La Crush Des Jumeaux(TOME1)

chapitre 6

Pdv lynday

Environ 17h 30 et j'etais de retour chez moi. Apparament ma maman ne m'avais pas entendu rentré, elle discutait avec son  avocat que je connais très bien. Le sujet avait l'air delicat, ils parlaient a voix basse, mais je pu quand même me cacher derrière le mur pour ecouter leur conversation a peine audible :

-il ne faut pas que ma fille soit au courant de mon divorce.
-mais tôt ou tard il faudra le lui dire.
-oui mais plutard,quand  elle sera prête.

J'etais choqué et j'avais compris. Mes parents allaient divorcé. Je pense que cela m'aurait fait plaisir que ma mère me disent clairement et en face qu'elle voulait divorcée...au fait non. Je me serai surement emporté mais sa aurait été mieux, je pense.
Boulversé je decidai d'appeller willi, expérant qu'il puisse me faire changer d'idées. Le fou!!
il ne decrochait pas. Je m'assis donc sur le fauteil a la fenêtre de ma chambre qui était ouverte. Il y avait une très belle vue sur tout le quartier. Je baissai les yeux et je vit un des jumeaux. Je ne savais si c'etait Marwane ou l'autre dont j'oublie le prenom, mais en tout cas je fermais la fenêtre et je courru prendre une douche. Après la douche j'etais assisse sur le bord du lit...pensive...
Maman entra dans ma pièce après avoir toqué. C'etait la dernière personne a qui j'avais envie de parler en ce moment.

-lynd ! Je t'ai pas entendu rentré. Me dit elle.
-normale. Dis je froidement.
-hein ??? Dis t elle etornée
-rien ! Je sors...ne m'attend pas pour dîner. Dis je avant de prendre mon portable et de sortir de la chambre la laissant avec son air de femme choqué.

Je revenait de ma balade quand je croissait un des jumeaux sur ma route. Incroyable !! ils sont partout si ce n'est pas l'un c'est l'autre. Je peux pas les éviter a mort ils sont juste en face. Je dois m'habituer au fait que je les verraient plus souvent. Il s'approche de moi et dit :

-hey ! Tu te balade toute seule.
-j'ai besoins d'être seule.
-je vois !! Tu n'as pas l'air en forme en tout cas. Et en plus il fait froid et tu te promène sans pull. Tiens le miens.
-Merci Marwane mais je n'en ai pas besoin.
-Euh...non, tu confonds, moi c'est Rayan. Marwane c'est celui pour qui tu craque.
-pas du tout, tu te mets le doigts dans l'oeil, je dirais plutôt que c'est lui qui craque sur moi.
-oh ! Excusez moi .Biensûr t'avais oublié !!! Tout le monde craque pour la demoiselle !. Dit il avec ironie.
-c'est fou ( avec sourire )
-puisque tu es seule, tu peux passer chez moi jsuis seule aussi. Comme sa on pourra regardé un film. D'accord ?
-j'en sait rien.
-allez ! Ramène toi. Me dit t'il en mettant sa main autour me mon cou. C'etait assez bizare, j'etais mal alaise. 
Il avait une double des clés sur lui. Alors on entraient dans la maison. Leur maison etait grande, vraiment très grande.
Marwane etait assis dans le canapé qui nous donnaient dos au salon. Il regardait un film d'horreur ,pop corn en main sur ,un grand ecran qui nous faisaient face.
Ce qu'il regardait me fit peur. Je criait donc en me retournant. Ce cri fit remarquer notre presence a Marwane, il se retournait imédiatement
《Désolé, je ne savais pas qu'il y avait quelqu'un 》dit-il.
Je reprennais mon souffle et mon calme pendant que Rayan et Marwane se moquaient de moi. J'etais encore plus géné.

Rayan dit ensuite :
-putain !! Vraiment désolé lynday mais je dois sortir
-tu vas me laisser toute seule ici ?
-N'exagère pas ! tu n'es pas seule tu es avec Marwane.
-oh ! Lui !
-allez !!a plus.

Cela ressemblait a une grosse blague. A peine arrivé, qu'il ressortait me laissant avec sn jumeau qui se prend pour le plus beau mec de la planète.
Il me fixa longtemps avant de se lever et de s'approcher de moi. Il avait porté un joggins et etait torse nu. Un peu trop géné par ce rapprochement soudain, je lui dit :
-euh...recule un peu s'îl te plaît , sinon a cette allure tu risques de...
-t'embrassé ! M'interrompue t'il. Je ne le ferais pas. Jsuis pas comme ça
-je  rentre chez moi !
-je vois, tu te sens pas bien mais je pense que tu devrais rester pour discuter, cela te fera du bien. Maintenant si tu veux...

Il avait raison, même si je n'en avait pas envie, il fallait que je me soulage.