour de ma taille et me rapprocha de lui.

- Allons-y.

-

Le décor de sa chambre était totalement assorti, dans un thème gris foncé, de la peinture des murs aux  draps de son lit king-size. C'était assez bien rangé pour un mec, son lit était fait et tout était en ordre. Le plancher en bois venait d'être poli récemment et sa table de nuit noire était impeccable. La seule chose qui était en désordre était son bureau, il y avait des papiers éparpillés un peu partout, des surligneurs et des stylos dispersés sur le bureau comme s'il avait travaillé sur quelque chose.

Mais la chambre avait une particularité qui attira immédiatement mon attention.

- C'est trop cool. Dis-je, en m'approchant du mur.

Le mur entier était composé d'un aquarium, dans lequel je repérai tout de suite de nombreux poissons exotiques.

- Tu aimes ? Je l'entendis dire, sa voix venant de derrière.

Je hochai la tête.

- Comment l'as-tu installé ? Dis-je.
- J'ai demandé. Et Zayn sait que j'ai une fascination pour les poissons, alors voilà.

Il haussa les épaules.

Je pressai mon visage contre la vitre froide.

- Je me sens comme une enfant devant un aquarium. Ris-je.
- Tu sais ce qui est cool ? Demanda-t-il.

Je secouai la tête.

- Quoi ?

Il se dirigea vers l'entrée de sa chambre, où les interrupteurs seraient fixés au mur. Il alluma la lumière de l'aquarium, ce qui éclairait toute la pièce.

Nous étions engloutis dans l'obscurité, la seule chose allumée était la lumière qui émanait de l'aquarium.

- Woaaahhhh. Je regardai, fascinée.

Il sourit et je pus voir les fossettes de ses joues apparaître.

- Alors ?

Je fis quelques pas en arrière pour mieux observer.

- Je pourrais regarder éternellement. Soupirai-je de contentement.

Je heurtai le bord du lit avec l'arrière de mes jambes et regardai vers Harry.

- Ça ne te dérange pas ? Demandai-je, lui demandant la permission de m'asseoir sur son lit.
- Non, pas du tout. Assieds-toi.

Je m'assis sur le lit, en regardant l'aquarium lumineux dans l'obscurité. Je vis la silhouette d'Harry passer, puis se tenir près de moi.

Il écarta mes jambes avec ses mains et se mit entre mes cuisses. Je rougis légèrement.

Il prit mon visage, se penchant très lentement. Ses lèvres caressèrent les miennes, nous étions en feu.

Je tirai ses boucles avec mes doigts, sentant la chaleur monter. Fébrilement, il me mordit la lèvre, ses mains dans mes cheveux emmêlés.

- Harry. Gémis-je, contre sa bouche et un grognement sauvage émana de l'intérieur de sa gorge, les vibrations de son grondement me firent frissonner de plaisir.

Il se recula, l'excitation brillante dans ses yeux.

- C'est sexy.

Je rougis.

Soudain, je sentis une paire de mains me pousser et je basculai sur le lit, Harry me suivit.

Il appuya la majeure partie de son poids sur moi, assez pour que je puisse sentir son cœur battant d'excitation sous sa chemise.

Une de ses jambes reposait entre la mienne et l'autre était collé à ma jambe droite.

Sa bouche se déplaçait avidement de mes lèvres à ma mâchoire, jusqu'à ma gorge lorsque je m'éloignai pour respirer. J'étais submergée par son toucher, ses lèvres et par tout ce qu'il laissait sur ma peau avec ses morsures et ses baisers. Je sentis ses doigts tâtonner les boutons de ma chemise, puis avec impatience, il tira sur ma chemise, la déchirant.

- Harry ! Dis-je en rigolant à moitié. Ma chemise !

Il ne répondit pas, au lieu de ça, il pressa ses lèvres chaudes sur un nouveau terrain à exploiter et prit un de mes seins dans sa grande main par-dessus mon soutien-gorge.

Alors que j'appréciai le toucher d'Harry, il y avait un sentiment lancinant dans ma tête, me disant que ce n'était pas bien. Que Zayn n'approuverait pas cela. Je me reculai loin de ses lèvres, haletantes.

- Harry, attends.

Ses lèvres remuaient jusqu'à mes seins, qui étaient encore partiellement couverts par mon soutien-gorge.

- Oui, bébé ?

J'hésitai.

- Je ne veux pas... Je l'interrompis, mes yeux écarquillés alors que je sentais l'excitation d'Harry contre ma cuisse, à travers son jean.

Il leva les yeux vers moi.

- Pourquoi pas ? Ne nie pas que ça te plait.
- Ce n'est pas ce que je fais... Dis-je faiblement. Mais -
- Mais quoi ? Demanda-t-il, ses yeux verts sombres de désir.

Il passa une main sur ma poitrine.

- Je peux voir la façon dont ton corps réagit à mon toucher. Tu es brûlante. 

Il glissa une main sous mon soutien-gorge, serrant ma poitrine, taquinant habilement mon mamelon entre ses doigts habiles. Un gémissement de plaisir s'échappa de mes lèvres.

- Tu vois ? Il sourit.

Je poussai un soupir tremblant. Il me prenait toute ma volonté de lui dire non, parce comme Harry l'avait dit, mon corps le voulait.

- Harry, s'il te plaît, je ne peux pas-
- Pourquoi pas ? Il me regarda, les yeux plissés. Tu t'es bien donnée à Zayn une fois. Pourquoi pas moi ?

La contrariété était clairement évidente dans sa voix.

Je gelai.

- Je ne me suis jamais donnée à Zayn. Dis-je d'un air hébété.
- Quoi ? Il se recula, surpris.

Je me mordais la lèvre, incapable de croiser son regard.

- Je n'ai jamais couché avec lui.

Il se releva, se tenant assis et mal à l'aise à cause de son excitation dans son jean. 

- Mais tu étais... Tu étais dans l'un de ses boxers cet après-midi, tu-

Je le coupai.

- J'ai dormi avec lui. Rien de plus. Et il m'a donné ses vêtements quand j'étais avec lui, la nuit dernière. Lui expliquai-je.
- Mais, mais -

Évitant ses yeux, je m'assis, les joues rouges et brûlantes.

- Tu ne m'as pas laissé m'expliquer. Tu as juste fait des conclusions.

Il passa une main dans ses boucles, en regardant au loin, perdu dans ses pensées.

Je ne dis rien non plus, mes bras autour de moi, depuis que ma chemise avait été arrachée.

Notre court silence fut interrompu par un fort bourdonnement et je sautai de surprise.

- Harry ? La voix de Liam retentit dans l'interphone.
- Merde. Marmonna Harry dans sa barbe, en descendant du lit et en se mettant debout. Il lui répondit.

- Oui ?
- Nous avons une situation d'urgence, s'il te plaît viens à l'aile de l'hôpital tout de suite.

Harry gémit, mais répondit à nouveau.

- Très bien, Liam. Je serai là dans quelques minutes.

L'interphone se coupa, puis nous fûmes engloutis dans le silence. Harry me regarda en s'excusant, se mordant la lèvre inférieure.

- Désolé, Liam a besoin de moi. Tu veux rester ici ? Je reviens dès que je peux.
- Bien sûr, ça ne me dérange pas. Dis-je, honnêtement, faisant un signe vers l'aquarium. D'ailleurs, je vais admirer ça.

Harry rit.

- Très bien. Permets-moi de m'habiller. Il se dirigea vers l'interrupteur, allumant la lumière principale de la chambre, et je plissai les yeux alors que la lumière m'aveuglait.

Il fit rapidement son chemin dans la salle de bains, où son dressing était situé afin de s'habiller.

Je me levai du lit, regardant de nouveau l'aquarium. Un poisson particulier attira mon attention, un poisson-clown. Je ne pouvais pas m'empêcher de sourire tandis que je me souvenais de Nemo. Je le regardai nager pendant quelques minutes, s'élançant et se cachant entre le décor intérieur du bassin.

Je reculai, en regardant curieusement le bureau en désordre à travers. Je m'y dirigeai et regardai les papiers. Des cartes étaient mises en évidence et de petites notes étaient écrites un peu partout. Je ramassai un morceau de papier, en le regardant.

- Hé, j'ai un t-shirt et je-

Harry se figea, me voyant à son bureau.

- Que fais-tu ?

Je laissai tomber le papier sur le bureau.

- Désolée, j'étais juste curieuse.

Il fit rapidement son chemin vers moi, se penchant sur le côté de la table, en rassemblant les papiers. Il les poussa tous dans un dossier et le jeta dans le tiroir de son bureau. Je remarquai qu'il avait changé de jean et de t-shirt et mit sa blouse bleu turquoise. Il me regardait en s'excusant et me fit un petit sourire.

- Désolé, c'est en quelque sorte privé.

Je fis un geste de la main.

- Ne t'inquiète pas pour ça. J'étais simplement curieuse. Je comprends.

Il me donna un autre petit sourire.

- Merci. Il jeta quelque chose sur moi, et je l'attrapai.
- Voici une chemise... Désolé pour l'autre... Dit-il, se référant à la chemise qu'il avait arrachée.

Je secouai la tête.

- Non, c'est très bien. Maintenant, vas-y, Liam t'attend !
- En effet.

Il fit son chemin vers la porte et me regarda de nouveau.

- Tu veux que j'éteigne les lumières ?

Je hochai la tête.

- Bien sûr.
- Je reviens dès que je peux. Dit-il, effleurant la lumière. Bye, amour.

Je souris.

- Bye, bouclé.

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Voilà le chapitre 17 ! J'espère qu'il vous a plu. Si c'est le cas n'oubliez pas de voter et commenter. D'ailleurs merci d'avoir été plus nombreuses à voter et commenter le précédent chapitre.