Chapitre 25 : La conversation

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On était là a se regardais comme des débiles, oui des débiles, je pense que chacun voulait parler mais en fait ma mère avait débarqué de nul part et je dois dire qu'on est était un peu perturber, bien sûr j'avais déjà parlé de ma mère a Scott mais je ne pensais pas qu'elle allait débarquer comme sa... oui je sais que je suis à l'hôpital mais je ne sais pas c'était bizarre cette gène...

-"Je crois que je vais vous laisser un peu toute les deux, je vais aller chercher des cafés. "Lâchât Scott.

-"D'accord. " Dis-je d'une petite voix.

-"Aller a toute suite. "

En fait je ne voulais pas qu'il parte mais c'était trop tard. J'adorais ma mère mais là n'était pas la question, je voyais déjà ce qu'elle allait faire, elle fait sa timide maintenant car il y a Scott, mais quand elle va s'être bien rapproché de lui elle va vouloir s'incruster, elle va vouloir venir partout où on va de peur qu'il m'arrive quelque chose a croire que Scott ne peux pas veiller sur moi. Et sa franchement sa me m'était hors de moi.

J'avais tellement hâte que Scott revienne pourvu qu'il se dépêche, j'en avais marre d'attendre que ma mère décroche un mot, alors je le fis a sa place.

-"Je t'en prie maman dit quelque chose, on dirait un fantôme. " Fis-je remarquer.

-"Je t'aime ma chérie et j'ai peur pour la suite..."

-"Arrête de t'inquiéter pour moi, tu me stresse plus qu'autre chose tu es toujours aussi pessimiste !!!"

-"Non ce n'est pas vrai j'ai toujours songé a ton bonheur ma chérie enfin, tu peux comprendre que je m'inquiète pour toi quand même..."

-"Ecoute maman j'ai besoin d'être seule, je te demande de sortir s'il te plaît !!!" Dis-je d'un ton énervée.

Ma mère me dévisagea un instant puis exécuta ma demande. J'avais besoin d'être seule et de ne penser a rien, sa faisait tellement longtemps que je ne mettais pas retrouver seule, c'est vrai, j'avais toujours la visite des médecins, de ma mère et de Scott...

Des fois ils m'énervaient tous avec leur question débile, comme "tu va bien ?" cette phrase je l'entendais a longueur de journée, comme si j'allais bien, sur mon visage on pouvait voir la joie, le teint rosé. J'avais bonne mine à l'extérieur de moi même...

Mais a l'intérieur c'était tout le contraire, chaque jour m'était un peu plus difficile. A chaque fois que je regardais le soleil se lever, c'était une journée de plus à me faire plaindre, ou je ne sais quoi, une journée d'enfer à écouter tout ces blablas.

Mon premier jour dans la policeWhere stories live. Discover now