Je l'ai appeler une première fois. Malgré tout ce qui s'est passé, je n'ai pas hésité une seule seconde. Il connaît ma famille, connaît mes cousines. Il sait qu'elles placent elles occupent dans mon cœur. Il sait que je peux tout surmonter mais pas la perte d'un être chère.je savais qu'il pourrait m'aider, malgré son comportement, malgré ce qu'il m'a fait.

... : Alors Poupée je te manque ? me dit-il en rigolant.

Oui je venais en effet d'appeler Sayf, mais je n'avais pas d'autres choix.

Wissal : (je suffoquais) : Sayf j'ai besoin de toi.

Sayf : Qu'est ce quit'arrives ?

Wissal : Mon frère est parti chez ma tante, et il vient de m'appeler. Ma cousine est...est à l'hopital et c'est grave.

J'arrivais à peine à m'exprimer correctement, mais j'avais beaucoup trop peur de ce que je pouvais savoir la bas.

Sayf : Oh putain. Celle qui est loin ? Safia ou Ouissem ?

Wissal : C'est Safia.

Sayf : Azy prépare ton sac je suis en bas de chez toi dans 10minutes.

Wissal : Merci Sayf, merci.

Sayf : Dépéche toi.

Il a raccroché. J'étais étonnée qu'il se souvienne encore de leurs prenoms mais en meme temps je lui avait tellement parler d'elles, tellement montrer nos vidéos ou l'ont déliraient à trois. Elles sont toute ma vie mes cousines et il le savait bien.

J'ai juste prit quelques vetements dans mon sac avec un pyjama et je suis parti dire à ma mère ce que mon frère m'avait dit. J'ai menti, en disant que j'avais train dans une demi heure et qu'il fallait que je parte tout de suite. Je ne pouvais pas lui dire que je partais avec mon ex car il n'y a pas de train avant des heures.

Ma mère m'a fait promettre de l'appeler dès que j'arrivais pour lui expliquer la situation et moi je suis descendu tout en appelant Sayf.

Wissal : Je descends.

Sayf : Vas-y. J'arrive là je suis au feu.

Le temps que j'arrive en bas, je l'ai vu s'arreter devant mon batiment. Je regardais meme pas s'il y'avait du monde autour de moi, ou meme ma mère par la fenetre. Il fallait qu'on parte c'est tout.
Je pleurais que très rarement devant les gens et jamais devant lui mais ce soir là, il n'était plus question de fierté.

J'ai explosé en sanglots et il m'a pris dans ses bras.

Sayf : Arrete de pleurer. C'est peut etre pas si grave que ça.

Wissal : C'est le cœur.

Quand j'ai dis ça il m'a serrait encore plus fort contre lui.
Il savait, tout autant que moi, que le cœur était la partie de notre corps la plus fragile et il y'avait très peu de chance que ma cousine s'en sorte.

Il a demarré et nous avons prit la route.

Sayf : Tu sais elle est dans quel hopital ?

Wissal : Non, mais je vais appeler mon frère pour qu'il vienne me chercher à la gare.

Sayf : Non tu perds pas de temps. Je t'emmene devant l'hopital.

Wissal : Il faut que je l'appelle alors.

Sayf : Vas-y. S'il te demande tu lui dis que c'est une copine à toi qui te dépose.

Wissal : ok.

J'ai appelé mon frère et il a répondu au bout de la 1er sonnerie.

Farès : Ouais ?

Wissal : Farès j'arrive. C'est une copine qui va me déposer.

Poupée de Verre - WissalOù les histoires vivent. Découvrez maintenant