Prologue Tome 1 :
Bonjour moi c'est Léana, j'ai vingt-trois ans et je viens de rentrer dans la police de Londres, je vais devoir faire équipe avec mon coéquipier. A la suite d'un meurtre beaucoup de chose se passeront dans ma vie ...
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Je suis enfermer dans cette hôpital depuis maintenant deux semaines et c'est pas se qu'il y a de plus génial dans la vie d'une personne, rester enfermer dans un endroit, ne pas quitter son lit a cause des perfusions, ne pas sentir la fraîcheur du vent sur son visage, les cheveux qui vont dans tout les sens, ne pas se promener près d'un lac et sentir la douce chaleur du soleil d'été, faire le grand plongeons dans la piscine, ...
Je me sentais comme emprisonner, une prison cruelle où tout les gens qui me connaissent me rapportent que l'air est frais, ...
Alors j'essaye de me réconforter avec les souvenirs qu'a l'odeur de l'air purs, cet oxygène si précieux pour nos poumons.
Cela va faire aussi plusieurs jours que je marque tout ce qui se passe dans ma vie, enfin si nous pouvons parler "d'une vie", je l'écris après chaque passage de quelqu'un dans ma chambre, ou quand je pense a quelque chose, c'est comme un journal intime, enfin non s'en ai un, je fermis les yeux, quand je les ai rouvert je vis un médecin, blouse blanche, la vingtaine, pas très grand, je me demandais ce qu'on allais encore m'annoncer, que je ne reverrais plus la lumière du jour car j'était condamner et qu'il me restait que très peux de temps a vivre, encore et toujours c'est même question qui se bousculait dans ma tête...
-"Bonjour Léana c'est sa ?" Demandât l'homme en blouse.
-"Ah eu ... oui oui c'est moi. " Répondis-je
-"Votre état s'améliore de jour en jour, nous vous laissons donc le droit de sortir de temps en temps, mais toujours accompagner on ne sait pas se qu'il peut vous arrivez..."
-"Vous êtes sérieux ?"
-"Bien sur que oui, vous avait le droit a une heure par jour, je suis désoler c'est peux mais bon, on ne sait pas ou se cache votre agresseur. D'ailleurs il y a quelqu'un qui veux vous voir a propos de sa. "
Jen'eût pas le temps de parler qu'il ouvrit la porte.
