Chapitre XXVII. Partie I.

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Bonjour ! Grande nouvelle: Je suis de bonne humeur ! Bah oui je viens de finir un chapitre (Sa me met de bonne humeur).

Sinon vous allez bien ? Moi oui, je suis de bonne humeur !

Donc voilà un nouveau chapitre (qui aurait d'ailleurs pue être bonus), je compte vous en postez un autre dans le semaine sachant que celui-ci n'est pas très (pas du tout) utile dans le scénario de l'histoire... mais au moins je suis de bonne humeur !

Allez, bonne lecture, et soyez de bonne humeur ! <3

(Et lisez la fin de ce chapitre svp)            Cordialement: FDR



Chapitre XXVII. Partie I.

''Ekhö est incorrigible pour une chose: si elle veut quelque chose, elle l'obtient''



Je laisse ma tête se balançait au rythme du cœur sur laquelle elle se repose, bien trop exténuer pour faire l'effort de la retenir, ce rythme me procure suffisamment de bien être pour rester figer dans l'inconscience malgré le froid environnant...

C'est lorsqu'un frisson parcours mon corps que mes membres tremblants sont un peu plus prient au piège dans une étreinte chaude.

Inconsciemment, mes yeux ce plissent suite à une légère secousse...

Je distingue de façon vague mes doigts se resserraient sur le bout de tissu où elles reposent, et je pense d'ailleurs tout d'abord imaginer le contact doucereux qui se pose sur elles.

Pourtant, la seconde main enserre doucement la mienne dans un contact plus que réel.

''Rendors-toi...'' me somme doucement la voix.

Le ton grave et doux m'enveloppe doucement et je replonge rapidement dans le sommeil que je viens de quitter.

Je prend seulement le temps d'inspirer une dernière bouffée de ce parfum pour me laisser glisser dans l'inconscience.

***

Le ronronnement du véhicule cesse; une porte claque bientôt suivie d'une portière.

''Elle va bien ?'' s'empresse une voix.

''Elle dort.'' répond celle plus proche de moi.

Les muscles qui m'entourent se tendent et je ne ressens bientôt plus la chaleur rassurante du véhicule.

Du vent caresse ma peau quasi-dénudé, la faisant ainsi frissonnait.

De nouveau une porte qui claque: mais cette fois-ci derrière-moi. La froideur de la nuit ce fait vite remplacer par la douceur d'un foyer.

Des pas résonnent dans le lointain; le contact de mon porteur se rompt et laisse place à celui du cuir d'un sofa...

Je préférais l'ancien...

Comme pour répondre à ma pensée, un lourd tissu s'affale sur moi, imprégnait de ce parfum qui me fait sentir si bien.


Il ne fallait pas plus...


Juste...

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