Amira "Une rencontre dans le hlel"

Partie 7 💐

Salem aleykoum

Je marches toujours derrière eux jusqu'à arriver à la voiture.

Samir: Monte deux minutes

Je fais se qu'il me demande et montes à l'arrière de la voiture

Sofiane: Tu est sûr de vouloir te marier avec lui

moi: Oui, pourquoi ?

Samir: Tu le connais à peine et tu décide comme ça de te marier avec lui

Cette discussion me met mal à l'aise, je n'aurais jamais imaginé parler de ça avec mes frères surtout dans des conditions pareils.

Moi: C'est pas toi qui disait que les relations dans le haram n'était pas bien ?

Samir: Oui mais...

Moi: Arrêter de me mentir je sais que c'est pas ça le problème. Le problème c'est entre votre sociète et la sienne, et d'une marchandise

Sofane: Comment tu sais ça ?

Moi: J'ai surpris une discussion entre papa et yema (maman)

Sofian: Tu sais que c'est pas bien

Moi: Oui mais est-ce que tu m'aurais dit la vérité ?

Sofiane: Non c'est pas tes affaires

Moi: Et bien c'est pas tes affaires aussi le fait que je me mari avec Younes, c'est mon problème à moi aussi ?

Samir: Eh commence pas à parler comme ça, je suis ton grand frère tu me dois du respect

Moi: Mais je te respect, mais est-ce que toi tu peut respecter mon choix et ne pas méller ma décision de mariage avec votre socièté, je ne vous pensez pas comme ça. l'Histoire est reglé, non ? alors pourquoi en faire tout un plat ?

Sofiene: Certes tu à raison, mais sache qu'avant tous on veut que ton bien

Samir: On ne connaît rien de lui

Moi: D'après se que j'ai vu et entendu c'est une personne bien sans histoire, apprenner à le connaître vous pourrez par la suite le juger s'il ne vous plaît pas.

Samir: Ok, on apprendra à le connaître, maintenant monte à la maison on doit parler

Je descends donc de la voiture et les laissent donc discutter ensemble. Arriver à ma cage d'escallier, je m'assois dans le noir et je repense à tout. Mes frères on peut-être raison il ne faut pas faire confiance à une personne très rapidement il faut apprendre à la connaître, j'ai peut-être pris cette décision trop rapidement, mais j'ai avant tous pensais à son père qui avait peur qu'après ça mort, sont fils puisse abandonner le droit chemin. Je me relève et me dirige vers l'appartement. J'ouvre la porte et devant moi se poste mon père avec un visage qui présage le pire, j'ai tous de suite compris que j'allais passé un mauvais quart-d'heure. Mon regard descend vers ça main droite où je trouve un balais.

Mon père: Alors comme ça on fait des sortits nocturne ? c'est la première fois que tu me fais ça. Tu peux m'expliquer comment tu tes retrouver endehors de ton lit à une heure du matin ?, et se que tu faisais endehors de la maison ?

Moi: Je...euh, je suis sortis avec Sofiane et Samir

Lui: Ah oui ça me prend pour un hmar (un âne, un idiot) maintenant ?

Moi[d'une petite voix]: Mais jamais papa

Lui: Tu sais que je t'ai pris pour une voleuse en entandant le bruit de la serrure ?

Moi:...

Je n'avais rien à dire.

Lui: Alors explique moi pourquoi tu est sortis et dit moi la vérité

A ce moment la El Hamdoulilah mes frère étais arrivés, mon père était de dos à la porte. Mes frère, eux était de chaque coté de mon père et il ne les avait toujours pas remarqués

Mon père: alors tu va bien m'écouter, tu vas...

En même temps il s'est retourné et à sursauter

Mon père: Ah wili wili, starfallah, starfallah, adou bi rabi mina sheitan rajim (invocation contre le sheitan), c'est quoi ça on rentre on sort ?

Ma mère sort affolé de la chambre, miskina elle était affolé, les yeux à moitié fermés.

Elle: Qu'est ce qui se passe ?

Mon père: La maison c'est devenu un hotel on rentre, on sort la nuit tout à fait normal, d'abord c'est ma fille qui rentre comme une voleuse, ensuite c'est ces deux la qui rentre comme des jnouns. Vous étiez où vous aussi ?

Eux: Avec Amira

Mon père: Et vous, vous pouvez pas prévenir ?

Eux:..

Mon Père: Vous n'avez jamais rien à dire hein (il nous menace avec le balais) allez rentrez dans vos chambres

On rentre chacun dans notre chambre mort de rire, ces moments la en famille ça me manque c'est tellement rare maintenant, chacun est chez soi. Pendant un court instant la nostalgie venait à moi jusqu'à que je puisse fermais mes yeux à l'écoute de la dernière phrase de mon père.

Mon Père: ils sont tous comme ça y'en pas un pour rattrapez l'autre, dès que la majorité arrive ils sont tout permis. Mais chez moi ça marche pas comme ça, ils vont voirent.