Chapitre 20 : Tu veux jouer ? On va jouer

37 5 2
                                    



^^ -Do you still love me ?
- I never stopped loving you, I just stopped trying.^^

^^ - Est-ce que tu m'aimes encore ?
- je n'ai jamais cessé de t'aimer, j'ai juste arrêté d'essayer.^^






Liam, qui a bien compris mon futur petit manège, s'installe sur le canapé et me prend sur ses jambes.

Je vois le visage d'Haven se renfermer.

Parfait.

À la télé, les gars regarde le foot. J'ai toujours regardé le foot avec mon père avant, donc je m'y connais.

- Tu sais ce que ma mère me dis toujours, commence Rebecca à Haven.

- Pourquoi j'ai arrêté la pilule ?, rigole-je.

Tout le monde éclate de rire, Haven compris.
Pute me lance un regard noir.

- Ha. Ha, dit-elle ironiquement, tu n'es vraiment pas drôle.

- Merci, ça me va droit au coeur !

Elle soupire tandis que les garçons autours nous regardent d'un air amusé. Je suis sur qu'il voudrait quon se tape dessus.

- Pourquoi tu fais la belle comme ça ?

- Es-ce que je te demande pourquoi tu fais la moche ?

C'est trop facile de s'en prendre à elle. Enfaite, elle me ferrait presque pitié. Enfin, si son cul ne serait pas toujours coller à celui d'Haven.

- Euuh tu arrête de faire la meuf là.

Je ris jaune.

- Et tu veux que je fasse quoi ? Le dauphin ? Ou la sallope peut-être ? Ah non ca s'est toi !

Cette fois-ci, tout le monde ris, sauf Haven qui a bien compris la petite allusion à lui que je venais de faire.

- C'est pas très sympa ça Sarah, me dit ce dernier.

- Qu'est-ce qu'il y a, t'as lu comment se faire des amis ou quoi ?

Il fronce les soucils, signe de fort, fort, FORT énervement.
Merde !

- T'as dis quoi là ?

- Ah parce qu'en plus, t'es sourd, provoque-je.

S'en suit un duel de regard entre lui et moi.

- Patataaa H comment elle ta niker mon frère..., commence alors Brad.

- Ta gueule, le coupe Haven.

- Eh oh, doucement, le défend Ryan.

Haven ne me lâche pas des yeux et moi je ne le lâche pas des yeux.
Simple et efficace.

- Viens ma belle on va en haut, me souffle Liam.

Petit à petit, j'obtempère.

L'effet PapillonWhere stories live. Discover now