When You Come To CirclyCices

Chapitre XVIII

Chapitre XVIII

''à ce moment là, nous savons déjà tous comment ça va finir''

''Vous n'avez de toute façon pas le choix !'' s'exclama à gorge déployer notre cruel     professeur d'un ton sarcastique.

C'est que cet imbécile ce foutait de nous en plus ! Cet imbécile à lunette ! Imbécile ! Imbécile !

''Il en est hors de question !'' criais-je presque à travers la classe en me relevant de ma     chaise par automatisme de révulsion.

Tous les regards ce tournent vers moi, c'est compréhensible, pour eux, c'est la première fois que j'hausse la voix. Et pourtant, s'ils savaient combien de fois j'ai gueulé cette semaine...

''Un problème mademoiselle Derrys ?'' me demande narquoisement ce sadique de    professeur en dissimulant un sourire en coin.

''Pourquoi serions-nous obliger de participer à ce bal stupide ?!'' je continu de        m'exclamer sous les regards introspectifs des élèves.

''Ce bal stupide comme vous dîtes, a été très dur à organiser. Alors, gentils-élèves    que vous êtes...'' nous sourit-il de toutes ses dents. ''Vous allez nous faire, le tout dans     un profond respect, le plaisir de participer à cette petite fête.'' complète l'homme en     croisant fermement les bras.

''Mais de là à nous faire apprendre une danse de salon !!!'' Je ronchonne à nouveau en    ressentant cette irrépressible envie de tout envoyer en l'air.

''Oh mais ne vous en faites pas Ekhö...'' fait-il cyniquement planer le silence, ''Il y    aura aussi les robes...''

Cette phrase de trop me laisse m'abattre sur ma chaise... Je rêve... du coin de l'œil, j'observe les autres rires en toutes discrétion, amuser par cette soumission de ma part. J'ai pas dit mon dernier mot l'imbécile...

''Par ailleurs, tout à l'heure veuillez-vous rendre une nouvelle fois au gymnase pour     que l'on prenne vos mesures...''

l'instituteur continua par la suite son cour en me laissant vaquer à mes pensées pleine d'espoir. Je dois réussir à échapper à cette honte publique...

***

''Relève la tête...'' répète une nouvelle fois la femme prenant mes mesures d'un ton    exaspérer comme si j'étais la modèle la plus insupportable du monde.

C'est le cas et bien évidemment fait exprès idiote...

''Fait un effort Ekhö...'' me gronde Adhira à ma droite ce faisant elle-même mesurer.

Je prend une moue boudeuse et attend que mes mesures soient complétés.

Nous repartons ensuite rejoindre le reste du groupe nous attendant face au réfectoire. Il nous est servi de la purée de carotte ainsi que du ragoût (si nous pouvons appeler sa ainsi) très peu appétissant.

Nous nous installons à notre table habituelle et mangeons dans un silence gênant. J'engouffre ma fourchette dans la purée et entreprend la conversation.

''Non mais sérieusement qui pourrait être assez suicidaire pour vouloir ce trimbaler     des robes de quarante kilos !'' J'avais dit ces mots avec de grands gestes brusques, et     c'est sans m'en rendre compte que j'avais envoyer l'intérieur de ma fourchette sur     Morgane mangeant derrière-moi...

Oh, oh...

La jeune femme ne le prenant visiblement pas très bien, ce lève de sa chaise et observe tour à tour les personne de la table, de la purée dégoulinant de ses cheveux.