Enchantement

26: Retour en 1860

19 mai 1860

Je manque de distraction. Ma soeur m'a poussé à venir ici pour me détendre et prendre l'air. J'ai trouvé l'idée génial. Je n'ai pas pensée une seul petite seconde qu'elle me ferai suivre par 3 de ces petits chiens pour être sûr que je n'utilise pas à tord et à travers mes nouveaux pouvoir. Quelle idée aussi de faire un pacte avec une sorcière défunte qui plus est, morte depuis plus de 1 500 ans et avec qui nous avons du faire des rituels satanique pour qu'elle me donne cette merveille de puissance.
En plus de ça j'ai faim. Je reste une vampires. Une vampire qui a faim et qui a besoin de force pour décuplé ça magie.
Ce qu'elles ne savent pas, c'est qu'elles ont beau être 3 petits toutou bien fidèle et assez forte. Elles n'arriveront jamais à m'arrêter. Ça fais des jours que je m'entraîne. Et j'ai enfin réussi à trouver mon point d'encrage.
Ma soeur n'est qu'une pathétique lâche. Elle pense quand ayant fais ce pacte elle peut tout simplement le rompre.
Je crois en ce que cette sorcière à dit et surtout en ce qu'elle m'a promit. Au diable les liens du sang.
Je ne pus m'empêcher de rire bêtement. Les liens du sang ? Je les brise d'un côté pour pouvoir les recréer de l'autre.
A cette pensée, un petit visage apparus devant moi. Je le reconnais.
Nine. Ses yeux vert émeraude brillant de joie et de malice. Son rire est la plus belle chose que je n'ai jamais entendu. Mais elle est morte. Et plus jamais je ne pourrais la prendre dans mes bras.
A cette instant. Je ressentis toute l'injustice que j'avais su enfouir en moi. J'avais été une bonne mère ! Ma soeur ne la jamais dit et elle pensait même le contraire. Mais je n'ai jamais failli à ma tâche. On me l'a enlevé. Et la personne qui a tué ma fille,  sera torturé pendant des années sans repis. Je m'en chargerai personnellement.
Mais pour ça il faut que j'offre une armée à cette sorcière. Une armée de vampire qu'elle transformera en mi sorcier mi vampire.
Bien évidemment cette sotte d'Ephy n'est au courant de rien.

A cette instant alors que je suis tranquillement entrain de nager et de remué mes souvenirs pénible. Une femme âgé d'une trentaine d'années vint de rigolé et de se moqué de moi. Tout du moins c'est ce que je ressens. Car elle parle avec les trois toutou et me pointe du doigt.
Tu veux rire chère femme ? On va rire.

Je m'arrête en plein milieu de la piscine avec un regard paniqué.
Je n'ai même pas besoin de me concentrer pour que l'eau de la piscine ne forme plus qu'une gelé immobile.
-aidez moi! C'est trop bizarre regardaient l'eau !

Poussant un peu sur ma voix, leurs rire pathétique cessa automatiquement. Leurs regard étaient dubitatif. Elles n'étaient pas sur de ce qui était entrain de se passer. Une des trois filles qui me surveille s'approche et passe la mains dans la gelé. Enfin passe. Elle plonge sa mains dedans comme pour verifier si ses yeux ne lui joue pas des tours. mais une fois que sa mains fut plongé entièrement. Il lui était impossible de la retiré.
Prit au piège ma douce.
Celle qui rigolais de moi quelque seconde auparavant et qui est bien étrangère à tout ce petit monde de magie et de secret, paniqua.
Elle courut en direction de la sortie mais un geste souple de la mains je la figea sur place et en pleine action.
-et bas alors, on ne rigole plus à ce que j'entends ?
Sur ces mots je fit virevolter l'eau de la piscine au dessus de ma tête. La gelé repris sa forme initiale. Et se sépara en deux au dessus de ma tête. Un flot immense d'eau flotté autour de moi et menacé d'inonder la pièce ou nous nous trouvions.

Leurs instincts de sorcière pris le dessus sur la peur que je pouvais lire dans leurs yeux.

Sans attendre qu'elle effectuent leurs premier sors contre moi, je lance un des deux bras d'eau qui flotté au dessus de ma tête cherché le toutou numéro 1 qui avait plongé son bras aussi ridiculement dans la gelé.

C'était ma préférée. Elle avait un sang sucré qui me donnais l'eau a la bouche. L'eau s'enroula autour de sa taille et l'apporte jusqu'à moi.
Ne pouvant plus bouger je la positionne devant moi en guise de bouclier.

-si vous tentez quoi que ce sois, elle est morte.

Ses deux copines abandonnèrent tout de suite l'idée de m'empêcher de faire quoi que se sois. Parfait. Pleine de joie et d'entrain, je commence à effleuré de ma bouche sa nuque douce et qui me tente délicieusement. 

J'entend son cœur s'affolé. Sa poitrine se soulève de plus en plus vite. Je dois avoué que son regard me fais de l'effet. Se n'est pas seulement son odeur qui me rend dingue. Je lui dépose une rangé de bisous, commençant sagement et continuant de façon plus sensuel. 

En déposant le dernier bisous juste en dessous de son lobe, je ressent comme une envie meurtrière et dévastatrice m'envahir. Mais j'ai besoin de m'amusé et surtout de prendre du plaisir pour oublié ma tristesse et surtout ma frustration. 

Je prend possession de leurs misérable vie et commence à les faire s'embrassé entre elles. Une fois le divertissement fini. J'ordonne à la fille de trente ans de se manger les avant bras et de croqué dans sa chair tel une jolie cuisse de poulet pendant que toutou 2 et 3 continu à lui faire l'amour. Quelle spectacle sanguinaire. J'en rigole à plein poumon. Mon pouvoir est illimité comparé à ces sorcières de pacotille. 

Ne pouvant plus me contenir, je commence à sirauté le sang de ma préféré que j'ai gardé tout prêt de moi depuis le début. 

-Qu'elle spectacle, mais qu'elle spectacle !!! criais-je de joie

Les hurlements de douleur, et la chair qui se déchire suivit par l'irrésistible odeur de sang frais, m'en ferai presque tourné la tête de bonheur. 

Et pendant ce pique de joie suprême, je me promet une chose. C'est de venger la mort de ma fille coûte que coûte. Qu'importe cela signifiera.