Chapitre 1

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8h45:

-MIAAA! hurla ma mère depuis la cuisine
Je gémis, sans la moindre envie de quitter mon lit tout chaud, alors je m'enfuis sous la couverture, j'étais bien confortablement installée et puis..

-MIAA SORS DE TON LIT! repris ma mère..

Ses cris m'étais insuportable , dans sa bouche le nom mia sortait comme un bruit strident dont tous le monde avait horreur, alors au réveil..

Je décida de me lever, pris rapidemment une douche, j'ouvris mon armoire pour choisir ma tenue, aujourd'hui nous sommes samedi, deplus nous partons pour une journée interminable dans un aéoroport puis 11h de vol dans un avion, rien que d'y penser un frisson parcoura mon corps , dieu seul sait a quel point je hais l'avion  !

Depuis que je suis toute petite c'est une peur , je sais tres bien que pleins de gens trouvent sa ridicule mais le seul fait de confier ma vie a un pilote me perturbe, j'aime avoir le controle et quand je prend l'avion je n'ai aucune emprise, et par dessus tout, j'ai le vertige, un vertige monstrueux qui me comprime le ventre m'empêche de respirer et s'enssuis souvent des crises d'angoisses.

J'optais finalement pour un t-shirt bleu ciel dénudée au niveau des épaules et un jean blanc.

J'enfilais mes baskets et m'assurais que je n'avais rien oublier pour le voyage.

Un autre de mes défauts je suis assez stréssée sur le fait d'oublier des choses j'aime que ce soit organiser, que tout sois prêt or la veille au soir j'avais passée trois heures a faire ma valise poir m'en assurer, il n'empêche que j'avais toujours cette petite appréhension d'oublier des choses , de manquer d'un truc, d'un petit détail qui ruinerais mon voyage.

-MIA SA SUFFIT MAINTENANT TU DESCENDS!

cette fois c'etais mon père qui criait, décidemment eux aussi étais stréssés par le voyage; je descendis ma valise, avec précaution.

Nous partîmes tous les quatres direction l'ile Maurice.

17h19:

Les rangées dans l'avion ne comportais que trois sièges maximum or nous étions  quatres, je me proposa immédiatemment pour voyager seul, sa ne me derangeais pas au contraire j'aimais bien être seul, me reposer, reflechir et je n'avais pas besoin d'entendre les revendications  de mon père pendant onze heures de vols, tu vas t'abîmer tes  oreilles avec de la musique aussi forte, tu pourrais dormir un peu tu vas être  fatiguée, occupe toi d'ambre un peu je voudrais me reposer.

17h:

J'étais extenuée par cette journée qui ne voulait pas se finir, en effet a paris il devait être 5h du matin or ici a l'ile Maurice:
-Il est 17h, la tempèrature exterieur est de 27 degrès, nous vous remercions d'avoir choisi notre compagnie, et bon séjour à l'île Maurice ! Annonca le pilote.

Ouf je n'étais pas morte , mais le trajet avait été très long et mes voisins de sièges n'étais autre qu'une maman sans aucune autorité et son  fils qui devait avoir six ans que j'avais envie d'étrangler et pourtant j'adore les enfants.

Un car nous attendis à la sortie de l'aéoroport, il emmenait tous les voyageurs qui s'apprêtais à aller au club med

j'essayais de repèrer des personnes de mon âge qui avait l'air sympa mais je n'en voyais pas ..

J'éspèrais me faire juste une amie avec laquelle je pourrais bronzer au bord de la piscine , nager dans la mer ou parler en buvant des mojitos, c'étais la première fois que j'allais au club med de l'île Maurice et d'après sa réputation il étais l'un des plus prestigieux alors je savais que je n'allais pas m'ennuyer mais je pensais fortemment qu'avec une amie, je ne sais pas, je rigolerais plus..

Le car s'arrêta en face d'une allée de fleurs qui étais magnifique , je descendis en première du car, j'observais l'endroit magnifique dans lequel je me trouvais , mes yeux ne savait plus où regarder , c'étais tellement grand, tellement beau.

Je n'avais jamais vu un endroit pareil, un endroit qui ressemblait fortemment au paradis.
Le souffle coupé j'admirais le spectacle qui se présentait sous mes yeux.

FirstOù les histoires vivent. Découvrez maintenant