Alors que je tentais d'ouvrir la portière, il centraliser la voiture.

Chaim : Alors tu es quel genre de fille ?

Wissal : Pas celle que tu penses en tout cas. Ouvre moi la porte !

Chaim : Tu sais ce que je pense moi ?

Wissal : Non et je veux pas savoir ! Ouvre cette porte merde !!!

Je 'endevais pas perdre mon calme, si je perdais le peu de raison qu'il me restait je serai foutue.

Chaim : T'es du genre exigeante toi ? Tu dis oui à certains non à d'autres.

Wissal : Je dis non à tout le monde ! Tu crois que quoi ? Je me donne au bout de 2 jours ?

Chaim : Et Sayf tu t'es donné au bout de combien de temps ?

Quand il m'a dit ça, j'ai voulu faire la femme forte que rien n'atteint. Mais j'ai senti moi-même l'éclair de rage passait dans mes yeux.

Wissal : Alors c'est au nom de Sayf que je suis ici c'est ça ? Tu devais lui prouver quoi ? Que tu pouvais passer après lui ?

Chaim : J'ai rien à prouver, je sais que je peux passer ou je veux. Mais revenons à toi, tu ne nies pas ?

Wissal : J'ai pas de compte à te rendre met le toi dans le crâne.

Chaim : Comment il t'a eu lui ?

Wissal : Comme jamais tu m'auras

Je voulais hurler de rage, je voulais tuer Sayf. C'était à cause de lui que je me retrouvais dans cet état !

Chaim : Alors on est venu ici pour rien ?!

J'arrivais au bout de mon calme, j'ai expiré fortement et lui ai dit :

Wissal : Oui on est venu ici pour rien parce que tu n'auras rien de moi !

Sans me répondre, il s'avança vers moi et me saississa la bouche. De force, il me déposa des bisous et continua ses gestes déplacés.

J'étais beaucoup trop serré dans cette voiture mais le haine que je contenais débordait beaucoup trop pour garder mon calme. Je le repoussai de moi et il me saisit alors les poignets.

Chaim : Ne me laisse pas être violent avec toi Wissal et laisse moi faire !

Wissal : Lâche moi !!! Lâche moi !! Tu n'as pas le droit de me toucher !

Il n'en avait rien à faire de mes paroles et j'avais beau crier et lui donner des coups il ne bougea pas. Au final, lorsqu'il tenta de monter sur moi je lui griffa le visage et malencontreusement lui mis un doigt dans l'œil. Sauf que je venais de me faire les ongles et ils étaient assez long ce qui fit qu'il se mit à crier.

Chaim : Aaaaah !! Qu'est ce que t'as foutu là ?

J'ouvris la portière et m'en alla le plus loin possible. Je connaissais cet endroit car j'y été déjà venu une ou deux fois avec Sayf lorsqu'il passait récupérer des saladiers chez sa tante pour sa mère. Il n'y avait que des ruelles et je savais que Chaim ne me retrouverait jamais dedans. Je me suis posé sur un trottoir et je me mordais la lèvre supérieure pour ne pas pleurer.

Il avait gâché ma vie et les mots n'avaient jusqu'à présent jamais dépasser ma penser mais ça risquait de très vite arriver.

Je pris mon téléphone et appela la cause de tout ça, cette fois ci avec mon numéro.

Il n'aura fallu que d'une sonnerie pour qu'il réponde en étant mort de rire.

Sayf : Quoi déjà fini ?

Il savait, il savait depuis le départ ce qui était organisé. Il me rendait folle par son comportement, il était détaché de la réalité et il m'insupportait.

J'ai voulu lui faire regretter parce que peu importe le comportement qu'il a eu avec moi et qu'il continue d'avoir je savais qu'il avait tenu à moi à une époque. Et tout était parti en fumée quand j'ai décidé de lui faire totalement confiance. Mais en attendant c'est moi qu'il essayait de rabaisser et je voulais donc le rendre fou. J'allais me mettre à son niveau et être aussi mauvaise que lui.
Parole d'une femme !

Sayf : Oh ! Il t'a avalé la langue ou quoi ?

Wissal : Sayf, il l'a tué !

Sayf : Quoi ? De quoi tu parles ?

J'allais jouer un jeu très dangereux mais peu importe. Il voulait jouer, on allait jouer. A celui qui sera le plus mauvais.

Wissal : J'ai perdu le bébé.

Il y a eu un silence de 3 secondes quand j'ai entendu Sayf respirait fort.

Sayf : Quel bébé Wissal ?

Wissal : Le mien.

Sayf : Il était de qui ? De qui Wissal ?!

Il m'avait touché avec sa question, il ne me voyait plus comme l'ancienne Wissal.

Wissal : De toi Sayf.

Je savais que si jamais j'avais été enceinte il aurait assumé son acte. Et il était temps de le rendre fou comme il me rendait folle. Tous les coups bas sont permis. A celui qui tapera le plus fort.

Il y a des sujets pour lequel la plaisanterie n'a pas de place, mais il n'était plus question de plaisanterie mais de méchanceté.

Poupée de Verre - WissalOnde histórias criam vida. Descubra agora