La veille de noël

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23 Décembre 21h30: Le téléphone de ma mère sonne, mon frère appelle pour nous dire qu'il arrive demain pour fêter noël avec nous. La joie pour moi et Roman quand maman nous appelle et nous annonce la bonne nouvelle. Surtout quand vous savais que vous aller revoir votre frère après plus de 6 mois de silence radio.

3h00 du matin nous dormons a point fermer le silence règne dans la maison, quand subitement des crie retentisse et réveil Roman alors nous sortons tout deux de nos chambre et descendons en bah en silence.

Deux homme armer agresse mes parents, alors pris de panique je cache Roman et me cache a mon tour mes l'un des hommes me voix et m'attrape, mais parents les supplient de me laisser partir que je ne dirais rien mes les hommes rappelle a mon père que les déserteur son puni par ma mort de sa famille et lui, et qu'il ne pouvais pas ce cacher éternellement.

L'un des deux homme m'injectes un produit a l'aide d'une seringue dans la nuque, et l'autre fait de même a ma mère puis mon père.

Ma mère eu a peine le temps de me dire de courir cacher mon petit frère avant de rendre sont dernier souffle sou mes yeux, et les deux homme parte subitement en courant après les sirène de police, puis je m'évanouis.

A mon réveil je suis dans ma chambre avec une policière, quand un autre policier entre et demande une identifications, alors la policier m'escorte jusqu'au jardin, et là je m'effondres genoux a terre larme au yeux et aucun sont ne pouvais sortir de ma bouche tellement je voulais hurler fort.

- Mon petit frère, non pas lui, il n'a que 6 ans, il n'avais même pas eu le temps de vivre.

Mais ces mots ne font que retentir dans ma caboche, je suis comme muette, aucun son ni syllabe ne veux sortir de ma sataner bouche, plus je hurle plus ma bouche se ferme, comme si on me cousait la bouche, point par point jusqu'à atteindre l'autre extrémité de ma bouche.

Puis je finies par m'enfermais dans ma propre tête dans mes souvenir plus précisément, tout ma vie défile encore et encore, mes parents, mon petit Roman, nos bêtise, les blague de mon père, les moment heureux que j'ai pus vivre avec eux, tout ce soutien, cette amour, qu'il mon toujours porter, malgré ma maladie.

Puis des cris me sorte de ma tête, c'est mon voisin qui hurle après le policier qui l'escortée:

- Sauver là, et foutre moi la paix, retrouver les, je veux que justice soit faite, on ne peut tuer impunément, aller bouger vous.

Je me relève, pour regarder mon voisin, qui comme moi vient de perdre sa famille, qui comme moi et le seul survivant, mais subitement ma vue se trouble, ma tête ce mets a tourner, et la, le noir complet, plus rien, je m'écroule au sole, et m'endors de nouveau.

- Mère nature ne fait jamais rien au hasard, chaque chose a sa place, chaque homme a sont but.

Génome 112Where stories live. Discover now