De retour à Poudlard

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L'amour donne des ailes que le feu de la passion ne saurait qu'embraser réduisant ainsi le coeur en un vulgaire monceau de cendres.
La nuit n'aurait de cesse d'eclairer autrui sur ma véritable nature mieux que le jour n'aurait guère d'autres capacités que nous plonger dans un somptueux bal masqué vénitien vêtu de luxueux atours et pur comme le nouveau né.
Quel rôle sadique que celui que l'on attribue à la naissance et quel heureux cadeau m'offre t-on le jour où les masques tombent !
Voldemort, sans une armée n'aurait su affronter ses ennemis qui eux sont unis dans une cause commune.
Ainsi, pour apaiser les tensions avant la grande guerre, nous nous sommes accordés un bref moment de répit.
Pour une fois, l'idée de m'éloigner de Poudlard ne m'etait pas totalement déplaisante et je ressentais clairement pour moi et Strawberry, une nécessité de vivre notre amour ainsi qu'un Roméo et Juliette sans l'aspect amants maudits bien que les événements à venir ne sauraient nous assurer la prospérité de notre amour.
Notre dernière nuit à Poudlard avant la pause fut un moment de pur bonheur ou en un bref instant, je sentis sur moi peser la terre et les astres qui s'assemblèrent finissant le spectacle en une réjouissante explosion stellaire, son corps contre le mien et amoureux malgré les tensions.
Le lendemain, nous étions à l'aube prêt à partir pour la maison de mes parents.
Les autres anciens , étaient partis au terrier sous invitation de Mme. Weasley, Moi et Strawberry avons cependant décliné cette invitation pour faire notre lune de miel bien que rien ne nous assurait de notre mariage, nous voulions être de simples jeunes fiancés pour une fois.
Cependant, ce moment aurait été vraiment parfait si j'avais su Ariana à l'abris parmi nous, certes elle avait fait son choix mais, je ne pouvais lui en vouloir d'avoir rejoint son père et je ne voulais pas être rancunier envers elle, elle était encore à mes yeux mon amie en première année qui étais terrorisée à l'idée d'être sans amis, une amie pour qui je ressentais beaucoup d'affection.
Avec le temps, cette affection disparût car elle n'était plus qu'une amie presque une soeur.
Je n'avais pas envie de n'être préoccupé que par cela, j'avais après tout aussi le droit de vivre mon histoire.
Une fois prêts, Moi et Strawberry transplanons devant la maison de mes parents.
Devant la porte, je pu lire l'appréhension de Strawberry qui vint rapidement briser le silence.
"Alex, et si tes parents ne m'aiment pas ?" Me dit elle.
"Quoi mais pourquoi il ne t'aimeraient pas ?" Lui répondis je
Je vins plonger mes yeux dans les siens avant qu'elle ne reprenne:
"Alex, il est peut être temps que tu connaisses la vérité, j'ai perdu mes parents à mes 10 ans et moi et mon grand frère âgé à l'époque de 18 ans, nous sommes partis car il ne voulais pas que je me retrouve dans un pensionnat.
Nous avons alors rejoins ses amis, je ne le savais pas à l'époque mais ils étaient des voleurs et un soir, avant que je ne reçoive ma lettre d'admission à Poudlard, nous avons tous été volés dans une grande maison mais les gens l'habitant étaient assez âgés et le mari cardiaque descendit et nous voyons une arme braquée sur lui, il fit un arrêt cardiaque.
La femme su nous décrire assez parfaitement pour déposer une plainte et faire des portraits robots et heureusement, je fus admise à Poudlard.
Mais un jour, mon premier petit ami m'emmena chez ses parents qui me reconnurent appelant ainsi la police.
Heureusement Mcgonnagal eût vent de cette histoire et fit une demande pour devenir ma tutrice.
Une demande qui heureusement lui fut acceptée.
J'aimerais revoir mon frère un jour"
Me raconta Strawberry les larmes aux yeux.
Elle m'aurais presque fais pleurer et la prenant dans mon bras, rapprochant sa tête de mon épaule, je lui répondis
"Désormais tu es avec moi et je ne laisserais personne faire qu'il en soit autrement !"
Enfin je pris la décision de toquer à la porte de mes parents qui m'accueillirent les bras ouverts avant de voir Strawberry.
"Qui est ce ?" Me demanda ma mère un léger sourire aux lèvres.
"Maman, Papa j'ai le plaisir de vous présenter Strawberry, ma fiancée !" Répondis je.
Mes parents se regarderent un large sourire aux lèvres avant de nous inviter à entrer.
"Pourquoi êtes vous la ?" Demanda ma mère
Évidemment, je ne pouvais lui dire que nous nous préparions à une guerre et qu'une pause s'imposait alors.
"En fait à Poudlard, les élèves passent une serie d'examens d'entraînements et nous n'avions pas à rester car nous n'étions pas des professeurs surveillants" répondis je à la question de ma mère avant de reprendre
"Nous ne voudrions pas vous déranger mais pouvons nous rester cette semaine ?"
Ma mère aller répondre oui avant que mon père fouillant dans un tiroir ne me réponde non.
Je vis sur le visage de ma mère s'affichait un regard furieux avant que mon père ne me tende une enveloppe rempli d'euros et avec deux billets pour le ferry et deux autres pour le parc d'attractions ou nous avions étaient l'été avant mon entrée à Poudlard.
Je me sentis assez mal devant ce présent et n'osais pas l'accepter mais j'y fus obliger par mes parents.
Le lendemain matin, nous étions sur le ferry avec Strawberry.
A notre arrivée en France, nous avons prit une navette en direction du parc d'attractions.
A notre arrivée, je vis pas mal de différences avec ma dernière visite, le parc était vêtu d'atouts bleus et argents, ce fut sûrement une coïncidence et pourtant, cela suffit à me rappeler la guerre à venir.
La première attraction que voulu faire Strawberry était une promenade en bateau à travers le monde au son d'une entêtante et pourtant enchanteresse chanson chantée par des poupées.
La journée fut purement magique.
Le soir dans notre chambre d'hôtel, j'avais pris ma petite enceinte Bluetooth que je connecta à mon téléphone passant différentes chansons venue d'une playlist il y eut des chansons comme "this is me" faisant parti de la bande originale d'un film visiblement nommé the greatest showman.
Il y eut beaucoup d'autres magnifiques chansons sur lesquelles nous avons dansé tout la nuit me semble t- Il.
Nous avons décidé de terminer notre nuit dans l'hôtel sur une dernière danse qui fut sur la dernière musique de la playlist et comme par hasard, la musique était "tale as old as time"
La journée du lendemain fut tout aussi magique et féerique.
Nous avons fait les boutiques avec Strawberry ce jour là et je vis dans une boutique nommée "le petit tailleur", une magnifique robe rose et pailletée reprenant apparemment le design de la robe d'une princesse nommée Aurore, je lui acheta lorsqu'elle eût le dos tourné.
Notre journée continua et dans le château surplombant le parc, il y avait un souffleur de verre qui vendait de magnifiques diadèmes, j'en cherchais un qui soit assorti à la robe de Strawberry et une fois l'objet de ma recherche trouvé, j'en fis l'acquisition.
Je lui avais aussi promis une peluche, ainsi une heure avant de reprendre la navette, nous avons fait une grande boutique à l'orée des parcs dans laquelle, elle voulut une immense peluche bleue semblable à un chien, il est vrai que la peluche était vraiment magnifique.
Je lui acheta alors bien qu'elle n'était pas au courant des deux surprises l'attendant une fois chez mes parents.
Le voyage en navette et en ferry, se fit dans le plus grand des calmes et pourtant en revenant chez mes parents, je ressentis à nouveau le danger proche de moi, Strawberry et le monde des sorciers .
Chez mes parents, je leur offris les quelques petits cadeaux que j'avais pu acquérir pour eux et enfin, j'offris à Strawberry les deux cadeaux que je désirais garder secret.
Mon père dit que pour inaugurer cette robe, nous irions dîner tous au restaurant ce soir.
Je mis alors ma tenue pour les plus grandes occasions, une chemise noire surplombée d'une veste noire elle aussi sur laquelle était posée une cravate Bordeaux et pour compléter cette tenue, un jean noir.
Après s'être changé, Strawberry descendit l'escalier, elle était resplendissante, sa robe faisant ressortir ses yeux, elle s'était maquillée d'un rouge à lèvres rouge ainsi qu'une onirique rose enchantée, sur le côté des yeux, elle s'était dessiné un trait noir.
Elle avait simplement l'air d'une déesse sous les traits d'une princesse.
La soirée fut splendide ainsi que le restaurant aux grandes baies vitrées donnant sur le ciel étoilé ainsi qu'un poème du poète français Charles Baudelaire, j'étais plongé dans l'ideal.
Le lustre en cristal au dessus de ma tête nous donné tout bonnement l'impression d'être dans une resplendissante salle de balle, un rêve éveillé, le pianiste semblait promené ses doigts sur une forêt de noir et de blanc ainsi qu'un MIrage, une porte déposée sur la neige scintillante et mille clés au SOL donnée simplement l'impression de vivre comme il se doit.
En rentrant chez mes parents, Moi et Strawberry n'avions pas envie de dormir et pourtant étions allongé sur mon lit plus amoureux que jamais, nos yeux plongés les uns dans les autres et nos coeurs unis ne faisaient plus qu'un.
Un jour avant de retourner à Poudlard, nous avons commencé à émerger lentement de notre rêve en décidant de retourner au terrier.
J'ai donc dis au revoir à mes parents, un goût amer car avec le peur car j'avais la peur que ce soit finalement un adieu.
Mes parents ayant refermés la porte moi et Strawberry avons transplaner en direction de la maison des Weasley.
Devant la porte, Mme. Weasley est venue nous accueillir assez surprise car elle ne connaissait pas Strawberry.
"Mme.Weasley, voici Strawberry ma fiancée" dis je.
La propriétaire des lieux n'eut le temps de me répondre que Hermione m'enleva pour me parler.
"Alex, il y a une solution pour à nouveau défaire Voldemort et la menace planant sur nous !" Me dit elle en me désignant du doigt un grimoire ouvert sur la table.
"Il n'y a pas que l'épée de Gryffondor, il y aussi l'armure de Serpentard, le bouclier de Serdaigle et enfin le heaume de Poufsouffle.
Ensemble, il font de leurs porteur le gardien de Poudlard, celui qui d'un simple coup d'épée fait des ténèbres un lointain et éphémère cauchemar !" M'expliqua Hermione avant que soudain l'on ne toque à la porte.
Je m'approcha de la porte lorsque Mme. Weasley ouvrit.
"Ariana ?!" Dis je étonné en reconnaissant la silhouette à la porte.