La légende

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Il y a très longtemps, dans le crépuscule du temps, bien avant les pyramides, Babylone et la grande inondation, une grande civilisation régnait dans la mer méditerranée. Cette civilisation existait au dixième millénaire avant Jésus Christ. Quand cette dernière c'était effondrée, l'un des grands sages  avaient écrit un ouvrage regroupant toutes le savoir et les secrets de ce monde perdu transmit de génération en génération, puis perdu.

En 1926 un archéologue, Emile Baraize découvrit à Gizeh en Egypte une chambre sous le Sphinx. Dans cette salle se trouvait des artefact de ce monde perdu.   

Il est dit dans une légende païenne très ancienne que L'ouvrage de ce sage expliciterait les connaissances et les secrets d'une très ancienne civilisation et qu'une page des pages ce livre décrirait un pouvoir.

Une énergie, pensée impie, plus vieille que la naissance l'humanité. Une conscience métaphasique a l'origine de tout. Le cerveau de l'univers. Ce pouvoir ou cette pierre le contenant, est nommé « Ohranhü ».

La pierre des dieux.

Mais dans la seconde moitié du XIXe siècle, un scientifique nommé Jones Howard Bealivit, historien spécialiste des croyances anciennes de l'Afrique du sud, découvrit en 1888 une étrange statue vaudou représentant une créature humanoïde avec une tête de céphalopode. Les indigènes n'avaient aucune idée des origines de la statue, mais en faisait un culte étrange et sombre.

Plus tard un autre historien découvrit dans un temple sumérien, en Irak une autre statue étrange du dixième millénaire avant JC, représentant une créature humanoïde très ressemblante. Il était si semblable que ce ne  pouvait pas être une simple coïncidence.

En Australie un archéologue découvrit une autre statue de cette même créature, et le meilleur était ce peuple disait être soumis  a une malédiction, et que cette chose les aurait condamné par l'intermédiaire d'une sorte d'énergie divine impie.

Un grand nombre de personne pensent que les mythes ou les croyances sont mensongères,  ou invention.  Et souvent qualifié comme une présentée étrange, diabolique voir satanique. Parce qu'ils ne comprenaient pas l'importance de la raison de ces fois.

Mais ce n'est ni convenable ni cruel, c'est les deux a fois.

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