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Les femmes sont des fillettes toute leur vie.Une caresse les console,un petit oubli les brise.

Son petit corps bouillant sous le mien je n'arrivais plus à retenir le désir en moi de la posséder,encore et encore.

Elle me rendait fou.

Je passai mes grandes mains sous son débardeur que je lui enlevai rapidement avant de dégrafer son soutien.
Elisabeth se cambrait sous mon corps m'offrant la plus belle vue au monde.
Je savais bien qu'elle avait des complexes,s'offrir ainsi à moi démontrait toute la confiance qu'elle avait en moi.Cette fille n'avait rien besoin de changer.Elle avait des formes à s'en damner, les vergetures les plus sexy qu'il m'ait été donné de voir et une paire de petits seins que j'adorais embrasser.
Je trouvais cela dommage de me dire que son corps sexy la répugnait simplement à cause de quelques idées reçues.

Je parcourais son buste de ma bouche,embrassant et mordillant tous les centimètres carré de son corps,avant de lui retirer d'un unique mouvement et son pantalon et sa culotte.
Je n'aimais pas beaucoup les préliminaires mais j'avais appris que c'était un de ses fantasmes.Alors,ces derniers mois,je m'étais découvert une âme de bourreau,la torturant avec ma langue avant de la prendre avec mon membre.
Et encore une fois c'est ce que je fis,et je commençais sérieusement à l'aimer la voir me supplier en gémissant.
J'aimais la dominer.Je pouvais la briser d'une seule main mais je ne le ferais jamais.
Je pouvais la battre ou la protéger et comme j'étais un homme et non un lâche j'avais choisi la deuxième option.
Parce que sans elle mon monde était une horloge qui ne tournait plus dans le bon sens.
Parce que sans elle moi je perdais le mien.

Il devait être approximativement une heure de l'après midi quand nous arrivâmes sur la piste d'atterrissage.
Élisabeth qui s'était endormie après s'être rhabillée,avait sa petite tête contre le hublot.

- Monsieur la voiture est prête,m'informa une hôtesse.
- Coupez le moteur elle a besoin de sommeil.

Mon employée hocha la tête avant de partie tandis que moi je me servais une coupe de champagne.
J'avais eu le temps d'en boire deux avant qu'Elisabeth ne se réveille d'elle-même.

- La belle au bois dormant se réveille,rigolais-je ce qui me valu une tape sur l'épaule.

Elle avait l'air de mauvaise humeur aujourd'hui.
Non pas tout à fait de mauvaise humeur,plutôt triste en fait.
Un mélange de chagrin et d'insouciance volée.
Elle était préoccupée,je le voyais à la manière qu'elle avait de toujours remettre ses cheveux en place.

- La voiture est prête, rentrons chez nous.

Elle hocha vaguement la tête et je la devançai pour sortir de mon jet.
Et quand,dans la voiture,je ne l'entendis pas rigoler à la blague du jour qui passait à la radio je commençai réellement à me faire du soucis.

La protégée du diable.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant